•  Bonjour à toutes et à tous !fabien75fabien@yahoo.fr       Bonjour à toutes et à tous ! Jérém&Nico       Bonjour à toutes et à tous ! jeremXnico      Bonjour à toutes et à tous ! pour participer à cette aventure

     

    Oui, c'est puissant et fascinant la sexualité d'un garçon de 19 ans...
    Encore il y a une heure je n'osais imaginer pouvoir un jour accéder à l'intimité de ce bel étalon et voilà qu'il vient de m'annoncer qu'un troisième tour est à l'ordre du jour...
    Met toi sur le ventre - il me lance d'un ton ferme, très directif. Je vibre, je frissonne. Et surtout je m'exécute. Il est derrière moi, je sens la présence de son corps musclé dans mon dos. Avec ses genoux il écarte mes jambes. Le rêve érotique qui a peuplé tant des fois mes moments de plaisir solitaire va enfin se réaliser. Le bon sens voudrait qu'il enfile une capote, le désir est d'un autre avis. J'espère qu'il ne va pas la mettre, de toute manière, j'ai déjà avalé ou léché deux éjaculations abondantes, et j'ai envie de lui faire confiance. Et surtout j'ai trop envie de me sentir fourré par le jus de ce mec...j'ai trop envie de me savoir rempli de sa semence au plus profond de mon intimité. Le désir rend fou.
    Il descend mon caleçon juste ce qu'il faut pour pouvoir accéder à mon ti trou. Je le sens cracher, sans doute dans sa main, sans doute pour mouiller sa queue. Ses mains saisissent fermement mes fesses, les écartent: il crache sur ma rondelle. Je suis sa chose. Je sens sa queue appuyer sur mon ti trou. La boite de capotes n'a pas bougé de sa place. Je suis aux anges. Je vais me faire sauter par Jérémie. Le beau gosse. J'en frissonne. Ma queue va exploser. La sienne fait de vas et viens dans ma raie, me chatouillant la rondelle. Il me fait languir. Au bout d'un moment, le cul en feu, je ne peux me retenir de lui lancer: Prends moi s'il te plait, trop envie... s'il te plait!
    T'inquiètes, tu vas la sentir passer...
    Son gland vise à présent ma rondelle. Il pousse. Mon orifice oppose résistance à cette tentative d'intrusion. A nouveau il saisit mes fesses, les écarte et recrache sur ma rondelle. Il appuie à nouveau son gland, lentement. Et là, petit à petit, je sens son sexe vaincre la résistance de mon anus, je sens ma rondelle s'ouvrir, s'offrir aux besoins sexuels de ce mec: centimètre après centimètre, je sens sa queue glisser en moi, remplir mon cul, prendre possession de mon intimité, apporter 18 cm de puissance sexuelle entre mes fesses si passives, si offertes, écrasant de sa virilité le peu de sexualité masculine qui est la mienne et la réduisant à l'impuissance.
    Je me rend compte à ce moment là que j'adore me sentir débordé par la puissance sexuelle d'un garçon. J'adore m'imaginer impuissant face à un beau mec. Adorer sa queue, m'enivrer de son plaisir et oublier le mien. Me sentir sa femelle. Savoir que c'est lui le seul mec de nous deux. Me sentir passif, soumis, dominé. Sentir que mon plaisir dépend du sien, que mon plaisir est le sien.
    Il pousse encore avec son bassin et elle avance avance avance. J'adore ça, c'est indescriptible. Je suis fait pour ça, prendre une queue dans mon cul. C'est ma première fois et c'est la queue de Jérémie. Je suis comblé. Elle est arrivée au fond de sa course, je sens la peu douce et tiède de ses couilles contre mes fesses. J'écarte encore un peu plus les jambes pour m'offrir davantage à lui. Il ne bouge pas, sa queue remplit mon anus.
    Putain qu'est ce que c'est serré... c'est chaud...sa respiration est bruyante, entremêlée de soupirs bref et intenses. Le mec doit savourer cet instant, son plaisir, il doit jouir de la domination virile qu'il exerce sur moi, de cette sensation de m'émasculer par le débordement de sa sexualité. Cette sensation d'être le...mec.
    C'est ça que tu voulais, ma queue dans ton fion? Tu la sens bien là, vas y dis-le! C'est ça que tu voulais, être empalé pas ma bite!
    Oui, oui, oui, je la sens bien, j'adore te sentir en moi, j'adore sentir mon cul défoncé par ta bite... là c'est vraiment le pieu pour moi!
    J'étais presque dans un état second. Oui, le désir rend fou. Sa queue au plus profond de moi, la peau douce de ses abdos appuyant sur mes fesses; son parfum si frais, si masculin, désormais associé à une odeur de mec et de baise qui montait petit à petit, son goût persistant dans ma bouche, ses mots, son attitude dominatrice... j'en pouvais plus.
    Baise moi stp stp stp, vas y prend ton pieu, c'est toi le seul vrai mec ici, moi je suis là pour t'offrir du plaisir - je le suppliai.
    Tu es mon vide couilles, voilà ce que tu es.
    C'est ça, je suis ton vide couilles, fais toi plaisir, baise moi comme t'as envie et autant que tu veux...
    Là je te promet tu vas prendre cher... au bout de deux décharges je suis beaucoup plus long à venir. Je vais tellement t'éclater le cul que tu vas me demander d'arrêter par pitié!
    C'est tout ce que je demande...
    Vas y supplie moi encore de te baiser!
    S'il te plait, s'il te plait, baise moi, défonce moi autant que tu en as envie et soulage toi dans mon ti trou...
    Je me soulagerai là où j'en aurai envie!
    Et là il commence à me pilonner.
    D'abord un peu plus lentement, ensuite avec une vigueur intense. Au début j'ai un peu mal: il faut dire aussi que pour sa première fois, mon anus a affaire à un engin plutôt imposant; mais ce magnifique gourdin se fraye bientôt un chemin confortable dans mon intimité et la douleur laisse la place à un plaisir intense. Ses vas et viens, ses coups de reins me secouent de fond en comble; à chaque foulée je sens ses couilles frapper contre mes fesses. C'est le pieu absolu. Je gémit de plaisir.
    Tu fais ça trop bien, ta queue m'excite trop, c'est vraiment le pieu...
    Prend ça salope!
    C'est vrai, je suis sa salope, je suis le réceptacle de son plaisir. Pour moi, le pieu véritable est celui de faire jouir un garçon. C'est un plaisir psychologique bien avant d'être un plaisir physique, et c'est le nirvana.
    Ses coups de reins sont divins. Pour mieux me pilonner, il s'agrippe tour à tour à mes épaules ou à mes hanches, il serre ses mains puissantes autour de mon corps pour mieux prendre son élan, pour mieux atteindre son bonheur sexuel.
    La situation est tellement excitante, mes muscles sont tendus à l'extrême; sans que j'y touche, voilà que ma queue, serrée dans le caleçon, écrasée sous mon ventre, est prête à laisser exploser ma jouissance. Le gland frotte contre le tissu du caleçon sous les mouvements des coups de reins assenés par Jérémie et je sens monter du bas ventre cette chaleur qui annonce l'orgasme.
    Je vais pas pouvoir me retenir - je lui annonce.
    Vas y mouilles ta culotte comme une vraie salope, mouille pendant que je te baise, vas y!
    Je ne peux vraiment me retenir plus longtemps. Je sens plusieurs flots de sperme sortir de ma queue et tremper mon caleçon. J'ai joui mais pas Jérémie. Il continue donc de me pilonner comme avant. Parfois il s'arrête au fond de moi en savourant pendant un instant sa position de mâle dominant; ensuite il reprend son affaire de plus en plus vigoureusement.
    T'as vraiment un bon cul pour accueillir de la bite...
    J'ai joui et mon excitation est un peu retombée, mais ma soumission au plaisir de beau gosse rend encore suffisamment excitante cette situation pour que je prenne encore du plaisir à me faire sauter. Je le laisse continuer, ma queue toujours bandée, espérant qu'il ait bien envie de m'offrir ce cadeau précieux, quelques jets de sa semence fourrés bien au fond de mon cul.
    Comme tout à l'heure, à nouveau je sens la cadence de ses coups de boutoir se ralentir et ses allées et venues se faire plus amples; c'est le signe qu'il va jouir. Je me prépare à accueillir au plus profond de moi son éjaculation, avec une excitation qui me fait vibrer tout le corps.
    Putain, putain de cul à bite...
    Il faut alors imaginer ma frustration quand je le sens sortir de moi, appuyer son gland juste au dessous de ma rondelle et lâcher, rythmé par des râles bien virils, quelques bons jets chauds dans la raie entre mes fesses.
    Une seconde après il s'allonge sur le lit à coté de moi. Je ne peux croiser son regard, perdu dans le vide. Je sens son jus couler sur ma rondelle et glisser sur mes couilles pour terminer dans mon caleçon. Sa queue est magnifique, toujours raide, luisante de son sperme.
    Viens la nettoyer... - me lance - t'as pris ton pieu, maintenant il faut nettoyer ma queue; vas y! - exige-t-il devant ma nouvelle hésitation - sinon ça sert à quoi de se taper un mec s'il ne fait pas les trucs que les nanas ne veulent pas faire?
    Je surmonte alors rapidement la réticence qui me fait réfléchir avant de prendre en bouche une queue qui sort de mon cul; ainsi, pendant qu'il me regarde faire, avec ma langue je fais une toilette complète de cette queue qui n'a toujours pas débandé. Je retrouve le goût de son foutre, associé à quelque chose d'un peu plus fort mais ce n'est pas désagréable.
    Une fois terminé, je le regarde allongé sur le lit, le regard à nouveau loin de moi. Sous la respiration encore un peu accélérée par l'effort lié au long ébat, son torse se soulève au rythme de sa respiration, les muscles abdominaux et pectoraux ondulent comme vagues sur un champ de blé sous le vent au printemps. C'est l'image du mâle repu, le calme après la tempête des sens. C'est beau à voir et c'est bon de savoir que c'est moi qui lui a rendu ce service.
    Ma contemplation ne dure hélas qu'une seconde, il se lève, enfile son caleçon et son t-shirt blanc et sors fumer.
    Epuisé, je remonte mon caleçon et je m'allonge sur le dos. Je sens la présence de son jus sur ma peau, autour de ma rondelle, sur mes couilles et dans mon caleçon qu'il avait tout juste baissé pour avoir accès à mon petit trou.
    Seul sur le lit, je passe deux doigts dans mon entrejambe pour collecter un peu de ce jus et le sentir. Je ne peux résister à la tentation de goutter avec ma langue et je finis par tout lécher. Un instant plus tard ma main retourne à mon entrejambe pour une deuxième moisson; âpres avoir ramené un peu de jus à l'entrée de mon petit trou, j'introduis un doigt pour faire rentrer un peu de ce nectar que Jérémie a refusé de déposer en moi. Ma langue ne se prive pas de nettoyer ma main à la fin de sa mission.
    Je suis vraiment épuisée. Je sens sa présence et son gout dans ma bouche, dans mon trou, sur ma peau; mon ti cul est frustré de n'avoir pas reçu en son intérieur le fruit de sa masculinité; mais je suis heureux, heureux de qui s'est passé cet après midi, inimaginable encore deux heures auparavant; heureux car cette privation ressemble à la promesse de nouveaux plaisirs à venir.
    Il rentra un instant après. Vas y, rentre chez toi - me dit-t-il.
    Pendant que je m'habille, il s'allonge sur le lit, son corps magnifique moulé dans son t-shirt blanc et son caleçon noir. Il allume la télé. Il commence à zapper. Putain qu'il est beau. Ses couilles doivent être bien vides, sinon j'aurai bien voulu recommencer. Un mec comme ça, je me disais, est fait pour faire l'amour.
    Après avoir récupéré mes notes si inutiles, je me dirige vers la porte.
    Salut, je lui lance, puisque il ne décroche pas les yeux de l'écran.
    A plus - me retourne, sans me regarder.
    A demain!
    C'est ça...
    La porte de sa chambre claquée derrière moi, je sens un grand sens de vide. J'aurai aimé quand même un peu de chaleur, un simple mot de sa part pour me dire qu'il avait aimé, pour savoir s'il avait envie de recommencer.
    Je rentre chez moi à la fin de cet incroyable après midi. Mon caleçon trempé de mon sperme, de son sperme. Dans ma bouche un gout persistant, dans mon fondement le souvenir palpitant et sensible de cette pénétration prolongée, dans la tête l'image de ce corps d'apollon tout tendu à la recherche du plaisir, le sentiment de ses envies précises, ses attitudes dominatrices...
    Je suis tellement excité que j'en ai mal aux couilles; à la maison je me soulage sous la douche. Le soir dans le lit, je fais suivre ce caleçon doublement trempé. Une dernière branlette en le reniflant et en repensant à la sexualité de Jérémie et je m'endors.
    Demain c'est mardi, et je le reverrai en cours.


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    Je le regarde planté là, dans l'encadrement de la porte, en train de me jauger. Jérémie est très très beau, et vraiment super bien foutu; de plus il est charmant. Et ça, il ne le sait que trop bien. Oh que oui, il le sait; il sait qu'il a du pouvoir sur les gens et il sait que son sourire est une arme redoutable capable de faire tomber bien de barrières. Et il s'en prive pas. Charmant il l'est naturellement, charmeur il l'est par choix délibéré. Être désiré au delà du raisonnable et pouvoir choisir avec qui terminer sa soirée en disant merde à tous les autres, voilà ce qu'il aime. La mise en valeur de sa beauté naturelle, avec le soin de sa personne, avec des tenues simples mais sexy à souhait: des beaux jeans bien coupés, des t-shirt moulants, sa coupe de cheveux bien soignée sans en avoir l'air, son parfum si masculin et étourdissant, autant de provocations pour toutes celles et tous ceux qui n'auront jamais aucune chance avec lui.
    Il mesure parfaitement le pouvoir que sa beauté et son charme exercent sur les gens, femmes et hommes; et si la grande majorité des premières, et bon nombre des derniers, sont sensibles à ses atouts, voilà qu'il exerce sur presque tout le monde une forme de magnétisme et de charisme qui va bien au delà de son charme, une sorte de fascination qui se dégage naturellement de lui et qui le rend tout naturellement "mâle dominant".
    Non, on ne peut pas rester insensible à son sourire, à sa masculinité débordante, à sa jeunesse insolente. Et, en ce qui me concerne, sa queue me fait tourner la tête.
    Il esquissa un sourire avant de rentrer dans la chambre. J'étais à sa merci. Il ne referma pas la porte de la terrasse; une petite brise caressait mon torse que j'avais dénudé pendant sa cigarette. En traversant la pièce, il souleva son t-shirt et il l'enleva, le jetant négligemment sur un meuble. Son dos nu dépassant du jean était d'une beauté à rendre homo n'importe quel hétéro. La chaîne qui entourait son cou au dessous de la ligne bien dessiné de ses cheveux bruns, posée sur cette peau mate, était à craquer. En s'approchant du lit, il se tourna de 3/4 par rapport à moi. Je le regardais se défroquer et tout abandonner sur le sol. Je me demandais qu'est ce qu'il envisageait pour la suite... l'idée de ne pas savoir et d'être à sa merci m'excitait au plus haut point. Il s'allongea sur le lit, accoudé. Son torse était une vision magnifique. Cou, chute des épaules, biceps, pectoraux, tétons, abdos, chute de reins; et cette ligne de petits poils bruns et fins qui descendait depuis son nombril comme à indiquer le cheminements vers son sexe, tout cet ensemble anatomique était le dessin d'une harmonie parfaite, une déferlante de désir et une promesse de plaisir.
    Seul le caleçon DIM noir restait à sa place. Encore j'hésitais, incrédule devant à ce qui m'arrivait. Encore il me tira de mes rêveries pour me montrer que tout cela était bien réel.
    Maintenant tu sais où elle est, viens t'en occuper...
    Le ton de sa voix, qui traduisait une assurance et une virilité très affirmé pour son jeune âge, son sourire insolent, son regard coquin, tout cela rendait cet instant chargé d'une sensualité et d'un érotisme insoutenables. Rien que le regarder c'était du plaisir; savoir qu'il était là à ma porté était jouissif. J'aurai voulu faire durer cet instant pour toujours. Au bout de quelques secondes, le voyant s'impatienter j'obtempérai. J'enlevai mon jean et mes chaussettes.
    Garde ton caleçon et ne t'avise pas de te toucher pendant que tu me suces...
    Il avait les idées claires le mec.
    J'acquiesçai et j'avançai vers le lit, attiré par son caleçon comme une aiguille par un aimant. Sa queue raide à l'incroyable dessinait une belle bosse. J'attendais des consignes, elles ne tardèrent pas.
    Tu la veux, n'est pas, t'en a pas eu assez?
    C'était exactement cela. Je ne savais pas si répondre ou pas. Répondre par l'affirmative ç’aurait été me conformer à ce rôle de salope et de vide couilles que je commençai à assumer.
    Vas y, dis le que tu l'aimes ma queue! Ce n'était plus une question mais un ordre.
    Dis le que ça fait des années que tu en as envie et que tu te branles en fantasmant dessus, dis le que tu as envie que je te défonce le cul avec!!
    Le ton était si appuyé que je ne pus m'empêcher de répondre "oui c'est vrai" au comble de l' excitation.
    C'est vrai quoi?!
    Je sentis qu'il voulait que je me soumette à lui. Je décidai de lui faire plaisir.
    Oui, c'est vrai que j'ai envie de me faire baiser par un mec aussi canon que toi, j'ai envie d'avoir ta queue en moi, envie que tu jutes en moi, il n'y a que come ça que je vais prendre mon pied...
    Suces moi déjà et on verra ensuite si tu mérites que je me vide dans ton cul!
    J'entrepris alors de lui sucer la queue de bas en haut, ma langue tournant avec gourmandise autour de son gland; je lui léchais les couilles tout en le branlant et en titillant ses tétons magnifiques, ce qui avait l'air de l'exciter outre mesure.
    Je me retrouvai avec sa queue au fond de ma gorge, son bassin ayant repris à mettre de grands coups de reins. Il aimait vraiment décider lui même de son plaisir, contrôler la situation. Il y avait une sorte de rage dans son excitation, une vigueur agressive, prédatrice. C'était que du bonheur pour moi. J'étais de plus en plus sa salope, le réceptacle de son plaisir exclusif.
    Trop engagé sur cette voie, ne pouvant désormais revenir en arrière, je décidai de me lâcher dans ce rôle. J'avais envie de le surprendre, de lui faire un truc que sans doute aucune fille n'avait dû lui proposer auparavant. J'avais bien un truc dans la tête, mais j'hésitais, ne sachant pas s'il allait aimer. C'était un pas de plus dans le chemin de ma soumission à sa queue, à sa sexualité, à sa virilité. J'hésitais. Car les mecs prétendent, dans leur doctrine hétéro et leurs non dits, qu'ils n'aiment pas que l'on touche à cet endroit.
    Trop excité et trop envieux, je décidai quand même de m'y aventurer en douceur. Extirpant ma bouche de la domination de sa queue, j’entrepris de lui lécher les couilles, tout en continuant à le branler. De ses couilles, ma langue est ensuite descendue tout doucement et de plus en plus bas entre ses fesses. Je le sentais frissonner. Cela m'encourageait; je m'enhardissais tout en guettant le moindre signe de réticence. Mais rien de tel ne vint; au contraire, sa respiration et ses gémissements m'indiquaient qu'il prenait un pied que j'aimais imaginer lui être inédit. Rassurée, je trouvai l'audace de pousser le bout de ma langue jusqu'au bord de sa rondelle. Mes coups de langue, que j'administrais légers et espacés, le faisaient frémir. C'était un bonheur sans égal que celui de découvrir les touches sensibles du corps de ce beau garçon. Je continuais mes doux coups de langue jusqu'à que je sentis sa main se poser à l'arrière de ma nuque et pousser mon visage encore plus profondément entre ses fesses musclées. J'en déduisit qu'il voulait que j'y aille franco.
    Trop pris dans mon exploration, je fus contraint de lâcher sa queue. Ma langue se délia alors, elle devint aussi audacieuse que faire se peut. Souple et insatiable, elle cherchait à s'insinuer de plus en plus profondément dans l'intimité de Jérémie. Se devinais son plaisir à ses gémissements et à sa respiration saccadée. Qu'est que c'était bon! Je touchai mon caleçon. Il était trempé de la mouille que ma bite, au comble e l'excitation, continuait à lui envoyer.
    Jérémie se branlait en même temps. Je continuais à lui titiller la rondelle; au bout d'un moment je la sentis se contracter et se relâcher plusieurs fois. Le mec avait joui pendant que je lui bouffais le cul. Un instant après je sentis sa main repousser ma tête. Je relevais alors mon buste et je le regardais, beau à se damner, le torse marqué par plusieurs trainées de ce nectar dont le goût persistait dans ma bouche, ce jus blanc et épais qui brillait à la lumière du jour. L'odeur qu'il dégageait me rendait dingue.
    Je croisais son regard de braise.
    T'attends quoi? me demanda-t-il froidement.
    Sans vraiment comprendre le sens de sa question, mais frustré par ce gâchis, excité comme jamais, j'osai lui demander: je peux nettoyer ça?
    Il acquiesça d'un signe de tête. Je me penchai alors sur ce torse magnifique et je le parcourais de fond en comble pour recueillir son jus si dense et parfumé. Ma langue se baladait et frémissait sur sa peau douce et tiède, parcourant avec volupté les sillons et les crêtes de ses abdos et de ses pectoraux. Et ses abdos, putain, ils étaient durs comme du béton. Alors que sa peau était, elle, douce, tiède, soyeuse, un bonheur. Je sentais ses muscles réagir au passage de ma langue. Une giclée avait atterri sur un téton. Quand ma langue y arriva, ça le fit sursauter. Encouragé, j’entrepris d'y tourner autour avec le bout de ma langue, avec des coups légers et d'autres plus appuyés. Au bout d'un moment je fus agréablement surpris de voir que sa queue, à moitié retombée après ce deuxième orgasme, venait de raidir soudainement. Je m'empressais de nettoyer la dernière goutte se sperme autour de son gland quand je l'entendis me dire:
    Ça te plait de bouffer mon jus... T'as de la chance, t'as pas fini d'en bouffer...
    C'est puissant et fascinant la sexualité d'un mec de 19 ans... mon 5 à 7 n'était pas terminé...


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    Jérémie a 19 ans. Il est brun, des beaux cheveux assez courts, toujours bien coiffés, un torse en V magnifique, des épaules carrées, sculptés par le rugby, un cou puissant. Aujourd'hui, en cette fin d'année de lycée, il porte un t-shirt blanc bien moulant, cou en V assez profond d'où dépasse une chaine dorée. Son t-shirt est comme une deuxième peau qui semble taillée sur mesure tant il met en valeur les lignes magnifiques de son torse. Ultra sexy. Il se rase le torse, mais ça commence à repousser. Le blanc du t-shirt fait ressortir encore plus la couleur mate de sa peau. Un brassard tatoué juste au dessous de la manchette droite. Bandant. Beau, un sourire ravageur aux lèvres. Craquant. Charmant naturellement, charmeur par acharnement. En un mot: une bombe. Cinq ans qu'il me fait bander en classe; 5 ans que j'ose tout juste le regarder et presque jamais lui parler. Mais cette année ça a changé. Trop sollicité par la gens féminine, cette année de bac il a trop baisé et pas assez révisé. Il est arrivé à la fin du dernier trimestre avec pas mal de retard dans presque toutes les matières. Le jour qu'il a pris une brêle en math, je lui ai proposé de l'aider à réviser. C'était le mois d'avril avant le bac. A ma grande surprise il a dit oui.
    Je le retrouve alors chez lui en fin d'après midi après les cours. En tapotant à sa porte d'internat, j'ai le cœur qui bat la chamade. Je me dis "t'es con, pourquoi tu t'imposes ça, tu vas être à côté de lui pendant des heures, tu vas sentir son parfum, tu vas avoir envie de lui, tu vas même pas arriver à te concentrer tellement il te fait craquer... tu lui as proposé de l'aider juste pour te rapprocher un peu de lui, alors que de toute manière tu 'auras pas le cran de tenter quoique ce soit: car d'abord tu n'oses pas, tu as peur que ça se sache; ensuite, tu as peur qu'il te mette son poing dans la gueule; et enfin, tout simplement, tu te dis, il est trop canon pour toi.
    La porte s'ouvre, il apparait dans l'embrasure. Beau comme un dieu, le même jean et t-shirt blanc moulant que tout à l'heure. Sa barbe brune de trois jours ajoute encore à son charme. Avec son plus beau sourire il me dit "Entre". Je vais pas tenir, je craque littéralement. Dans mon ventre une étrange sensation, un désir qui me ravage.
    Sa chambre d'étudiant est une véritable tanière de mec. Du bordel partout, le lit défait dans un coin. Une grande boite de capotes juste à coté. Je me surprend à imaginer combien de filles ont dû trouver leur pied dans ce lit avec ce beau mâle. Il parait qu'il a même sauté la prof d'anglais, qui a le double de son âge.
    Putain qu'il sent bon, je crois que je vais le supplier de me laisser le sucer. Au lieu de quoi, je m'installe à la petite table juste à côté de lui. J'ouvre un cahier de notes et je lui demande ce qu'il veut réviser en priorité. Il me dit qu'il me fait confiance. J'essaye de me concentrer, je commence à lui parler maths. Je sens son regard perçant sur moi. Je me sens mal à l'aise. Je finis par croiser ses yeux noirs si charmants. Son sourire au coin des lèvres a quelque chose d'étourdissant, de magnétique, un truc qui me fait penser à Colin Farrell à l'époque du film La Recrue. Je suis trop tendu pour penser à lui renvoyer un sourire. J'ai soutenu son regard pendant quelques seconds et je viens de m'apercevoir que j'ai arrêté de parler. Lui aussi s'en est aperçu, et son petit sourire est devenu un grand sourire qui embrase son beau visage aux traits virils. Je retourne à me notes, mais pas longtemps. Du coin de l'œil je m'aperçois qu'il est en train de se tripoter le paquet. Je me dis qu'il est en train de la rajuster dans le jean. Mais il continue. Je ne veux pas regarder, je ne veux pas qu'il s'aperçoive que je suis intéressé. Je ne suis pas assez fort, je finis par tourner un peu la tête: je vois une bosse dans son jean et sous le tissu je devine une belle poutre serrée pas le coton. Son t-shirt est un peu soulevé en bas du dos et le bord d'un caleçon noir DIM dépasse. Entre les deux, un bout de peau est à l'air. Je l'ai vu torse nu quelques fois, en sortant des douches avec une serviette autour de la taille, une fois ou deux lors de soirées bien arrosées. Ça fait mal d'être pd et de côtoyer des mecs comme ça... Et là j'ai trop envie... J'ai fini pour me tourner complètement vers lui sans m'en rendre compte; je regarde sa main caresser négligemment le jean et je n'arrive plus à m'en détacher.
    "Qu'est ce que tu mâtes?" me demande-t-il. La honte. Je reviens vers mon cahier, rouge comme une pivoine. "Eh mec - me dit en posant une main sur mon épaule - je sais que tu veux la voir, je sais que tu en as envie... alors viens la chercher...".
    Arrête de déconner ...
    Je déconne pas...
    Je n'arrive pas à le regarder. Il me saisit alors la main et vient la poser sur sa braguette.
    Je déconne pas...viens défaire mon pantalon...
    Il s'est levé, il est désormais adosse au mur, viril à craquer.
    J'hésite, alors il m'ordonne: Mets toi à genoux et suces!
    Mon cœur va exploser. Il ne rigole pas. J'en ai trop envie et après tout c'est ce qu'il veut.
    Je le rejoins, je me met à genoux, je défais sa ceinture, sa braguette, j'arrive à la lisière de son caleçon. Un parfum de propre mêlé à un léger parfum de sexe masculin monte à mes narines, étourdissant. Sa poutre, raide comme un piquet, dessine une belle forme sous son caleçon. Je le descend. Là aussi c'est coupé court, au dessus de la queue et sur les couilles. En plus d'être magnifique, il est soigné, le bougre. Elle est là, devant mon nez, droite, raide, belle, délicieuse. Devant mon hésitation, il avance le bassin, il vient forcer mes lèvres. J'ouvre la bouche, je l'avale presque entière. Il commence alors des va et viens avec son bassin. Je lève les yeux pour le voir prendre son pied. Il respire fort, il gémit.
    Tu en avais envie, n'est pas petit cochon, n'est pas petite salope, j'ai vu comme tu me regardais, je savais que tu avais une bonne bouche à pipes, vas y comme ça, vas y comme ça...
    Ma langue se promène avec entrain et gourmandise sur son gland rouge, tout essayant pour lui donner le plus de plaisir, essayant de découvrir ce qu'il aime, ce qui le fait frissonner, recherchant le bon tempo de sa jouissance. J'avale sa queue jusqu'au fond de ma gorge, il semble apprécier.
    Tu l'aimes ma queue, vas y suces là comme ça, vas y, t'es un bon pédé, il te faut une queue de mec pour prendre ton pied....
    Il me saisit la tète et recommence à mettre de grands coups de bassin et à envoyer sa queue jusqu'au fond de ma gorge. Le bas de son t-shirt vient taper sur mon nez. J'aperçois son nombril, ses abdos, un parfum de bon, de propre, de tiède et de mec s'en dégage, ça me fait tourner la tête. C'est un engin de 18 cm qu'il envoie au fond de ma gorge sans management alors j'essaye de fermer un peu la bouche pour me protéger.
    Il voit la chose autrement: Ouvres bien la bouche, vas y, c'est comme ça que c'est le meilleur...
    Je m'exécute. Je soulève son t-shirt pour aller titiller ses tétons. D'un geste rapide il me retourne, tête contre le mur. Il est debout devant moi, les deux mains appuyés au même mur. Il rentre sa queue dans ma bouche et recommence à la baiser avec une vigueur renouvelée. Ça me fait un peu mal mais c'est si excitant de me soumettre complètement au plaisir d'un si bel étalon. Je fais glisser mes mains sous son t-shirt pour exciter ses tétons.
    Il frissonne de plaisir. Je sens qu'il n'est pas loin d'exploser. D'un ton péremptoire il me lance: Je vais jouir et tu vas tout avaler...
    Ses coups de butoir changent de rythme: les allez retour se font plus lents, plus amples. Je l'entend lancer des "oui, oui, oui, oui..." presque en état d'hypnose. Et il jouit dans ma bouche: un après l'autre, 5 ou 6 jets chauds et épais. Les deux premiers atterrissent bien au fond de ma gorge, je le sens couler en moi sans besoin d'avaler. Les autres arrivent sur ma langue, étalant dans mon palais ce gout un peu fort et un peu salé... que j'adore.
    J'ai juste le temps de nettoyer avec ma langue les dernières gouttes de son jus autour de son gland; sans un regard il remonte le caleçon et le pantalon; il attrape le paquet de cigarette sur la table où j'avais ouvert mes notes inutiles. D'un geste viril il allume la clope et il sort sur la terrasse. Je le regarde, de dos, appuyé au mur, en plein soleil: je regarde sa silhouette parfaite moulée par ce coton blanc super bien coupé; les manches épousent à la perfection les muscles saillants de ses biceps, et la lumière de cette fin d'après midi du mois de mai met encore plus en contraste la couleur ambrée de sa peau venant des ses origines napolitaines et la couleur immaculée de son t-shirt.
    En ce moment je n'ai pas encore joui, je n'ai même pas défait mon pantalon, il ne m'a même pas touché, à part avec sa queue; j'ai son gout dans ma bouche et je n'arrive pas encore à réaliser que tout ça s'est produit. C'est un gout un peu amer, quand de mes lèvres il s'enlève... et ça m'excite, je sens ma queue exploser dans mon pantalon, je la sens mouiller mon caleçon.
    D'une chose je suis sur, j'ai envie de me faire baiser par ce mec, j'ai envie de l'avoir en moi, de m'offrir à lui pour son plaisir le plus total, de me sentir possédé par lui, de me savoir fourré par le fruit chaud et épais de sa virilité. Je défais mon jean et je commence à me branler quand il rentre et il me lance d'un ton ferme: arrête de te branler, j'en ai pas fini avec toi...


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     Nico : Travail, vie privée, écriture… ça fait pas mal d’occupations…

    Fabien : Oui, et ce n’est pas facile tous les jours de jongler entre les trois… l'écriture est une amie exigeante et, trop pris par le quotidien, parfois le temps manque pour m'y consacrer…

    L'histoire de Nico et Jérém est loin, très loin de connaître son épilogue. Il reste beaucoup d'épisodes à développer et ils gagneraient en intensité à être développés plus rapidement.

    C’est pour cela que je voudrais faire appel à mes lectrices et à mes lecteurs pour m’aider à amener mon projet au bout…

    Nico : De quelle façon peuvent-t-il t’aider ?

    Fabien : En adhérant à un projet qui me tient vraiment à cœur. Il s’agit d’un financement participatif avec le site Tipeee.com. Voici le lien de ma page: www.tipeee.com/jerem-nico-s1

    Nico : Pourquoi un financement participatif ?

    Fabien : Pour lever un peu le pied de mon activité professionnelle, et dégager du temps pour accélérer le développement de l’histoire. Tipeee.com est une plateforme qui aide à financer toute sorte de projets.

    Nico : Qui peut t’aider ?

    Fabien : Tout le monde, à hauteur de ses moyens et de ses envies…

    Nico : Tu crois que ton histoire intéresse tes lecteurs au point de les amener à t’aider matériellement ?

    Fabien : Peut-être que mon idée est complètement saugrenue, peut-être même prétentieuse. Je ne sais pas. Mais elle me tient vraiment à cœur. Jamais un projet ne m’a tenu autant à cœur que celui-ci.

    Et j'ose imaginer qu’il peut tenir également à cœur à certaines lectrices et à certains lecteurs qui la suivent chaque semaine… certains d’entre eux me font un plaisir fou en m’envoyant des commentaires touchants, des mots qui me montrent à quel point cette histoire est le moyen de partager des ressentis…

    Nico : Partager des ressentis, c’est un élément important dans ta passion ?

    Fabien : Je crois que c’est le véritable but de cette aventure… montrer à tous les Nico et à tous les Jérém qui peuvent y tomber dessus, qu’ils ne sont pas seuls à ressentir ce qu’ils ressentent…

    Nico : Tu as un plan de communication pour promouvoir ton histoire ?

    Fabien : Ce site, crée par Maud, que je remercie beaucoup. 

    La chaîne Youtube, modestement crée par moi-même, avec des vidéos encore plus modestement made chez moi...

    La page: facebook.com/jeremXnico (crée et entretenue par Pierre).


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    Mon histoire...

    ... c'est l'histoire d'un mec...

     

    D'abord, bonjour à vous, bonjour à toi, et merci de l'intérêt que tu portes à mon projet, si tu es arrivé à lire jusqu'ici...

    Voilà, moi c'est Fabien.

    Mon histoire perso c’est l’histoire d’un mec qui a toujours aimé écrire, une passion de laquelle la vie l’a éloigné pendant 15 ans.

    D’où est sortie cette histoire, alors ?

    Bonne question... je n'en sais rien... cette histoire était en moi, ou plutôt elle s'est accumulée en moi jour après jour… peut-être que tout simplement j'avais besoin de temps pour vivre, imaginer, rêver ou rater ce que j'écrirais plus tard.

    Et puis, à un moment, tout cela a commencé à déborder, comme de la lave en fusion...

    L’histoire de Jérém et de Nico est née un jour de l’été 2014, lorsque j’ai eu envie de me mettre à mon clavier et de commencer à remplir de la page.

    Jérém&Nico ce n’est pas mon histoire. C’est une histoire imaginée, mais une histoire qui contient, le plus souvent entre les lignes, pas mal de mon histoire.

    Très vite, l’écriture est allée bien au delà des quelques épisodes imaginés au départ… depuis le départ, elle vient toute seule, comme une évidence.

    Mon histoire, c’est l’histoire d’un mec qui ne voit pas le temps passer quand il est devant son clavier, qui oublie tout et vit avec ses personnages

    Un mec qui voudrait avoir à disposition plus de temps pour écrire, sans s’empêcher de vivre à côté.

    Voilà l’histoire. Oui, je sais, c’est un projet un peu fou.

    Mon histoire c’est aussi l’histoire d’un mec qui a envie de mener à bout un projet qui représente beaucoup à ses yeux.

    Un mec qui a besoin de VOUS.

    La chanson dit « je peux faire ça tout seul »… mais non, je ne peux pas faire ça tout seul.

    J’ai besoin de vous pour aller plus loin et pour y aller plus vite!

    Qui est prêt à sauter le pas avec moi ?

     

    Qui est prêt à me suivre dans cette aventure ?

     

    C'est qui ce Fabien ?

     


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