• Comme promis, un aperçu de mes fichiers de travail, une sorte de making of, mes notes avant rédaction, sorte de voyage dans le processus d’écriture.
    En rouge, des suggestions de lecteurs, souvent très inspirantes et à propos.
    Merci aux lecteurs qui se reconnaitront, et merci à ceux qui ont pris part à la soirée du 6 décembre dernier, dont bien de propos ont été repris au fil des derniers épisodes dans les mots d’Elodie.
    L’écriture d’un épisode, démarre d’un fichier comme celui-ci, bourré de notes prises à différents moments.
    Le premier taf, le plus dur, c’est mettre les notes dans un ordre logique et faire des choix, car parfois les notes peuvent être contradictoires les unes avec les autres.
    Une fois les notes triées et mises dans l’ordre voulu, l’écriture commence.
    Une première rédaction pour transformer les notes en texte brut.
    Une session de remixage pour donner au texte brut un éclat esthétique et retravailler les séquences.
    Une dernière session, si possible 48 plus tard, pour fignoler les détails.
    Un épisode de longueur moyenne, 10 pages, demande 20 heures de rédaction.
    Du pur bonheur, mais un engagement quand même.
    Fabien


    Depuis le début de l'histoire, la situation n'a jamais été aussi tendue entre Jerem et Nico et, de ce point de vue,  cet épisode est d'une rare intensité, il en est poignant à pleurer pour ce qu'endure Nico. Il y a d'abord la colère de Jerem. A son vieux démon, son mal être d'avoir découvert qu'il aime les garçons, s'ajoute la menace suprême que cela se sache parmi ses potes du lycée ou du rugby par le fait que Nico, qui vit mal cette relation avec Jerem qui ne l'aime pas comme lui l'aime, s'est confié à Thibault. Jerem a déjà du mal à assumer lui-même sa sexualité alors il n'est pas prêt à l'assumer aux yeux des autres.
    Nico à bien fait d'affronter Jerem car même si on peut lui trouver l'excuse qu'il vit mal sa situation, cela n'excuse en rien sa façon de se comporter avec Nico et Nico ne doit plus accepter de se laisser humilier comme cela. En quoi Nico, parce qu'il est homo passif, serait "un petit PD" moins respectable que Jerem actif qui lui aussi aime les garçons et prend tout autant de plaisir à baiser avec lui ? Le fait qu'il soit actif et Nico passif n'y change rien : ils prennent ensembles leur plaisir à leur façon.
    De toute évidence, Jerem, au-delà de sa colère, était content de retrouver Nico. Il éprouve quelque chose pour Nico mais ça lui coute de le reconnaitre et il tente de l'enfouir sous de la colère.  Ce n'est peut être pas un amour aussi passionnel que celui de Nico mais il faudra qu'ils se parlent. C'est à Nico de mettre les pieds dans le plat et de demander à Jerem comment il voit leur relation.
    Jérémie se comporte avec cruauté mais dans un certain sens je le comprends un peu (même si ça n'excuse rien). Il a peur de perdre un ami, peur que Thibault ne le voit plus pareil, pense que Jerem n'est plus un "vrai mec",etc. Même si c'est faux évidement.


    Je me suis attardé autout terrain rugby car il m’a fait un sourire en me voyant
    Ma cousine est avec moi et m’aide à tenir la tchatche
    C’est elle qui discute, thibault vient nous parler
    Pendant que
    Jerem a marqué très bien joué, pas mal de monde vient le feliciter, il boit un coup

    On va faire des grillades chez l’entraineur


    j’adore le voir courir sur le terrain, passer devant moi en courant, tout son corps, son être, son âme au jeu, si sérieux, concentré sur le jeu, happé par le jeu, la musculature en action, comme un beagle à la chasse du gibier,

    STANDARD
    Joueur bien proportionné, aussi grand que musclé.
    Rapide, vif et remuant
    Poil court et brun, très brun
    QUALITES
    Joueur infatigable et rusé


    un regard penetrant lorsque le jeu l’amène du coté du terrain ou je suis avec ma cousine

    Les ailiers se situent au bout de la ligne d'attaque. Leur rôle offensif principal est de conclure l'action amorcée par les trois-quarts. Ce sont donc des finisseurs et en général, les meilleurs marqueurs d'essais d'une équipe. Les ailiers sont souvent les joueurs les plus rapides de leur équipe. En effet, à ce poste, la vitesse est primordiale car elle doit leur permettre de s'infiltrer dans l'espace non occupé pour aller marquer un essai, certains ailiers sont même capables de courir le 100 m en moins de 11 secondes. En phase offensive, ils ne doivent pas forcément se cantonner à leur aile et peuvent aller de l'autre côté afin de créer des surnombres pour passer la défense. S'ils sont surtout réputés pour leurs essais marqués, ils doivent être de bons défenseurs et plaqueurs pour défendre sur leur vis-à-vis mais aussi empêcher les touches (dans la mesure du possible) qui permettent à l'adversaire d'occuper le terrain.

    Grand gabarit pour un ailier mais une vitesse, une agilité, une reactivité, une vivacité, une energie

    Le but du jeu consiste à marquer plus de points que l'adversaire. Les points sont obtenus en marquant :
    •    un essai : un essai est marqué lorsqu’un joueur effectue un touché à terre dans l’en-but ; ceci peut se faire de deux manières :
    1.    En touchant le sol avec le ballon. Un joueur fait un touché à terre lorsqu’il tient le ballon et le met en contact avec le sol dans l’en-but. Le terme « tenir » signifie avoir le ballon dans sa main ou ses mains ou dans son bras ou ses bras. Il n’est pas nécessaire d’exercer une pression vers le bas.
    2.    En appuyant sur le ballon. Un joueur fait un touché à terre lorsque le ballon est au sol dans l’en-but et que le joueur exerce sur celui-ci une pression de haut en bas, de la ou des mains, du ou des bras ou de la partie avant du corps, comprise entre la taille et le cou, taille et cou inclus.
    Si un joueur s'interpose entre le ballon et l'en-but au moment où le ballon est aplati, l'essai n'est pas accordé. La ligne d'en but et la base du poteau comptent comme parties tenantes de la zone d'en-but. La zone de « ballon-mort » est définie par la prolongation de la ligne de touche et la seconde limite du terrain.
    Un essai rapporte cinq points à l’équipe qui le marque et lui donne le droit de tenter un but appelé « transformation » qui rapporte deux points supplémentaires s’il est réussi. La tentative de but de transformation peut se faire en coup de pied placé (ballon posé sur le sol) ou en coup de pied tombé. Lors de la tentative de transformation, le ballon doit être frappé par le botteur sur une ligne imaginaire parallèle à la ligne de touche et passant par le point où l’essai a été marqué. À l'origine, le fait d'aplatir dans l'en-but ne marquait aucun point mais donnait seulement le droit de tenter un but d'où son nom d'essai, transformable en but (try, « essayer » en anglais).
    •    un but : le ballon passe entre les poteaux, au-dessus de la barre transversale, sur un coup de pied « placé » ou sur un coup de pied « tombé » (drop en anglais) dans certaines circonstances, en particulier comme pénalité infligée à l'adversaire. Sauf pour la transformation évoquée ci-dessus, les buts rapportent 3 points.
    dernière minute du match, l’auipe de Jérém est meneés lorsque le capitaine Philippe Saint-André tente une relance depuis son propre camp qui finira 80 mètres plus loin par un essai de Jean-Luc Sadourny qui donne la victoire aux français.

    Le demi de mêlée (numéro 9) anime le jeu : c'est généralement lui qui récupère le ballon en sortie de touche, de mêlée ou de regroupement. Il choisit de jouer à droite ou à gauche vers ses arrières, de passer le ballon à l'un des avants pour tenter d'avancer en percussion au ras du regroupement, ou, plus rarement, de taper au pied au-dessus de la défense adverse. Il introduit également le ballon dans la mêlée. Agile et vif, il est capable de faire des passes rapides et précises afin de dynamiser le jeu. Demi de mêlée est souvent considéré comme un poste dangereux car en sortie de mêlée fermée, il n'est pas rare de le voir se faire plaquer par un flanqueur tout juste détaché de son pack.

    Magnifique passe au pied de Thibault demi d melee pour son ailier Jerem 11. Cet essai permet à à leur équipe de reprendre l'avantage au score dans ce match qu'ils remporteront de fort belle manière.
    25-24 alors qu’ils étaient 20-24 colomiers

    Le match est fini
    Jerem a la banane jusqu’aux oreilles, il est souriant, sautiallant avec ses potes, ils sont fous, il est fier de lui, mais il n’a pas l’attitude d’un mec qui se la pete, il est heureux, heureux avec ses potes, pour lui, mais pour ses potes aussi
    Il serre thibualt dans ses bras, ils se regardent, il s ne tiennen plus en place, serrés dans les bras ‘lun de l’autre, leurs visages à moins de 20 cm, j’ai l’impression qu’ils vont s’enbrasser, ils se serrents une nouvelle fois, pecs contre pecs
    Il serre julien, d’autres joueurs et à nouveau son thib
    Il est felicité, les journalistes de la depeche du midi
    jerem est tout souriant, il est heureux comme un gamin

    Voilà, à faire jouir d'urgence c'est ça !
    J'espère qu'il a quelqu'un qui sait le faire jouir comme il mérite !!!!
    Mais hier il y avait le côté touchant en plus, il était au bord des larmes, tellement il était heureux d'avoir réussi c'était vraiment adorable....
    Et il est vraiment adorable à la fin de son numéro, tu sens qu'il a vraiment tout donné et il est fier comme un gosse, et il a envie de pleurer....

    Il est excité
    Un petit sourire, il est aux anges, j’ai m’impression que rien ne pourrait le rendre plus heureux , il leve le visage au ciel
    Complicité entre cohequipiers
    Il est degoulinant de sueur, il est torse nu, le maillot coincé vite fait dans son short, pendouillant le long sa jambe

    Elodie
    si jamais après le match il veut de toi, tu le recadres, tu lu mets les pendules à l’heure… bien sur il te fait jouir, mais toi aussi, ne l’oublies jamais… s’il te baise depuis des mois, c’est que ça lui plait… et autant de contact physique, ça crée forcement une intimité, des sentiments… tu es touchant… il ne peut pas etre insensible à ton amour… ça ferait de lui un monstre… et je me refuse d’imaginer qu’un mec aussi canon puisse être un monstre
    oui, mais hier il a été dur, mechant, il m’a fait mal
    arrete donc de pleurer… de toute facon tu sais très bien que tu ne vas pas savoir y renoncer, ce qui serait probablement la meilleure cheose à faire, alors il faut faire avec, il va falloir que tu te fasses respecter
    moi j’y vais, et tu te laisses aller à ton bobrun, mais tu t’imposes, compris ? deja tu lui fais la tete, qu’il aille à te demander pourquoi tu fais la tete, et s’il ne te demande pas, tu lui dis quand meme !

    la montre de thibault
    il a peut etre dormi chez lui après une soirée un peu arrosée ou pour le reconforter de sa blessure de ses inquietudes… tu sais, ça se fait ça entre potes, dormir chez son pote, dans le même lit


    Mais le vent souffle fort, plus tard il remet son maillot

    jerem voit nico toujours aux abords du terrain, petit sourire magnifique en coin, il fait un signe tete à nico
    echange regards après match
    t’as vu comme il t’a regardé, cousin, ce regard de fauve fier et touchant que tu sois là, il est content que tu sois là, content que tu ais assisté à sa victoire, ça crève les yeux

    elodie s’en va
    beaucoup de monde s’en va
    tout le monde est parti, le vestiaire est vide
    je rentre
    je l’entends pisser dans les chiottes pissotières
    il revient
    j’ai enjambé un banc des vestiaires, odeurs, placards ouverts, odeur douche, deo bon marché
    il a enjambé un autre banc, il boit, il me toise, on est à peut etre cinque metres

    j’y vais, je lui en veux, et ma cousine m’a reboosté, je fais la tete
    qu’est ce que t’as ?
    t’y as été fort, hier…
    ca va, j’étais enervé, j’étais inquiet pour le match
    oui, mais je ne suis pas ton punching ball

    moi aussi je me laisse baiser parce que tu es un bon coup…
    mais, avoue, je te fais jouir comme rarement tu as joui, que avec moi tu prends ton pied comme jamais

    il sourit, juste sourit, merdeux, vilain, moqueur, méprisant mauvais
    sinon tu ne m’aurais pas baisé autant
    je te l’ai dit, bonne bouche, bon cul
    je joue le tout pour tout
    il y en a d’autres des culs et des bouches
    bien sur, tu as une queue de fou, mais je sais la rendre heureuse


    et la je le vois se lever, avancer vers moi, enjamber le banc où je suis assis, se pencher en avant, vers moi, en prenant appui sur ses amins posées à plat sur le banc
    j’ai eu un mouvement de recul le voyant arriver, voyant ce corps musclé envahir mon espace vital…
    il me toise de très près
    je regarde le gros bleu sur son épaule, desormais bien marron
    je suis desolé pour ton accident dimanche dernier, j’y ai pensé toute la semaine
    il ne dit rien, il me toise
    il me toise, j’ai le cœur qui tape à mile et la je le vois glisser sur le banc vers moi, ses genoux poussent les miens… ce simple contact de peau chaude est divin

    Il est assis face de moi sur le banc de muscu, il me sourir et c’est beau à tomber
    Ce simple sourire demonte et fait fondre tous mes arguments et mes griefs comme neige au soleil
    Je ne suis plus que désir
    Explication finie sur son sourire et son sexe tendu

    Attitude apaisée, jerem fier et souriant


    avec son maillot blanc
    et vert, il approche, appuye le front contre le mien
    Je sens sa transpiration contre mon front, la chaleur de son corps, les odeurs de son corps , transpiration, deo, gel douche
    J’arrive à voir son torse dans le baillement du col du maillot… des odeurs s’en degagent, bons, j’attrape le tissu et je ploge mon nez dedans, tout en portant une main sur a bosse cachée encore par le short de jerem
    Il est sexy grave, c’est le feu qui me ravage
    Je l’embrasse il se laisse faire, me mordille, quelques bisous legers, je ferme les yeau, j’ai envie de pleurer
    Il s’allonge, dos sur le banc… le bosse est remarquable sous son short blanc… je comprends le signal, jme penche sur son short et j’extirpe douceent, lentement sa queeu bien raide…
    Le mec a mouillé le maillot… et le boxer aussi… ça sens bon, fort, humide, sexe, ça sent la queue et les couilles… j’adore… une petite trace de mouille dans son boxer
    sa queue sort comme un coup de ressort, je suis si pres que je la prends en pleine figure, elle est là belle magnifique, dure, je la hume, je me fais violence pour ne pas la prendre en bouche pour retarder le plus possible le moment divis où je gouterai à la douce raideur de son gland tiedeur
    Lorsque je le prends en bouche tiede, pipi, et mouille un peu salé qui suinte sans discontinuer… c’est rare chez jerem
    Jerem toujours pas douché, sens bon les odeurs de male

    Ses pieds posés par terre, ses jambes d’un coté » et d’autre de la planche
    Je suis toujours assis sur la planche
    Sa queue est bien chaude

    Allongé sur la planche, je suis les mouvement involontaires de ses bras avec la queue de l’œil, ils se plient, se croisent sur sa tete, ses biceps se contractent, ses poigs se ferment, les bras divaguent, ils ne tiennent pas en place, on dirant des gestes de bébé dans son berceau alors que ce sont les mouvements inconscient d’un beau mec en train de prendre son pied au dela du raisonnable
    Mouvements de comme bébé

    Son bassin ondule
    Il releve la tete de temps à autre, il me regarde
    Les bras pliés, il se tient aux bords de la planche
    Je le vois rabattre la tete en arrière
    Toujours le short à mi jambes

    Le sucer avec son maillot vert et blanc
    L’imaginer dans le maillot que je lui ai acheté
    Je ne sais toujours pas quand je vais lui donner
    Comme cadeau pour sa victoire, profitant de son humeur joyeuse ?


    Il s’agrippe à la tete de la planche, il fremit, le plaisir est tellement intense qu’il ne sait plus comment se mettre…
    Qu’est ce que c’est bon que de le sucer dqans ce sanctuaire à mecs… encore meilleur que le sucer après l’etrainement la derniere fois, le sucer après un match, un match dur, et gagné
    Pendant que je me suce, je passe la main sur son torse, legere, je le caresse
    Il releve la tete, il bombe le torse
    Je me penche sur lui, je le branle, je leche son torse, sa transpi, ses tetons
    Je capte les battements de son cœur, rapides, sa respiration courte, agitée, excitée

    J’ai fermé la porte derrière moi
    Il est souriant
    Il se releve, il m’attrape par les hanches, il tire mon bassin vers lui d’un geste rapide, presque violent, je me sens à lui, je me sens comme si je lui appartenait, comme si je n’avais pas le choix, me deshabille, short, boxer, chaussures
    Il se dessape à son tour
    Jerem triomphant
    Plus de bandage, mais un gros bleu à l’épaule


    Il me releve les jambes
    Il crache sur ma rondelle
    Il passe un doigt
    Il insiste, ça devient de plus en plus bon, il me fixe en train de jouir

    Je sens son souffle sur mes couilles, qui descend
    Son souffle sur ma rondelle
    Il me leche la rondelle
    D’abord timide
    Puis de plus en plus d’ntrain
    C’est bon à en pleurer

    Il s’allonge à nouveau, je m’empale sur lui, les pieds par terre, genial comme position, je maitrise le role,
    Je monte et descend
    Je regarde son corps chaud
    Envie de lui donner tout ce plaisir après ce match rude
    Ses mains puissantes agrippent mes cuisses, mes fesses
    Je le sens bien en moi, je le sens comme rarement je l’ai senti
    Je monte, je descends, je m’empale jusqu’au fond
    Je le regarde
    Respirer de plus en plus fort
    Le plaisir qui monte grace à moi
    J’ai pris le contrôle de la sodo, de son pied de mec

    T’aimes ma queue dans ton cul… il n’y a que comme ça que tu prends ton pied…
    Je me sens à toi
    T’en a pas eu assez de ma queue, hier ?
    J’en ai jamais assez

    Il releve la tete, il m’aide à monter et decendre, il me montre le bon rythme
    Je le regarde dans les yeux mais c’est moi qui a le controle
    Le voir grimacer, perdre le contrôle de son corps et de son esprit
    Il vient en moi
    Et je ne peux plus me retenir, je lui gicle sur le torse
    Je suis inquiet,
    Je vais jouir mais la vraie jouissance a été avant (juste reflexion Nico)
    Que c’est bon de jouir avec sa queue eu fond de moi et son just au fond de moi
    Tu vas nettoyer ma queue et mon torse

    Je leche tout



    harmonie des corps dans l'effort, passes entre les deux potes, regards entre potes, tout donner, mouiller le maillot, envie d'y arriver, d'y arriver ensemble


    Jerem le snobe, pas un regard,
    est-ce qu'il serait enervé que je sois là ?
    regards charmeurs après la victoire

    Dernier match de la saison de rugby, à cette occasion une foule impressionnante s’est amassée derrière la rambarde faisant le tour du terrain, au milieu de celle-ci  sa cousine tente de faire la conversation avec Nico mais c’est peine perdue, ses seules réponses jusqu’à présent étant des monosyllabes « oui », « non »  ou de simple « tu m’étonnes », tout un chacun pourrait croire que Nico est trop absorbé par le match pour s’intéresser à la conversation de sa cousine mais elle sait bien que ce n’est pas la beauté du jeu qui occupe l’esprit de Nico mais plutôt la beauté des acteurs de ce spectacle et particulière celle du premier rôle tenu par le fameux Jerem star sur le terrain comme à la ville. C’est vrai qu’il est beau, plus elle le regarde, plus elle le détaille, plus elle comprend pourquoi son cousin en temps normal si logique, si réfléchi se retourne la tête (et autre chose) sur un simple sifflement de Jerem. Chacun de ses mouvements, chacune de ses attitudes, chaque partie de son corps respire la testostérone et ça toute personne attirée par les hommes ressent ces choses-là, même elle, même si elle sait la souffrance qu’il fait endurer à son cousin qu’elle a toujours protégé de par son ainesse, le voir se mouvoir là au milieu de temps de testostérone la chamboule qu’elle le veuille ou non alors oui elle comprend comment son cousin peut se mettre dans un tel état et ne pas prendre part à sa conversation pour focaliser toute son attention sur le Jerem.

    Oui Nico ne prêtait pas attention au match mais aussi au score, l’issue de ce match representant tant aux yeux de mon bobrun
    oui il admirait la beauté viril de Jerem mais pas seulement, tant de beauté s’offraient à sa vue, un bras serrant le ballon faisant ressortir la musculature  d’un biceps bien rond à peine couper par la manche du maillot remonté par l’action, les arrières des cuisses sous les shorts remontant des troisièmes ligne lors de la poussée en mêlée. Que ce sport est érotique, faute d’être elegant, alors qu’une touche est lancée et que Nico voit un grand gaillard soulevé à plus d’un mètre vingt du sol par deux de ses coéquipiers,

    anulingus
    il me met sur le ventre
    le temps s’arrête, alors que Nico se demande ce qu’il se passe, il sent sur ses fesses la chaleur d’un souffle, celui de Jerem,
    sentir approcher sa langue de la cambrure de ses fesses en se rapprochant de plus en plus de la naissance de la raie de ses fesses, la glisse entre les deux globes de Nico et la remonte le long de sa colonne vertébrale  jusqu ‘à son cou. Nico adore ça il ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse de la langue de Jerem qui continue son petit jeu en partant de plus en plus bas entre ses fesses à chaque passage. Nico savoure ce moment de lévitation, il sent la chaleur des mains que jerem pose tour à tour sur ses flancs, ses épaules, il sent la douceur de la langue de Jerem caressant son trou, commençant petit à petit à s’y introduire, il sent la caresse du nez dans sa raie qui accompagne  cela, il sent le souffle de Jerem qui mélangé à la salive qui commence à s’accumuler entre ses fesses lui fait une sensation de fraicheur fort agréable. La langue de Jerem chauffant le derrière de Nico
    il m’encule, il me baise profond, je suis très receptif, ainsi chauffé…


    Un grand brouhaha des spectateurs choisit ce moment-là pour sortir Nico de sa rêverie, il met un certain temps avant de retrouver tous ses esprits et de comprendre que le match s’est terminé sur la victoire de l’équipe de ses favoris.

    Mais très vite la clameur retombe, la plupart des spectateurs commence à repartir alors que les plus fervents entrainent certains joueurs vers la buvette pour partager un débriefing et une bière fraiche, Jerem fait bien évidement parti de ceux-là et Nico ne peut s’empêcher de le regarder aligner les bières en mimant des bras telle ou telle action du match.

    Nico profite du départ  de sa cousine pour se rapprocher de la buvette et prendre une bière se mêlant aux supporters et aux joueurs, cela dure un petit moment et, alors que Jerem est encore en tenue de match ses coéquipiers sortent déjà douchés et changés, Nico trouve cela très excitant les sportifs tout juste sortis du vestiaire amène une odeur de gel douche et de shampoing, les coupes de cheveux sont encore humides et approximatives sentant le gel et la fraicheur tout comme les habits jeans chemise pour les uns, shorts marcels pour d’autre et le mélange de joueurs encore en sueur et tenu de sport et d’autre en « propre », le mélange de ces deux facettes d’une même équipe exulte une telle testostérone, cela replonge Nico dans son fantasme surtout quand Thibaut dorénavant  en short beige et marcel noir laissant toute liberté à la rondeur de ses biceps se rapproche de Jerem. Quel tableau ! l’un classe tout propre sentant bon un parfum d’homme et l’autre en sportif sentant tout aussi bon mais dans un style de sueur d’homme après un gros effort, le mélange des deux Nico se croit dans un rêve.


    -toujours en train de baver, C’est Thibaut qui charrie son pote en lui tapant dans le dos, grouilles toi d’aller te changer qu’on file au barbec chez le coach,

    -bah partez devant je vous rejoins après de toute façon le coach m’a laissé la clé des vestiaires

    Et comme souvent dans ces cas-là, dès le premier joueur monté dans sa voiture pour partir, tout le monde lui emboite le pas et le ballet des voitures commence.

    Nico voit son après-midi finir un peu en cacahuète et se dirige vers la sortie du stade, déçu de n’avoir pas pu échanger ne serait-ce qu’n regard avec Jerem, ni même avec Thibaut. Il ne sait pas trop ce qu’il espérait en venant au stade, pensait-il vraiment repartir avec l’un d’eux ou même les deux ? Pas un regard, Jerem n’a même jamais tourné la tête dans sa direction, à croire qu’il cherche à l’éviter mais pourquoi, à cause de cette nuit passée ensemble ? si c’est le cas cette erreur coute décidément très cher à Nico et une fois de plus des dizaines de questions se bousculent dans sa tête. Mais pour une fois il ne va pas les ruminer toute la soirée puisque un message vient d’apparaitre sur son portable « vestiaire mtn».

    La bonne blague… quel culot
    Et ben tu parles d’une charmante attention, se dit Nico, pas un échange, pas un mot, pas un regard et il croit que je vais rappliquer la queue entre les jambes dès qu’il me siffle ? il manque pas de culot, il peut courir j’irais pas. En même temps c’est l’occasion de voir un vestiaire d’après match, c’est le fantasme de pas mal de gay ça, ça doit sentir le mâle, la virilité, la testostérone, bon je vais y faire un tour juste par curiosité.

    Et voilà Nico qui fait demi-tour se retrouve devant la porte du vestiaire, entre et là il sent dès l’entrée tout ce qu’il imaginait en mille fois plus prenant, ce mélange de vapeur de douche, de savon, de shampoing et de sueur a un effet aphrodisiaque sur lui, il se noie  dedans, il n’aurait qu’à fermer les yeux pour voir toute l’équipe comme elle devait être là quelques instants plus tôt les uns assis sur les bancs en train de retirer pour les uns leurs chaussures à crampons, pour les autres les chaussettes massant leurs pieds meurtris par 2h de prison de cuir. D’aucun aurait déjà retiré la majorité de leur équipement se retrouvant en slip, en boxer en train de se chamailler, refaisant le film du match dans de grands gestes faisant rouler leurs muscles et danser leurs paquets prisonniers du fin tissu. D’autres évidement serait nus, se dirigeant vers la douche ou en sortant et se dirigeant vers les bains, attrapant leur serviette, posant un pied sur le banc pour se sécher la jambe, offrant une vue imprenable sur une paire de fesse musclé entrouverte par ce geste…

    « t’en as pas marre de baver… »

    La voix de Jerem sort Nico de ses pensées, il se retourne pour le voir dans l’ouverture de la porte du vestiaire toujours en maillot, short et chaussettes verts et blancs, couleurs de son équipe, il n’a quitté que ses crampons pour le moment

    « je t’ai vu pendant le match t’avais le même regard perdu comme si tu t’imaginai ailleurs, pourquoi viens-tu au stade si c’est pour pas regarder le match. Enfin t’es là et je suppose que ce n’est pas pour te mettre au rugby, Jerem ferme la porte en laissant la clé dans la serrure, comme ça on sera tranquille, t’attends quoi pour te mettre à genou ? »

    Sans même s’en rendre compte Nico se retrouve à genou, comme si son corps à une commande vocale directement reliée à la voix de Jerem, il approche du short de son sportif, trop lentement apparemment pour Jerem qui de ses mains viens plaquer la tête de Nico contre son short au travers duquel Nico peut sentir le barreau formé par une érection des plus imposantes, il a envie de savourer cet instant où il découvre l’odeur de Jerem en cet instant, odeur où il retrouve bien sur l’odeur habituel de son amant celle qui le fait tant chavirer quand il vient la retrouver à la naissance de sa queue lors des fellations de d’habitude mais là même  à travers le tissu elle transpire et arrive aux narines de Nico mais Jerem ne lui laisse pas le temps de savourer cela, il a déjà fait tomber son short et boxer sur ses chaussettes et force la bouche de Nico avec son gland. Bien sûr il n’a pas besoin de forcer puisque Nico l’avale bien volontiers encore plus goulument que d’habitude sous l’effet de cette odeur qui règne autour d’eux et qui a sur lui l’effet du meilleur pétard. Il s’affaire si vite, si profondément, alternant à une vitesse folle caresse de la langue autour du gland et sur le frein et gorge profonde si bien que Jerem atteint l’orgasme en une poignée de minutes seulement , envoyant un premier jet en gorge profonde, selon le mouvement de Nico le deuxième termine au bord de ses lèvres, le 3e en fond de gorge et les 4e et 5e finissent sur son t-shirt. Jerem est essoufflé même si lui n’a fait aucun des mouvements il se sent vider et se dirige vers le banc où il s’assoit, enlève une chaussette et masse son pied avant de faire de même sur le second. Nico est resté en position, à genou encore en train de savourer le souvenir du gout de la semence de son amant et il le regarde faire exactement ce qu’il avait imaginé un peu plus tôt.

    Puis Jerem se relève retire son maillot se retrouvant totalement nu et se dirige vers les douches, il ouvre l’eau et se glisse dessous toujours sous le regard de Nico qui ose enfin se lever et s’approcher pour mieux profiter de ce merveilleux spectacle, il voit l’eau atterrir sur les cheveux de son étalon puis ruisseler le long de son corps parcourant sa joue, passant par la commissure de ses lèvres puis souvent la courbe de son menton et de son cou, suivant un chemin que Nico rêve depuis leur première rencontre de suivre de sa langue, l’eau poursuit son chemin dessinant chacun des muscles de Jerem, des pectoraux aux abdominaux et une partie de cette eau passe sur son pubis pour glisser le long de sa queue avant de quitter ce corps d’apollon par le prépuce. Quelle beauté, Nico se sent entrer en trance devant ce spectacle,

    Jerem reste un petit moment sous la douche il le regarde, comme s’il l’appelait, le provoquait… Nico ne se contrôle plus et se voit avancer vers Jerem, entrant sous la douche sans même avoir penser à retirer ses vêtements, se mettre à genou, ouvrir la bouche et recueillir l’eau qui quitte le sexe de son amant, goutant ainsi à ce divin breuvage mélange d’eau et d’essence de Jerem. Nico entend la douche s’arrêter, il savoure les dernières goutes tombant de sa queue, il lève les yeux et croise le regard de Jerem où pour la première il lit une hésitation, Jerem qui doute, décidemment il est  dur à cerner ce male. Ce que Nico ne sait pas c’est que Jerem est en pleine réflexion interne, en voyant Nico foncer tête baissée sans réfléchir sous la douche pour retrouver la queue de son Dieu, sans même se soucier de comment va-t-il faire pour rentrer chez lui si tous ses vêtements sont trempés, de le voir ouvrir la bouche pour recevoir goulument l’eau de sa douche, c’est dingue comment peut-il être autant accro à moi se dit Jerem, comment peut-il aimer autant recevoir cette eau juste parce qu’elle a parcouru mon corps, comment peut-il aimer autant que je jouisse dans sa bouche, comment peut-il s’en délecter au point de nettoyer minutieusement ma queue de sa langue jusqu’à en avoir récupéré la moindre goutte, au point d’avoir eu un regard haineux envers mon cousin quand lui s’est précipité pour recracher quand j’ai joui dans sa bouche. Jerem aime ces regards de Nico, quand il peut voir comment il le considère comme le seul mâle quand ils sont ensemble, oui Jerem aime cette soumission alors pourquoi pas essayer un peu plus en avant, les bières offertes par les supporters ont eu un double effet sur Jerem, l’alcool s’est infiltré dans son cerveau brisant une à une les inhibitions de sa conscience, la mousse a également eu un effet sur sa vessie…

    Nico suçote les dernières gouttes sur le prépuce de Jerem, toujours le regard tourné vers lui, cherchant à déchiffrer ce regard de doute, mais l’expression de Jerem change, ce voile de doute disparait laissant place à un regard direct, dominateur qui prend le dessus sur celui de Nico qui ne peut que détourner le regard montrant bien sa soumission à Jerem, au passage il capte un sourire aux coins de ses lèvres, pas le sourire enjôleur qu’il arbore la plupart du temps surtout quand il y a du monde autour, pas ce sourire qui fait chavirer tout le monde non plutôt un sourire un peu tordu, mélange de curiosité, d’excitation avec une pointe de sadisme même. La dernière goutte d’eau avalée depuis longtemps Nico garde le prépuce de Jerem en bouche jouant avec, en faisant le tour de sa langue, l’ouvrant du bout de cette dernière pour aller titiller le gland et là un jet chaud caresse sa langu
    ce n’est pas la douche c’est bien plus parfumé, un vrai gout d’homme, oui Jerem est bien en train de se vider en moi se dit Nico, un vrai male qui me soumet comme je le mérite
    Nico en recoit sur le visage, son t-shirt en est encore plus trempé.

    Nico est aux anges
    Une fois le jet terminé, Nico ouvre grand la bouche et prend la queue de Jerem, il la suce passant du gland à la gorge profonde, il descend caresser de sa langue les boules de son mâle avant de reprendre la pipe tout en défaisant de ses mains sa ceinture, ouvrant la braguette de son pantalon et d’un seul geste il se retourne, toujours à genou, descendant son pantalon et son boxer à mi-cuisse et se cambre pour offrir son trou à son mâle

    mais Jerem se fait attendre alors Nico commence à onduler, passant une main entre ses cuisses pour venir se caresser les fesses trop sensuellement pour que Jerem y résiste, il s’accroupi derrière lui et sans plus de préliminaire plante son dard dans le trou de Nico jusque la garde et le pilonne aussitôt bestialement si bien que les genoux de Nico ne tiennent pas le choc il se retrouve plaqué au sol, le poids de Jerem se faisant sentir sur lui à chaque coup de rein, son souffle fort lui caressant la nuque. Nico ne peut retenir ses gémissements tant ce qu’il ressent est complexe mélange de douleur, d’excitation et de plaisir, mais son mâle ne peut tenir longtemps cette cadence folle et se retire au bout de quelques minutes trop courtes selon Nico pour jouir dans un grand râle aussi bestial que la manière dont il l’a pris en éjaculant 3 longs jets atterrissant entre les fesses de Nico.

    Jerem a déjà rouvert une douche un peu plus loin se rinçant tout le corps avant de rejoindre un banc du vestiaire de se sécher et de s’habiller, il est déjà prêt à partir que Nico est encore sous la douche :

    Une fois joui, retour froideur

    -Je t’ai laissé un marcel un short et une paire de pompe à moi que tu puisses rentrer, j’t’enverrais un message pour que tu me ramène la clé, ferme bien derrière toi, à plus.

    Il coupe l’eau passe dans le vestiaire et trouve la serviette de Jerem déjà humide d’avoir sécher le corps de son propriétaire. Il se sèche enfile le short de Jerem sans rien avoir à mettre dessous, enfile les skets bien trop grandes pour lui et attrape le marcel noir, met les bras dedans le passe sur sa tête et là il sent le parfum de Jerem se retrouvant une fois de plus au sommet de ses montagnes russes que lui fait ressentir Jerem.

    Je voudrais tant partager cette victoire avec lui... être de la troisième mi temps... mais j’ai deja eu ma troisième mi temps, je ne vais pas me plaindre

    Je lui lèche la rondelle
    Il me chope, m’attire à lui
    Il me retourne
    Je suis sur le ventre
    Alingus
    Il me lèche la rondelle
    Jamais on ne m'a fait ça
    Il se déchaîne
    Je chauffe, j'en tremble je ne sais plus où j'habite, je perds le contrôle, je couine
    Sa main se pose sur ma bouche pour me contrôler
    Il se déchaîne
    J'ai trop envie de l'avoir en moi
    Baise moi jerem
    Il m’encule
    lorsqu'il vient en moi par derrière je me fais la réflexion je suis à lui , mon cul est à lui, à sa disposition
    il me défonce
    ensuite il me retourne, il s’allonge
    viens t’empaler sur ma queue
    lorsqu'il jouit son corps est pris par des spasmes
    Il jouit et son plaisir déclanche le mien

    Lorsque je jouis grosse traînée sur son torse,
    C'est chaud, je l'entends lâcher
    Ce qui chasse ma peur de lui déplaire et m'encourage a lâcher les jets suivant sans m'arrêter
    C'est beau ce torse décoré de mon jus

    je vais à la douche je le rejoins à la douche comme l'autre jour et je me laisse pisser dessus voir l'autre épisode vestiaires. éviter les répétitions

    Cigarette fenêtre petite, nu, beau

    Il repart avec son t-shirt blanc moulant

    Je l'arrête en l'attrapant par la bonne épaule en faisant attention
    T'en as jamais assez toi
    Toi non plus, plains toi
    Je le suce à nouveau tout propre avant qu'il parte
    Mais son attitude à déjà changé
    Regrette t il déjà son audace, bouffé cul, mes giclées sur son torse

    Pendant que je le suce son portable sonne il sort de sa poche et réponds
    Oui, Thib…
    J’arrete
    Sa main prestement portée sur ma tete m’indique que je dois continuer
    oui j'arrive, j'arrive… j’ai eu un problème de démarrage avec la voiture mais j'ai trouvé…
    Il ecoute, son souffle est bruyant
    c'est bon, j'arrive
    il ecoute
    Je ne suis pas essoufflé juste un peu naze,
    J'ai fait une série de pompes, un peu de musculation

    il raccroche il range son téléphone, il porte les deux mains sur ma tête des grands coups de reins dégradé gicler des grosse giclée dans ma gorge et se casse

    Il me remplit la bouche et se tire
    Laisse la clé dans ma boîte lettres

    Jerem, on se voit quand
    Je sais pas
    J’ai envie de te voir… même si c’est juste pour baiser

    Je vais avoir du taf et je vais passer du temps avec mes potes, sauter des nanas, et voir pour me tirer à la rentrée
    Tu vas partir ?
    Oui je pense
    Et le rugby ? Comment ils sont faire ?
    La véritable question
    Et moi comment je vais faire sans toi ?
    Tu te fera sauter par un autre
    C’est de toi que j’ai envie
    Laisse moi rire…
    T'as aimé ?
    Mais c'est avec moi tu prends plus ton pied plus qu'avec nanas
    Tu n'en sais rien du tout, t'inquiète ma queue sait ce dont elle a envie

    Ce sourire si beau de gamin, je voudrais le voir tous les jours sur son visage
    Non définitivement je n'aime jerem pas que pour son côté gravure de mode, bien que j'aime son corps, je désire son corps mais avant encore son bonheur

    Il est bien, heureux, content, fier, il se lache
    Il est chaud comme une baraque à frites



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  •  Cinquième mi-temps et ses galipettes

     

    Jérém sous la douche, quatre simples mots, ressemblant à mes yeux, toute la beauté du monde…

    Jérém sous la douche, ou l’image presque insoutenable du jeune mâle repu, satisfait de s’être bien vidé les couilles, d’avoir joui d’une façon, certes inattendue, mais d’une intensité que son esprit arrive tout juste à concevoir et son beau corps à endurer… satisfait d’avoir mouché mon insoumission en exigeant de moi une remise en état de son torse souillé par des jets que je n’ai pas pu retenir… son petit regard canaille pendant toute mon exécution traduisant peut-être également sa façon de retrouver sa position de mâle dominant après les quelques écarts que sa langue s’est autorisée entre mon ti trou et ma nuque…

    « La langue de Jérém » qui titille ma rondelle, la langue de Jérém qui remonte tout au long de ma colonne, de mon cou, et qui s’aventure jusqu’à la base de ma nuque, endroit hypersensible chez moi… voilà un film qui ressemble à de la science-fiction, un film que je me repasserais indéfiniment, sans jamais m’en lasser…

    Oui, « La langue de Jérém », un film qui mériterait pléthore d’Oscars… un film qui vient tout juste de sortir mais qui est déjà mythique dans ma tête… un film qui est déjà suivi d’un autre chef d’œuvre…

    « Jérém sous la douche », Jérém dans les vapeurs chaudes… voilà un film d’un érotisme insoutenable, un film que je me repasserais indéfiniment, sans jamais m’en lasser… et dont les premières images, le teaser, ressembleraient à cela…

    Le corps ruisselant d’eau, des poils sur le torse qui continuent de pousser laissant deviner une pilosité ultra sexy, ses cheveux bruns en bataille… voilà en quelques mots, le descriptif d’une pure merveille…

    Ça donne envie de voir la suite, non ? Alors, suite…

    Je suis tellement happé par cette image de bonheur que mes jambes se mettent en marche toutes seules pour m’approcher et mieux profiter du spectacle…

    L’eau atterrit sur les cheveux de mon étalon, ruisselle le long de sa joue, passe par la commissure de ses lèvres, suit la courbe de son menton et la ligne de son cou, parcourt son torse sur tout son développement… elle souligne, avec ses reflets changeants et diaboliques, chacun de ses muscles, des pectoraux aux abdominaux… une partie de cette eau s’infiltre alors au travers de ses poils pubiens, pour glisser in fine le long de sa queue, avant de quitter ce corps d’apollon par le prépuce…

    Et le temps semble s’arrêter pour rendre hommage a tant de beauté fugace…

    Le bogoss a fait mine de rien, mais je sais que, du coin de l’œil, il m’a regardé approcher et me planter là, comme abasourdi, devant sa nudité mouillée… j’ai l’impression qu’il fait exprès de faire durer sa douche, qu’il aime savourer la vision de ma dépendance de lui, et du sentiment de toute puissance que cela lui renvoie… l’image de la puissance inouïe de son charme, arme à l’effet ravageur sur un mec, moi, dont le seul souhait affiché est de le faire jouir chaque fois un peu plus fort…

    C’est toujours un spectacle magique de voir un bogoss se savonner sous la douche, passer ses mains sur son torse musclé, sur sa peau douce, voyage tactile qui se termine à coup sûr sur ses attributs de mec… imaginer que lorsqu’il est seul, il va peut-être s’attarder un peu plus sur ces attributs…et, pourquoi, pas, s’attarder le temps qu’il faut pour mélanger ses jets chauds à ceux de l’eau qui tombe sur son corps…

    La vision se mélange au fantasme… mais en attendant… oui, j’ai l’impression que le bogoss fait durer le plaisir, que ses mains étalent très longuement le gel douche… j’en prends pour preuve ses petits regards, de moins en moins en biais et de plus en plus appuyés… des regards charmeurs, accrocheurs, comme s’il me provoquait… comme s’il m’appelait… petit con allumeur…

    Inutile de résister… mon désir fou est le seul maitre à bord… je ne contrôle plus rien… j’avance vers lui, encouragé par son petit sourire de plus en plus pétillant, de plus en plus lubrique…

    Un dernier pas et je me retrouve sous le jet d’eau chaude… un dernier mouvement et je me retrouve à genoux… une dernière folie et ma bouche s’ouvre pour recueillir l’eau qui quitte le sexe de mon amant, goutant ainsi à ce divin breuvage, mélange d’eau et d’essence de mon Jérém…

    Et lorsque le jet d’eau chaude s’arrête, je m’empresse de savourer les dernières gouttes tombant de sa queue, avant que le bogoss ne se tire pour aller se sécher…

    Mais, à ma surprise, le bogoss, ne semble guère pressé de bouger… j’ai le temps de recueillir jusqu’à la toute dernière goutte… les secondes s’égrènent et rien ne se passe… mon Jérém est toujours planté là, le corps mouillé, dégageant un intense parfum de gel douche…

    Lorsque je lève les yeux, je croise illico son regard brun… comme s’il attendait de croiser le mien… et ce que j’y lis… putain… est-ce que… non… je ne peux pas le croire… pourtant… petite impression de déjà-vu… de rediff d’un autre film culte, que je repasserai, celui-là aussi, avec le plus grand bonheur… je sens les battements de mon cœur redoubler de fréquence et d’intensité…

    Dans ses yeux, une intense étincelle lubrique brille désormais avec insistance… est-ce que le fait de me voir arriver sous la douche et me mettre à genoux comme devant un petit dieu, lui montrant ainsi à quel point je suis accroc à lui… est-ce que la vision de ma bouche recevant l’eau s’échappant de sa queue, juste parce qu’elle a parcouru mon corps… est-ce que mon attitude lui aurait donné des idées ?

    Voyant mon désir se fondre avec le sien, son regard se fait de plus en plus arrogant, dominateur… un regard qui prend rapidement le dessus sur le mien… se sentant comme pris d’assaut, presque violé par ce regard de baise, le mien finit par se détourner, montrant bien ma soumission…

    Mon regard se détourne, certes… mais non sans avoir capté au passage un sourire aux coins de ses lèvres, un sourire bien particulier… non pas le sourire enjôleur qu’il arbore la plupart du temps lorsqu’il y a du monde autour… pas non plus ce sourire diaboliquement charmeur qui fait chavirer tout être sensible à la beauté masculine… non, c’est plutôt un sourire un peu tordu, mélange de curiosité, d’excitation avec une pointe de sadisme même…

    Je reprends son prépuce en bouche et je recommence à jouer avec tout doucement… j’envoie ma langue en faire le tour, le stimuler délicatement, je la charge d’écarter ce délicieux emballage de peau pour lui permettre ensuite d’aller titiller le gland… jusqu’à ce que…

    Jusqu’à ce que quelques gouttes chaudes ne commencent à couler sur ma langue… sur le coup, je suis surpris… je ferme ma bouche, je recrache… mais ma surprise est vite remplacée par une sensation de bien-être offerte par l’écoulement de ce liquide odorant le long de ma joue, sur mes lèvres, sur mon cou, mon torse, jusqu’à ma queue…

    L’odeur forte de ce liquide chargé d’odeurs de mâle me fait tourner la tête… c’est un vrai goût d’homme…

    C’est violent comme sensation… mais extrêmement excitant… oui, Jérém est bien en train de se vider sur moi, un vrai mâle qui me soumet comme je le mérite, comme je le désire pendant le sexe, un sexe que je veux animal, puissant, sans limites dans la jouissance, tant que cette jouissance est partagée…

    Je viens tout juste de jouir sur son torse allongé sur le banc, mais je suis à nouveau au bord de l’ivresse des sens…

    Son jet dru vient de se terminer dans une succession de petits jets de plus en plus espacés… le bogoss enchaine avec ce geste typique des garçons pour se délester de la dernière goutte, geste qu’il accomplit à tout juste quelques centimètres de mon visage, m’éclaboussant un peu partout, y compris dans les yeux… car évidemment, enchanté par ce spectacle divin, je n’ai pas pris garde de les fermer à temps… bon, d’accord, je ne suis plus à ça près…

    Les mots me manquent pour décrire le degré d’excitation dans lequel ce petit jeu m’a mis… et surtout le fait qu’il ait fait ça tout naturellement, comme s’il kiffait ça… ça m’excite d’autant plus que la première fois que je lui ai parlé de ce fantasme, je me suis fait jeter comme un malpropre… ça m’excite d’autant plus que, la première fois qu’il a envisagé d’accéder à ma demande, la fois d’avant dans ce même vestiaire, dans la même douche, il a eu du mal à mettre tout ça en œuvre… alors, le fait de le voir aujourd’hui se lâcher aussi facilement, aussi naturellement… ça voudrait peut-être dire qu’il kiffe ça… qu’il kiffe un truc que je lui ai fait découvrir à coup sûr, un truc que personne avant moi ne lui a jamais proposé, un truc qu’il aime… car je ne pense vraiment pas qu’il fasse ça pour me faire plaisir… non, il ne ferait pas ça s’il n’en avait pas envie… non, on n’oblige pas Mr Tommasi à faire quoi que ce soit dont il n’a pas envie… et surtout pas avec cette étincelle coquine brillant dans son regard…

    Oui, les mots me manquent… en attendant, je suis tellement excité que j’en tremble…

    C’est dingue l’effet que je retire de ce petit jeu, pourtant à mes yeux si érotique, et ce pour la simple et bonne raison qu’il me projette très loin dans la soumission à son autorité masculine… l’idée de me sentir marqué de son odeur, comme un fauve marquerait sa propriété, son territoire, comme si je lui appartenais, de me sentir à lui et à personne d’autre, me fait kiffer à un point indicible…

    Oui, je suis tellement excité que j’ai grave envie de le reprendre en bouche…

    C’est ce que je fais, en avançant mon buste… ce goût à la fois salé et acide surprend mes papilles… mais moins que lors des premières gouttes… je commence à l’apprivoiser…

    Mais ce qui me surprend vraiment, ce sont ses mains qui se posent sur mes épaules… non pas pour donner plus d’élan à ma fellation… mais pour me repousser !

    Je cherche alors son regard… peine perdue, le regard brun est fuyant… le bogoss rouvre l’eau et se rince une nouvelle fois, très rapidement.

    Tellement vite que j’ai juste le temps de me relever et, avant que j’arrive à décider si je suis capable de résister à la tentation (et de prendre le risque) de le serrer très fort contre moi, déjà je le vois fermer les robinets, il sort de la douche pour aller se sécher…

    Pendant que je me douche à mon tour, je me dis que oui, c’est magique de voir un bogoss prendre sa douche… et c’est tout aussi magique de voir un bogoss se sécher après la douche… rêver d’être cette serviette qui éponge son corps en passant dans tous les recoins les plus intimes, caressant chaque muscle, chaque ligne anatomique, s’imprégnant tout simplement de son odeur…

    Voir un bomec se dessaper… se délester des vêtements de bogoss qui cachent autant qu’ils permettent de fantasmer sur son corps de dingue… voir un bogoss se dessaper… que ce soit pour passer à la douche… ou, encore mieux, lorsqu’il fait ça dans l’urgence, mu par un désir charnel irrépressible, pour libérer son corps et le préparer à l’amour physique… et, encore mieux, lorsque cet amour physique c’est avec nous qu’il va le partager… vision de pur bonheur…

    Mais il est une autre vision de pur bonheur, c’est de mater un bogoss en train de se rhabiller… après l’amour… ou après une douche… et ce dimanche là, mon bobrun ne m’a pas déçu…

    Le bogoss vient d’abandonner la serviette humide sur un banc… et là je le vois fouiller dans son sac de sport et en tirer un deo dont il asperge copieusement ses aisselles et son torse… instantanément la pièce se remplit de sa présence olfactive…

    Ses mains reviennent dans le sac pour en tirer un boxer noir avec un élastique épais, un élastique vert fluo… je regarde ses gestes rapides, automatiques… je le regarde le passer par les pieds, le faire glisser le long de ses jambes, le remonter jusqu’à ses hanches, jusqu’à le poser à sa destination finale, le laissant s’y installer avec une perfection hallucinante… une perfection vérifiée sous tous les angles… que ce soit côté pile, en moulant son fessier de ouf… ou bien côté face, en mettant bien en valeur son beau paquet…

    Un instant plus tard, le bobrun attrape son jeans accroché à l’intérieur de son casier… je le vois passer les jambes l’une après l’autre, remonter les deux pans et les accrocher, bouton par bouton, jusqu’à faire disparaitre le boxer… enfin… le faire disparaitre partiellement… très partiellement… car, une fois remonté, mis en place, la boutonnière complètement fermée, le jeans, porté sans ceinture, se révèle être l’un de ces spécimens taille basse, arme de séduction massive, arme fatale…

    Oui, un jeans taille basse qui tombe d’une façon affolante sur ses hanches et le bas des reins et qui laisse diaboliquement dépasser non seulement l’élastique vert fluo mais aussi un aperçu du coton noir… et je ne m’attarderai même pas sur le fait que le jeans, dont le tissu a l’air extrêmement doux et confortable, met en valeur lui aussi son fessier et son joli paquet…

    Un simple jeans délavé, sans sophistication… une coupe taille basse contre laquelle, à mon sens, il faudrait légiférer dans l’intérêt de l’ordre public… le boxer qui dépasse généreusement… un deo copieusement aspergé… et ce torse nu, sculpté, qui dépasse à son tour de l’élastique du boxer…

    Comme disait une célèbre pub pour un rasoir… la perfection, au masculin… moi je dis… juste affolant… rien de plus sexy à mes yeux…

    Et ce qui est encore plus affolant, c’est l’aisance avec laquelle il porte cette tenue… tellement sûr de lui que ça en devient naturel… être torse nu est pour lui aussi naturel que porter un t-shirt en été ou bien un pull en hiver… tellement naturel qu’il trouve normal de s’approcher de la seule petite fenêtre du vestiaire, de l’ouvrir et de s’appuyer avec une épaule au mur pour fumer sa cigarette, comme s’il était chez lui, seul…

    Il est juste beau…

    Les mouvements alternés de son bras pour apporter et enlever la cigarette de ses lèvres, sa façon de la tenir au bord du filtre, entre le pouce et l’index, sa grimace de plaisir en aspirant la nicotine, son air blasé lorsqu’il expire la fumée… ça rajoute du bandant au sexy…

    J’ai envie de lui dire un truc… Jérém… à un moment donné il faut que tu arrêtes de me donner chaud comme ça… il va falloir que tu te calmes, mon petit, car je sens que je ne vais pas tenir longtemps avant de te sauter dessus…

    Je coupe le jet d’eau et je m’avance vers les casiers pour attraper la seule serviette dont j’ai envie de me saisir pour me sécher… elle est déjà bien humide… mais qu’importe, du moment qu’elle possède à mes yeux l’inestimable atout d’avoir caressé le corps de mon Jérém…

    La proximité aidant, je profite de l’occasion pour laisser mon regard traîner dans son sac de sport… cet endroit magique… je donnerais une fortune rien que pour pouvoir y fouiller et y laisser trainer mon nez… son maillot y git négligemment fourgué, avec son short de jeu…

    Lorsque je le vois revenir vers son casier, je m’écarte un peu… je n’ai reculé que d’un pas… ce qui fait qu’il est à tout juste un mètre de moi… que son déo pénètre dans mon cerveau et continue à vriller mes neurones mais avec une force décuplée… que la chaleur et la douceur de sa peau, évoquées en moi par cette vision rapprochée, embrasent un désir jamais éteint, un désir dont la puissance semble s’autoalimenter, comme une combustion solaire…

    Le bogoss se penche à nouveau sur son sac de sport, il en ouvre une poche latérale et il en extrait un bout de coton blanc… oui, blanc… là, c’est clair, net et précis… il veut ma mort…

    Il le déplie, et la silhouette d’un t-shirt blanc un peu froissé se dévoile sous mes yeux… il le retourne entre ses mains, jusqu’à tenir le bord inférieur… il le secoue pour tenter de le défroisser…

    Un instant plus tard, le temps qu’il vérifie le sens devant-derrière, les manchettes pendouillent vers le bas… je salive en pensant l’effet que ce simple tissu va avoir sur son torse…

    Tout en tenant le t-shirt avec ses autres doigts, il écarte les deux pans avec le pouce et l’index…

    Le geste qui suit est, là encore, très rapide, automatique, inconscient, mais tellement sensuel… le buste à la verticale, le bras droit se lève, se glisse dans sa manchette… le deuxième bras se lève à son tour pour glisser dans l’autre manchette… la main droite a déjà attrapé le col du t-shirt par l’arrière et l’étire pour l’amener à hauteur du visage…

    Lorsque les deux manchettes se retrouvent calées sur ses épaules, les deux mains se rejoignent pour porter les deux pouces à l’arrière du col pour tendre le coton et préparer le passage de la tête…

    A ce stade de l’« Opération t-shirt », ses jolies fesses (moulées dans le jean taille basse) ; ses reins, (diaboliquement soulignés par l’élastique vert fluo du boxer sui dépasse outrageusement) ; son buste, (légèrement courbé vers l’arrière) ; les épaules et le cou (légèrement pliés vers l’avant)… tout cet ensemble anatomique et harmonique dessine un « S » musclé et rebondi, où chaque courbe est d’une perfection à couper le souffle…

    Le coton se tend, se déforme dangereusement, glisse le long de sa tête, les épaules entament un mouvement rotatoire vers l’arrière, le buste se redresse, les bras suivent le mouvement de rotation et s’arrêtent le long de ses cuisses, dans la but de faire prendre au coton sa position définitive…

    Hélas… souci de riches… le coton est tellement ajusté… ses pecs tellement saillants… la peau encore un peu humide… le t-shirt reste coincé à la frontière entre pecs et abdos… il lui faut croiser les bras, attraper le bord du t-shirt et le tirer vers le bas pour que son torse musclé disparaisse sous le coton fin…

    Enfin, non… il ne disparait pas vraiment… il est juste mis en valeur, suggéré, fantasmé par le coton fin…

    Une fois l’opération terminée, ce petit t-shirt blanc tombe à la perfection sur ses épaules, sur son torse, se tend sur ses pecs, les manchettes enserrent ses biceps… les plis disparaissent, laissant la place à une perfection visuelle à donner des palpitations…

    Et quoi dire de cette échancrure de folie, fenêtre ouverte sur un vaste triangle de peau mate, chaude, encore humide, sentant bon le déo fraîchement aspergé, laissant entrevoir ces quelques poils qui repoussent, qui dépassent… et sa chaînette dorée…

    Bref… un petit t-shirt blanc comme je les aime… un petit t-shirt blanc à hurler... un t-shirt blanc ajusté et d’une longueur qui semble étudiée au millimètre pour couvrir tout juste l’élastique vert du boxer, élastique qui dépasse dès que le bogoss lève à peine les bras…

    Il n’y a pas à dire… un simple jeans… un t-shirt blanc… simple, puissant, efficace… tellement, simplement… mec…

    Putain de putain de putain de mec… la grâce, la beauté, la perfection, la jeunesse aveuglante, le coté brun ténébreux, torturé, avec ces attitudes de bad boy… un charme fou, auquel s’ajoute aujourd’hui l’éclat du mec qui a fait gagner son équipe et qui n’en est pas qu’un peu fier…

    Je suis en fibrillation, je bande à nouveau… mon cœur ne va pas tenir le choc… ma santé mentale est en jeu… naaan, mais comment est-ce qu'un mec aussi parfait, aussi sexy peut exister ?

    Mais pourquoi quand je regarde ce mec j'ai envie, dans l’ordre, de pleurer, de crier et de me taper la tête contre le mur ? Pourquoi j’ai envie de lui à en avoir mal au ventre ?

    Je termine de m’habiller lorsque je le vois fermer son sac vite fait, l’empoigner, passer la sangle au-dessus de l’épaule droite le laissant flotter contre sa cuisse gauche et se diriger d’un pas rapide vers la sortie… en le voyant partir, mon sang ne fait qu’un tour… ce striptease à l’envers m’a donné de bonnes envies…

    « Jérém… » je l'appelle.

    « Ferme bien et laisse les clefs dans ma boîte aux lettres… » je l’entends lâcher de façon expéditive sans pour autant réagir à mon interpellation.

    « Jérém… attends… » je l’appelle à nouveau.

    Ce petit con ne m’écoute pas, ce petit con ne s’arrête pas… je ne peux pas le laisser partir ainsi… j’ai encore trop envie de lui… je lui emboite le pas, pieds nus… je le rattrape juste avant qu’il ouvre la porte vers l’extérieur… je l'arrête en faisant attention de l'attraper par le bras du bon côté… en faisant attention d’éviter de solliciter l’épaule blessée…

    « Quoi ? » fait-il, agacé, en dégageant le bras de ma prise.

    « J’ai encore envie de te sucer… » je lâche, cash.

    Ce n’est pas possible de se mettre dans un état pareil… de quémander sa queue (bonjour l’allitération) de cette façon… tu m’étonnes qu’après il ne me considère que comme un simple vide couilles… mais qu’importe… le désir me ravage… j'en tremble… je suis fou…

    Lorsque j’arrive à le capter, son regard est triomphant, fier, bordé par un petit sourire mauvais…

    « T’en as vraiment jamais assez, toi… » il lâche, la voix grave, le souffle déjà excité.

    « Toi non plus t’en as pas assez, j’en suis sûr… » je trouve le moyen de lui rétorquer. Je tente le tout pour tout…

    « Non, je suis attendu… » il me balance, froid et méprisant. Luxe suprême de bogoss. Se permettre de refuser une bonne pipe.

    « S'il te plaît Jérém… » j’insiste.

    « Non ! » fait-il, agacé.

    « Juste une petite pipe pour la route… tu arriveras encore à temps pour le dernier apéro… »

    « Ta gueule » je l’entends me balancer sèchement, tout en amorçant le geste de partir pour de bon.

    Je le rattrape de justesse, en le retenant par le bord du jeans pile en face de sa colonne vertébrale… je le retiens fermement, tout en lui balançant, tout aussi fermement :

    « Tu ne vas pas regretter… surtout après ce que je vais encore te faire… ».

    Le bogoss se retourne… le corps débordant de puissance et de testostérone… le regard bouillant d'envies et de tentations… l’attitude de son corps et de son regard jure sévèrement avec les intentions affichées par ses mots…

    Je crois que mes derniers mots ont parlé à son cerveau reptilien… alors, autant aller au bout de ma pensée… autant tout tenter…

    « Je suis sûr que t'as encore envie de jouir dans ma bouche et de me regarder tout avaler… pas vrai ? ».

    Pour remporter un marché, il faut savoir bien se vendre…

    Sa réaction est à la hauteur de mes attentes :

    « T’attends quoi pour te mettre à genoux ? » fait-il sur un ton qui est un mélange entre agacement, froideur, mépris.

    Je me rends compte instantanément que son attitude a changé… regrette-t-il déjà son audace, d’avoir titillé mon ti trou… est-il désormais dégouté par mes giclées reçues sur son torse ?

    Le temps de lâcher ces quelques mots, son sac de sport a atterri lourdement à côté de la porte d’entrée, ses mains se sont activées pour descendre son jeans et son boxer sur ses cuisses, en dévoilant une queue plus tout à fait au repos, mais demandant encore quelques attentions pour retrouver toute sa vigueur…

    Bien sûr, j’adore le prendre en bouche alors que son manche est raide comme un piquet… toute sa puissance vient à moi et je me sens instantanément comblé…

    Cependant, j’apprécie vraiment quand cet autre genre d’expérience s’offre à moi… prendre sa queue en bouche en l’état, n’exprimant pas encore toute son envergure… commencer à la stimuler délicatement, lentement… la sentir gonfler dans ma bouche… retrouver, provoquer peu à peu une érection des plus imposantes… la sentir envahir mon palais, forcer l’entrée de ma gorge…

    Je me retrouve à genoux, comme si mon corps obéissait à une commande vocale directement reliée à la voix de Jérém… j’approche lentement de son gland, trop lentement apparemment, car ses deux mains viennent illico plaquer ma tête contre sa queue…

    Son gland tente de forcer l’entrée de ma bouche… peine inutile… mes lèvres n’ont guère besoin d’être forcées pour s’ouvrir et avaler sa queue, si possible encore plus goulument que d’habitude, sous l’effet de cette odeur de vestiaire de mec qui a sur moi l’effet d’une drogue dure…

    Je le suce à nouveau, en mode tout propre… j’ai adoré le sucer en goutant aux petites odeurs dégagées par l’effort dans le match… mais j’apprécie tout autant le goût frais et doux de sa peau, de son gland sortant de la douche…

    Et je ne parle même pas de l’odeur de propre qui se dégage du bord inférieur de ce t-shirt blanc si simple et si sexy, ondulant pile devant mon regard, pendant que je lui offre le meilleur plaisir dont ma bouche est capable… pendant que je m’offre le meilleur plaisir que sa queue peut me donner en glissant entre mes lèvres…

    Je m’affaire vite, je m’affaire profondément, je m’affaire avec entrain, je m’affaire avec folie… je lui ai promis un feu d’artifice… je me dois de tenir mes promesses… je m’affaire en alternant à une vitesse folle des caresses de la langue autour du gland, sur le frein, gorge profondes… si bien que Jérém semble très vite approcher de l’orgasme…

    Mais quelque chose vient perturber cette montée en flèche… soudainement, une sonnerie aigüe s’échappe de son sac de sport… sa réaction est brusque… presque un réflexe musculaire sous adrénaline… comme une peur… un instinct de survie…

    Le mec se dégage de ma bouche, plonge la main dans une poche latérale du sac de sport et il en tire son Panasonic.

    « Allo ? » je l’entends s’annoncer tout gentiment. Instinctivement, je me dis que ça doit être une nana à l’autre bout du fil… une de ces pétasses qui se tapent l’incruste dans les troisième mi-temps… avant de se taper l’un ou l’autre de ces jeunes messieurs… soudainement, j’ai envie de gerber…

    Pourtant, mon état d’esprit change très vite, et de façon radicale, lorsque, après quelques secondes d’écoute, il me semble de déceler une voix masculine… chose qui se confirme lorsque j’entends mon bobrun lâcher :

    « Oui, Thib… j’arrive… j'arrive… j’ai eu un problème de démarrage avec la voiture… non, pas besoin de venir… j'ai trouvé tout seul… ».

    Putain… mon Jérém ment avec un aplomb remarquable, son mensonge ajoutant une dimension clandestine très bandante à cette situation déjà à la base foncièrement excitante…

    Et sa main, se posant sur ma nuque au même instant et me forçant à avaler sa queue, termine d’enflammer l’instant…

    Lorsque c’est demandé si gentiment… ça donne envie de faire du zèle… alors, pendant que le bobrun enchaîne les mensonges…

    « J’ai dû passer à l’appart mais là je démarre, j'arrive... »…

    … c’est d’une seule traite que j’avale sa queue… geste qui provoque en lui une expiration involontaire et plutôt bruyante…

    Sa réplique suivante sera aussi mensongère et précipitée qu’amusante :

    « Mais non… je ne suis pas essoufflé… j’ai fait quelques pompes…

    [C’est ça… des pompes… t’es surtout en train de t’en laisser faire une, oui…]

    … je suis juste un peu naze… allez… Adishatz ! ».

    Le bogoss raccroche, balance le téléphone sur son sac… d’un geste rapide, il porte les deux mains sur mes épaules… il me fait pivoter…

    Je me retrouve le dos contre le mur… sa queue glissant sans autre forme de procès entre mes lèvres au rythme de puissants coups de reins…

    Et le bogoss reprend le contrôle de sa baise… j’adore… j’adore diriger le jeu, le surprendre… mais j’aime tout autant me laisser surprendre, le voir exprimer ses envies de cette façon brutale, qui ne laisse pas le choix…

    Le mec est pressé… ce petit coup de fil lui a mis le stress… mais au point qu’il en est, il ne peut pas renoncer à jouir une fois de plus… alors, il faut que ça aille vite, très vite… son empressement est furieusement excitant… sa précipitation me rend dingue… le gars va droit au but… il y met toute son énergie… il est tout concentré à la recherche de son plaisir… ma tête coincée contre le mur, ma bouche supportant toute la fougue de ses assauts, son gland qui met des coups de bélier au fond de mon palais, ses couilles qui frappent lourdement mon menton… toute ma personne, ma présence ne sont que l’objet de son plaisir…

    Très vite, je sens qu’il va jouir…

    « Bonne salope… tu veux mon jus… tu vas l’avoir mon jus… » lâche-t-il alors que son cerveau commence à être secoué par des décharges électriques intenses.

    J’ai envie d’un truc… j’ai envie de l’entendre m’ordonner d’avaler… ce serait juste la cerise sur le gâteau d’un délire géant… si la situation le permettait, mes lèvres quitteraient provisoirement sa queue pour lui demander :

    [Tu as envie que je t’avale ?]

    Lui il me répondrait, arrogant :

    [A ton avis ?]

    Je lui lâcherais alors :

    [J'aimerais que tu me l'ordonnes…]

    Le bogoss me rétorquerait un simple :

    [Dépêche-toi, suce !]

    Et lorsque l’orgasme viendrait, lorsque ses couilles se déchargeraient dans ma bouche, il déchargerait ces mots dans mes oreilles :

    [Avale, salope !]

    Au lieu de quoi…

    Lorsque son plaisir de mec explose entre ses jambes et dans son bas ventre, sans que j’aie pu en aucun cas l’influencer, c’est ce genre de gentils mots que je l’entends me balancer :

    « Putaaaaaaaaain de bouche à bite… vas-y, salope… prends ça et avale… vas-y, avale… avale tout… ».

    … tout en lâchant deux bonnes grosses giclées dans ma gorge… et, à la faveur de la furie de ses coups de bassin désormais incontrôlés sous la déferlante de son plaisir ultime de mec, le troisième termine au bord de mes lèvres, les deux derniers échouant sur mon t-shirt….

    Connexion parfaite de nos esprits… ou du moins de nos plaisirs… j’ai rêvé d’entendre ces mots… et lui il les a lâchés… des mots encore plus chauds que je les avais imaginés…

    Et voilà comment le petit champion revient au but en marquant un nouvel essai à cinq points…

    J’ai tout juste le temps de m’essuyer le visage avec le bas de mon t-shirt, que le bogoss a déjà remonté son jeans et son boxer noir et vert fluo, rangé son téléphone, attrapé son sac de sport, mis une cigarette entre ses lèvres et déverrouillé la porte donnant sur la rue…

    « Dépêche-toi… » je l’entends pester sur un ton froid et méprisant.

    Et voilà… me revoilà une fois de plus au creux de ses montagnes russes sur lesquelles avance ma relation avec Jérém… la froideur des adieux après le sexe…

    Je m’approche de lui, et son deo s’en prend une fois de plus très violemment à mes neurones… je sais que dans quelques secondes on partira chacun de notre côté… je sais qu’il va me manquer à l’instant où il va disparaître de mon champ visuel… il me manque déjà…

    Je voudrais tant partager cette victoire avec lui... en être de la troisième mi-temps... partager la fête, son succès, sa gloire, sa joie, son bonheur, la camaraderie avec ses coéquipiers…

    Je tente de me consoler en me disant que j’ai déjà eu ma troisième mi-temps, rien que pour moi… alors qu’il y a tant de nanas et de mecs qui ne rêveraient que de ça… non, je n’ai pas le droit de me plaindre…

    Me voyant approcher, le bogoss attrape le battant de la porte…

    Naaaan… je ne peux pas le laisser partir comme ça… après tout le plaisir qu’on s’est donné… j’ai trop envie d’un câlin… car le câlin c’est le meilleur des desserts pour conclure en beauté un grand festin d’amour physique… lorsque le dessert est absent, on se dit que le repas n’est pas vraiment réussi… lorsque le câlin est absent…

    « Attends Jérém… »

    Le bobrun semble ne pas m’entendre ou ne pas m’écouter. C’est pourquoi j’ose ce geste aussi désespéré que risqué… l’attraper fermement par le bras, l’attirer à moi…

    Je le sens pressé, déjà ailleurs, très peu disposé à m’écouter…

    « S'il te plaît, Jérém… » je finis par insister sur un ton capable de le pousser à tourner la tête et le buste.

    Je suis dingue de ce qu’il vient de me faire… tout mon corps tremble encore de plaisir, son gout fort dans mon palais, ma bouche et mon ti trou hantés par le souvenir vif du passage de son manche…

    Sans réfléchir, porté par une envie qui me secoue de fond en comble, je fonce, je m’avance, je passe mes bras sous les siens et je le serre très fort contre moi, mon torse collé contre ses pecs, mon visage abandonné dans le creux de son épaule…

    Un mélange de tristesse, de bonheur, de manque m’envahit, je me sens au bord de la crise de larmes… c’est fou comme il me manque déjà… le Jérém est une drogue dure… très dure… surtout lorsqu’on a l’occasion d’en prendre de la bonne… comme celle coupée avec l’euphorie persistant après un match de rugby gagné de justesse…

    Je ne sais pas comment j’ai pu obtenir ça de lui… peut-être ma détermination désespérée, la surprise, ou, on peut toujours rêver, une envie réelle, forcée à s’exprimer par mon enthousiasme…

    Le contact avec son corps, sa chaleur, sa musculature… le contact avec sa peau et avec ses effluves de mec tout juste douché… je suis tellement bien que je ne voudrais jamais quitter cette étreinte… et qu’importe si, pendant que mes bras lui montrent tout mon attachement, tout l’amour que je lui porte, les siens restent bras ballants le long de son buste… en contact avec son corps, c’est là que je rêve d’être… c’est là que je me sens bien…

    Tellement bien que je ne peux m’empêcher de déposer quelques bisous légers à la base de son cou… plus je le serre contre moi, plus je deviens fou, je deviens téméraire au point de rallonger mon chapelet de bisous dans l’échancrure du t-shirt… ce triangle de peau me rend dingue… j’y vais, mais avec prudence et parcimonie, je sais bien qu’il ne faut pas trop chatouiller ce beau mâle, notamment après un double orgasme…

    Et un frisson secoue mon corps lorsque je ressens le contact hésitant, maladroit mais chaud et presque rassurant, de sa main se posant à plat juste au-dessus de mes reins… un contact presque irréel… sa durée est si brève que j’ai tout juste le temps de réaliser que ça s’est passé… que déjà ça ne se passe plus…

    Une seconde après, ses mains se portent sur les miennes, les décrochent de son dos… la poussée de ses biceps m’invite à reculer le buste pour permettre au sien de se dégager… le regard fuyant, bien sûr…

    Le bogoss passe la porte en silence et je lui enjambe le pas.

    Dans la lumière chaude du soleil de cette fin d’après-midi d’été, son teint mat et la perfection immaculée et moulante de son t-shirt s’affrontent dans un duel étincelant… définitivement, je voudrais être son t-shirt…

    Mes yeux ne peuvent se décoller de ce fin tissu de coton blanc collé à sa peau mate encore un peu humide, épousant ses muscles encore chauds… non, je ne peux pas quitter du regard ce corps apaisé pas les endorphines que j’ai déclenchées avec l’amour… dommage que son esprit ne soit pas assez apaisé pour apprécier cet état de grâce…

    « Jérém, on se voit quand ? » je ne peux m’empêcher de lui demander en le suivant sur le parking.

    « Je sais pas… » fait-il, brusquement.

    « J’ai envie de te voir… même si c’est juste pour baiser… » je le supplie presque. Ce mec me fait perdre les gonds et sortir de mes étriers…

    Et là il se retourne, et me lance froidement :

    « Je ne sais pas si tu as réalisé, mais le lycée, c’est fini… j’ai un taf maintenant… et j’ai aussi des potes… j’ai envie de faire la fête avec eux… prendre des cuites… sauter des nanas… la vie, quoi… et il faut aussi que je m’occupe de mon taf pour la rentrée… ».

    « Tu vas partir ? ».

    « Oui je pense… ».

    Dit sur un ton léger, dégagé, pourtant aussi lourd qu’un coup de massue pour mes oreilles.

    « Et le rugby ? Comment ils vont faire ? » je tente de me raccrocher par instinct de survie.

    « Ils se débrouilleront… » fait-il en ouvrant la porte de la 205 rouge.

    « Et moi, comment je vais faire sans toi ? » je me mets à nu devant lui alors qu’il démarre.

    « Tu te feras sauter par un autre… » voilà sa réponse de petit con.

    « C’est de toi que j’ai envie… » je lance à deux doigts de craquer.

    « Laisse-moi rire… » fait-il, méprisant.

    « J’adore coucher avec toi… et toi aussi… plus qu'avec n’importe quelle péta… » je tente le tout pour tout.

    « Tu n'en sais rien du tout » il m’interrompt brutalement, de plus en plus froid, dur et méprisant « t'inquiète pas pour ma queue… elle sait ce dont elle a envie… ».

    Sur ce, il claque la porte et il enclenche la marche arrière. Sans un regard dans ma direction, il quitte le parking et se casse, direction le centre-ville…

    Je reprends le chemin vers la maison, le cœur lesté de plomb… je suis tellement secoué par son attitude qu’il me faut parcourir une bonne moitié du chemin avant de me souvenir que mon t-shirt est toujours taché au jus de bogoss…

    Un souvenir qui me revient à la faveur d’un glissement de mon t-shirt sur ma peau suite à une rafale de vent, faisant remonter à mes narines cette odeur forte de mec…

     

    Je vais avoir l’air de quoi dans la rue… et pire… en rentrant à la maison… je m’arrête à une fontaine publique pour me rincer… maintenant j’ai l’air d’un con qui a fait une bataille d’eau…

    Adishatz ! mon beau, sexy, touchant, blessé et blessant Jérém… tu me fais rêver… tu me fais bander… tu me fais jouir… tu sais me rendre le garçon le plus heureux de la terre et quelques minutes plus tard, en me montrant ta froideur, en me parlant de ton projet de départ qui semble se préciser, le plus malheureux… 

     

    Merci Fred, gripsou, Bab, Olivier, Pascal, many_nation, yann, cyril, Rodrigue (à qui je dois l’idée ce cet épisode autour de la finale)

    Merci à tous ceux qui ont participé à la soirée chat du 6 décembre dernier, ils s’y reconnaitront

    Cet épisode, est vraiment un beau travail d’équipe…

     

    Je souhaite à toute l’équipe J&N, au gang J&N, et à tous les lecteurs et lectrices, une année 2017 pleine de bonnes choses, la santé, la rigolade, l’amour, la sérénité et tout ce que votre cœur vous dit pour être heureux et en paix avec vous-même.


    2 commentaires
  • Jérém, tu me fais rêver…


    Adishatz ! mon beau, sexy, touchant, blessé et blessant Jérém… tu me fais rêver… tu me fais bander… tu me fais jouir… tu sais me rendre le garçon le plus heureux de la terre et quelques minutes plus tard, en me montrant ta froideur, en me parlant de ton projet de départ qui semble se préciser, le plus malheureux…
    Oui, tu me fais rêver, mon Jérém… et cette nuit-là, tu viendras hanter mon sommeil, comme tant de fois tu le feras dans les semaines, les mois et les années à venir…

    L’image a comme l’effet d’une drogue, d’une hallucination, elle s’impose comme une gifle en plein visage, avec une violence susceptible d’affecter mes neurones de façon irréversible.
    Un jeans taille basse porté de façon faussement négligée, inconsciemment dans tous les sens du terme :  bien descendu sur les hanches et le bas des reins comme pour mieux en souligner la cambrure parfaite.
    Surtout que, en plus de mettre en valeur sa plastique abdominale, ce jeans, savamment porté sans ceinture, se permet l’audace de laisser dépasser un morceau du dernier rempart de tissu sur le chemin de sa virilité.
    Epousant parfaitement la courbure de ses fesses, sous le creux de ses reins, l’élastique vert du boxer noir enserre la taille et plonge légèrement vers l’avant, sous le pli de l’aine à la ligne saillante, dépasse à peine au-dessus de cette braguette dont la vue déclenche de furieuses envies d’aller la déverrouiller, bouton par bouton, tout comme on déballerait avec lenteur un cadeau tant désiré pour en profiter.
    Juxtaposition de tissus, révélation de sous-vêtement normalement pas destiné à être vu… expérience d’une intensité fulgurante, comme une petite fenêtre d’accès vers l’intimité d’un bogoss, comme un secret dérobé à son insu…
    La peau un peu dorée, les dorsaux sculptés, ce mec est beau à donner mal au ventre… jeans taille basse, élastique du boxer qui dépasse… je ne sais pas s’il existe plus beau spectacle au monde…
    Et puis, au milieu de cette contemplation quasi-mystique, quelque chose se produit, comme un frisson électrique, une dose massive et hypnotisante d’érotisme en intraveineuse.
    C’est le genre d’instant souvent espéré, maintes fois rêvé, mais auquel on n’est jamais vraiment préparé…
    Tout à coup, le film qui défilait jusque-là à vitesse normale, passe soudainement à quelques images secondes… comme si le temps, subitement, se suspendait dans cet instant…
    Le petit démon au visage d’ange s’empare du t-shirt immaculé, et d’un geste net et précis, il glisse ses bras dans les manches. Sous l’apparence de la décontraction d’un geste presque inconscient, mécanique, le visage est concentré.
    Le geste est simple, anodin, mais exécuté par un ptit con de son espèce, il prend des allures de tour de magicien.
    Le geste est simple, naturel mais exécuté par le brun ténébreux, il a la précision et la puissance d’une chorégraphie de ballet que seuls les bogoss comme lui ont le don de maîtriser.
    Le geste est simple, si banal, si ordinaire, mais exécuté avec la souplesse d’un félin, il est si intime à la fois.
    D’un savant mélange de balancement de son torse et de la montée du bras droit, la manchette glisse jusqu’à hauteur de son biceps tandis que la main droite s’empare du col et le tire vers la gauche.
    Le tissu fin progresse le long du bras gauche, accompagnée par la main droite qui tient toujours le col. Et c’est là que réside alors la secret-touch du bogoss, la clé de cette chorégraphie millimétrée : en même temps que les deux pouces se glissent dans le col et le tirent vers le haut, la tête se baisse pour glisser dans l’ouverture, provocant du même coup la contraction des abdos et la mise en valeur de ses tétons rose-brun.
    L’air se sature presque de testostérone, comme si mes narines venaient d’être frappées par l’odeur de sa virilité.
    La touche finale de l’exécution de cette figure artistique inouïe à couper le souffle est apportée par le relâchement des pouces, un écartement des bras et le raffinement ultime d’une poussée du torse vers l’avant.
    Libéré de l’emprise des mains, le t-shirt glisse tout seul, parfaitement ajusté à cette perfection faite mec.
    On ressort comme groggy d’une apnée, sonné par l’ivresse causée par son déhanché parfait, par le mouvement souple de ses muscles, par la vue de ses abdos fermes et de sa peau lisse.
    Tout dans son corps et la pureté de ses gestes transpire l’érotisme, suscite le désir, suscite l’envie qu’il retire le t-shirt pour le remettre de nouveau, comme dans un replay dont on ne se lasserait pas.
    C’est ce genre d’instant souvent espéré, maintes fois rêvé, mais non décidemment, on n’est jamais vraiment préparé à ces instants d’éternité.

    Merci à FanB pour ce texte, petit défi lancé entre nous autour de la description d’un bogoss en train de se rhabiller. Défi relevé haut la main !


    1 commentaire
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    Mon portable émet un petit son aigu… un message... le genre de message qui contient à mes yeux plus de poésie que l’intégrale de Baudelaire :
    « vestiaire mtn».
    Je stoppe net sur le trottoir que je viens de rejoindre.
    Soudainement j’ai la tête qui tourne, les mains moites, les jambes en coton.
    J’ai une envie brûlante de le rejoindre, tout en me sentant retenu, tétanisé par une peur panique de me retrouver face à un mec qui veut juste se vider les couilles pour mieux me jeter après… tout comme il l’a si bien affirmé (et si bien fait) hier…
    D’autre part… la tentation d’y aller est trop forte… et ce, pour plusieurs raisons…
    Déjà… je ne l’ai toujours pas félicité pour sa performance sportive… je vais commencer par ça… commencer par le mettre de bon poil, avant de le mettre à poil…
    Et puis… répondre présent à son invit… c’est aussi l’occasion de pénétrer dans un vestiaire après match…
    Car, mieux encore qu’après un simple entrainement tel que je l’ai connu quelques semaines plus tôt, ce sanctuaire à mecs doit être en ce moment empli d’odeurs de jeune mâle, de douche, de virilité, de deo… avec un peu de chance, Jérém ne sera pas encore passé sous la douche… il sera encore moite de sueur, sentant le mâle et l’effort… et, qui plus est, gonflé à bloc de testostérone après ses exploits et sa magnifique victoire…
    « 5 min »… envoyer sms…
    Tout comme lui, j’adopte une prose proustienne.
    Je fais demi-tour et je parcours les quelques centaines de mètres qui me séparent du terrain de rugby d’un pas plutôt soutenu…
    En approchant de mon but, je me dis que j’aimerais pouvoir lui dire aussi à quel point ses larmes m’ont touché… à quel point l’accolade avec Thibault était bouleversante… bien sûr, je suis parfaitement conscient du fait que je ne pourrais jamais le faire, car il prendrait très mal… mais ce serait tellement beau de le serrer dans mes bras et de le réchauffer… de le réconforter…
    Lorsque j’arrive aux abords du terrain, je remarque que sur le parking il ne reste qu’une voiture, une 205 rouge… je remarque aussi que la buvette est fermée et que plus personne ne rode autour de la pelouse… bref, tout le monde est parti, sauf mon bobrun, comme le confirme la porte d’entrée principale du vestiaire, entrebâillée…
    Je connais les lieux pour les avoir très agréablement fréquentés dans une autre occasion… alors, après avoir pris une bonne inspiration pour me préparer à plonger dans cet univers imprégné de présence masculine, je passe la porte en métal…
    Je rentre dans le petit couloir… personne à l’horizon… dès l’entrée, je suis enveloppé par ce mélange de vapeur de douche, de savon, de shampoing et de sueur… j’ai l’impression de me shooter rien qu’en respirant cet air chargé, saturé de jeunesse masculine… dans ce mélange olfactif, je me perds, je me noie…
    Je n’ai qu’à fermer les yeux pour imaginer toute l’équipe telle qu’elle devait être là tout juste une heure plus tôt… les uns assis sur les bancs en train de retirer les chaussures à crampons et les chaussettes avant de masser les pieds engourdis par plusieurs heures passées enfermées dans le cuir… certains ayant déjà retiré la majorité de leur équipement, se retrouvant en slip, ou en boxer… d’autres en train de se chamailler comme des gosses, refaisant le film du match dans de grands gestes, faisant rouler leurs muscles et danser leurs paquets prisonniers d’un fin tissu… d’autres enfin, seraient déjà nus, en train de se diriger vers la douche ou bien en train d’en sortir, le corps dégoulinant d’eau, attrapant leur serviette, posant un pied sur le banc pour se sécher la jambe, offrant une vue imprenable sur un joli paquet ou sur une paire de fesse musclé entrouverte par ce geste…
    Les sensations qui viennent à moi en rentrant dans ce lieu après ce match de finale sont en tout et pour tout conformes à ce que j’avais pu imaginer… mais en mille fois plus prenantes, puis puissantes…
    J’avance dans le petit couloir et là, sortant sans faire de bruit d’une porte latérale, le bogoss se dresse devant moi, à tout juste un mètre de distance, la cigarette allumée au bec, toujours habillé de son maillot vert et blanc défraichi par le match, les chaussettes et les crampons toujours aux pieds, les cheveux encore en bataille… et ce fut comme une apparition…
    Putain… il n’est toujours pas douché… je sens que je vais adorer…
    Son regard est à la fois excité, fier et amusé… son corps et sa musculature semblent encore bien chauffés par le match… je sens que si je le chauffe encore un peu, ça va être le feu d’artifice.
    En attendant, c’est lui qui va me chauffer un peu plus…
    Le bogoss finit sa cigarette, il jette son mégot à terre avec un geste désinvolte avant de l’écraser avec sa chaussure de sport… il relève ensuite le regard, il le pointe vers moi… c’est un regard intense, désormais embrasé par un sourire lubrique brûlant…
    Le mec avance vers moi… et lorsqu’il arrive à ma hauteur, je le vois me contourner… un instant plus tard, j’entends le bruit sonore de la serrure de la porte métallique qui se verrouille… douce musique, interlude annonçant le début des choses sérieuses… heureux d’en déduire que ce n’est pas que pour m’engueuler qu’il m’a fait venir… que le sujet Thibault n’est pas à l’ordre du jour… et qu’une bonne baise semble s’annoncer…
    Un instant plus tard, je le sens se placer derrière moi… ses mains se posent fermement sur mes hanches pour m’attirer contre lui avec un geste volontairement brusque, presque brutal… mon bassin recule, se colle au sien… je sens une bosse dure se plaquer contre mon jeans… je frissonne… je chavire…
    « C’est de ça que t’as envie, hein ? » il me siffle à l’oreille, les lèvres tellement proches que je sens sa petite barbe sexy frotter sur le pavillon et son souffle chatouiller mon tympan… petit con de petit con, va…
    Mon corps tout entier est parcouru de frissons… je me sens complétement en son pouvoir… il pourrait faire de moi ce qu’il veut, je ne pourrais rien lui refuser…
    « C’est tout ce dont j’ai envie, toujours envie… » je lui confirme, presque en état de transe.
    « T’as encore envie d'en prendre plein le cul… » fait-il, chaud comme la b(r)aise.
    « Oui… oui… » je concède, ravi.
    « Dis-le alors ! » ordonne-t-il en levant le ton de la voix.
    « J’en ai envie… » j’admets timidement.
    « T’as envie d’en prendre plein le cul… vas-y, dis-le ! » insiste-t-il, virulent, son souffle chaud dans mon oreille, la prise sur mes hanches se resserrant un peu plus, le contact avec sa bosse puissante se faisant plus vif…
    « J’ai envie d’en prendre plein le cul… » je finis par le suivre, comme une délivrance, dans laquelle je prends un plaisir certain…
    « T’as senti le mec en rentrant ici, c’est ça… c’est pour ça que tu bavais… » relance-t-il.
    « Je ne bavais pas… » je tente de me défendre, tout en espérant qu’il surenchérisse.
    « Si… tu bavais… t’es venu au match juste pour voir des mecs de près… » fait-il.
    « Je suis venu parce que je voulais te voir, toi, Jérém… » je précise.
    Ce qui est vrai. C’est pour Jérém que je suis venu au match… le corollaire de bogoss gravitant autour de ce match n’étant qu’accessoire à mon envie de voir mon bobrun en action…
    « T’as encore parlé à Thibault… » je l’entends me lancer.
    Ah… merde… je me disais bien que j’avais crié victoire un peu tôt…
    « Je l’ai juste félicité pour le match… on s’est croisés par hasard… ».
    « Tu le kiffes, lui aussi ? » il me balance direct à la figure.
    Pas simple de répondre à ce genre de question, et encore moins de le faire dans les conditions qui sont les miennes à cet instant précis… ses mains enserrant toujours fermement mes hanches, sa bosse contre mes fesses, la chaleur de son torse irradiant mon dos, sa voix posée et autoritaire faisant vibrer en moi mille et une cordes sensibles, son souffle chaud dans mon oreille, sur ma joue, dans mon cou…
    « Arrête, Jérém… » je tente de me défendre…
    Mais, les bières aidant, la langue du bogoss est en mode « taper là où ça fait mal » :
    « Il est bien foutu, hein… il est bogoss… avoue… tu te ferais bien défoncer par lui aussi… ».
    « Tu dis n’importe quoi, Jérém… c’est de toi que j’ai envie… » je tente de calmer le jeu. Je ne vois pas où le bogoss veut en venir mais je devine que ça peut vite déraper…
    « C’est ça, comme l’autre connard au KL, l’autre fois… » il me sort de but en blanc.
    Ouf… heureux qu’on s’éloigne du sujet Thibault…
    Cependant, on est en train de partir sur un autre sujet épineux… le ton de sa voix monte… le bogoss semble commencer à partir dans les tours… vite calmer le jeu…
    « Lui c’était juste un plan B parce que je croyais que tu partirais encore avec une pouffe… si j’avais su que tu rentrerais avec moi, jamais ne je me serais laissé draguer par ce mec… c’est toi, Jérém, qui me rends dingue… dès que je te vois, j’ai envie de toi, tellement envie que j’en ai mal au ventre… c’est même pire que ça… il me suffit de penser à toi que j'ai envie de te faire jouir… ».
    « Parce que je suis un bon coup et que je te baise comme personne, dis-le ! » il m’intime.
    Petit con… et moi alors… je ne te baise pas « comme personne d’autre » ? Je t’en foutrais…
    J’ai envie de profiter de sa boutade pour lui renvoyer le même jeu…
    Je me dégage alors de sa prise, je me retourne… et, en le regardant tout droit dans les yeux, je lui balance :
    « Je vais le dire si toi aussi tu admets que moi aussi je te fais jouir comme t’as jamais joui ! ».
    « Mais qu’est-ce que tu en sais ? » se moque-t-il en scandant bien les mots, le ton moqueur et un tantinet méprisant, un beau sourire sexy et insaisissable aux lèvres.
    Il avance à nouveau vers moi, il me contourne… cette fois-ci, je suis son mouvement en pivotant sur moi-même… je le vois disparaître dans le saint des saints… le vestiaire…
    Lorsque je pénètre dans la grande salle, c’est une vibrante sensation de tranche de vie très récente qui me percute… les placards des joueurs, disposés en « U » sur trois murs, ont été pour la plupart abandonnés avec la porte négligemment ouverte… le sol, encore humide, est jonché de petits papiers, de serviettes… une chaussette verte traîne sous un banc… un maillot blanc et vert a même été laissé dans la précipitation… l’odeur de douche de bogoss est omniprésente, comme une force, une énergie invisible mais parfaitement perceptible… en cette fin d’après-midi, cette pièce résonne encore de la présence de jeunes gens heureux…
    Au milieu de ce bazar parfaitement harmonieux pour mes sens, deux bancs sans dossier trônent alignés à environ trois mètres l’un de l’autre…
    Mon beau brun est là, installé à califourchon sur l’un d’entre eux, en train de boire à une gourde qu’il a dû tirer de son sac de sport.
    Je m’assois à mon tour à califourchon sur l’autre banc, face à lui. Et j’enchaîne :
    « Si je n’étais qu’un coup comme tant d’autres, tu ne m’aurais pas baisé autant… et tu n’en redemanderais pas… ».
    « Je te l’ai dit, t’as une bonne bouche et un bon cul et t’es toujours dispo, trente jours par mois… c’est tout ce qui compte… » lâche-t-il sur un ton railleur assorti d’un petit sourire méprisant.
    Ce petit con ne lâche rien… je tente un coup de poker…
    « Il y en a d’autres des culs et des bouches… mais les miens te font ce que les autres ne te font pas…».
    Je suis étonné de l’aisance avec laquelle j’arrive à lui balancer mes quatre vérités en le regardant droit dans les yeux… ça doit être l’effet de la bière… mais putain qu’est-ce qu’il est sexy avec son maillot…
    Il me toise en silence, j’en profite alors pour enfoncer le clou :
    « Tu as une queue de fou, mais moi je sais la rendre heureuse… ».
    « T’es culotté, mec ! » me lance-t-il.
    « Tu peux parler de culot ! » j’arrive à lui balancer « t’y as été fort, hier… et là tu me branches comme si de rien n’était… ».
    « Ça va, j’étais énervé, j’étais inquiet pour le match… et ça m’a fait chier que Thib me fasse des réflexions… » fait-il, un max détendu.
    « Je ne suis pas ton punching ball... » je réagis.
    Il me fixe, son sourire diabolique toujours aux lèvres… et là je le vois se lever, avancer vers moi, enjamber le banc où je suis assis, se pencher en avant, vers moi, en prenant appui sur ses mains posées à plat juste devant lui…
    Instinctivement, en voyant ce corps musclé envahir brusquement mon espace vital, j’ai un mouvement instinctif de recul…
    Le bogoss me toise de très près, en silence…
    Il me fixe, son sourire diabolique toujours aux lèvres… et là je le vois se lever, avancer vers moi, enjamber le banc où je suis assis, se pencher en avant, vers moi, en prenant appui sur ses mains posées à plat juste devant lui…
    Instinctivement, en voyant ce corps musclé envahir brusquement mon espace vital, j’ai un mouvement instinctif de recul…
    Le bogoss me toise de très près, en silence…
    « Tu sais… je… je… » je bégaie, tentant désespérément de garder mon cap, ma volonté perturbée par sa proximité soudaine.
    J’ai le cœur qui cogne à tout rompre… mais mes émotions sont loin d’être terminées… le bogoss avance encore son fessier sur le banc, jusqu’à ce que ses genoux entrent en contact avec les miens… ce simple contact de peau chaude est divin…
    Ma volonté n’est pas seulement perturbée, elle est carrément déglinguée… je tente tant bien que mal d’arriver au fond de ma phrase :
    « Je… je… peux… tout… tout… comprendre… si… ».
    Il est assis face de moi, le torse enserré dans son maillot blanc et vert qui sent clairement la transpi… il me sourit, c’est le sourire du prédateur qui mesure son pouvoir sur sa proie… et c’est beau à tomber…
    « … si… si… si on… m’explique… calme… » je tente de terminer mon propos, alors que mon libre arbitre vient de fondre comme neige au soleil…
    Puis, ne trouvant peut-être pas suffisant l’effet de dingue que sa proximité exerce sur moi, le bogoss décide de faire monter la pression jusqu’au-delà de la zone rouge…
    Je le vois plier le buste vers l’avant, jusqu'à ce que nos fronts se touchent, ses mains fermement posées derrière ma tête pour m’empêcher de reculer… contact détonnant, évoquant d’autres situations ou ses mains retiennent ma tête pour son plaisir de mec… étincelles sur ma peau, dans ma tête, décharges puissantes dans mon ventre… sentir son front chaud sur mon front, sentir une intense chaleur chargée de bonnes odeurs de mecs monter à mes narines… baisser les yeux et, délicieuse surprise, arriver à plonger le regard dans l’entrebâillement du col du maillot enduit par la position de son buste légèrement penché vers l’avant, me perdre dans la vision inattendue et spectaculaire de ses pecs…
    Je suis tellement dingue que j’en veux encore plus… je suis comme ivre, et débridé… je porte ma main à la naissance du col en V de son maillot, j’attrape le tissu, je l’écarte un peu plus et je plonge mon nez dedans… j’inspire avidement, bruyamment… je m’enivre de cette chaude essence de mec dont j’ai été privé la veille, lorsque le bogoss a déboutonné d’un seul geste sa jolie petite chemise blanche de service…
    Le feu du désir me ravage de l’intérieur… je suis tellement hors de moi que je trouve même l’audace de porter une main sur sa bosse cachée sous le short…
    A ce stade, je ne suis plus que désir brulant… voilà comment ma volonté commence à se fendiller devant un sourire, subit des dégâts considérables à cause de la proximité physique et olfactive d’un beau mec… et elle se désintègre carrément au contact de son sexe bien tendu…
    Presque au même temps, je sens ses mains relâcher la prise sur ma nuque… la séquence est bien rythmée… son buste recule, se genoux se déplient… un instant plus tard le bogoss est debout, toujours une jambe de chaque côté du banc… ses mains se coordonnent pour baisser le short et le boxer juste en dessous de ses bourses… sa queue apparaît devant mes yeux… son bassin avance, son gland de pose entre mes lèvres… ouvre-toi Sésame… elle s’enfourche vite dans ma bouche…
    Ses coups de reins arrivent directs, puissants… ça commence fort… oui, il est d’humeur joyeuse… mais il est aussi d’humeur « jouieuse »… le mec est bien dans ses baskets et il se lâche, il a grave envie de prendre son pied… je le sens chaud comme une baraque à frites…
    Et, cerise sur le gâteau, mes papilles m’apportent une sensation un peu particulière… c’est un goût, un parfum aussi spécial que rare chez mon bobrun… c’est le gout de sa mouille… une mouille qui a mon avis a dû commencer à suinter bien avant mon arrivée, lors des émotions fortes de ce match… c’est fait comme ça un garçon… parfois il est tout sec alors qu’on le suce comme des malades… et il lui suffit de marquer un but pour décorer son boxer d’une petite trace odrorante…
    Ses va et vient sont réguliers, profonds, le bord du maillot tape sur mon visage de façon cadencée… il faut vraiment que je lui offre ce maillot londonien bien taillé qui doit mieux rendre justice à sa plastique que ce maillot un peu trop grand pour lui…
    J’imagine le bonheur de le sucer dans cette tenue… pourtant, je ne sais toujours pas quand est-ce que je vais pouvoir lui donner… tiens, je pourrais lui offrir comme cadeau pour sa victoire, profitant de son humeur joyeuse…
    Oui, mais quand ? Il faudrait que je l’aie là, avec moi… mince… enfin… on va dire que pour l’instant j’ai plus urgent à faire…
    Je reçois et j’accepte goulûment ses assauts de mec, je me réjouis de sa fougue… ça fait du bien de le sentir déchaîné, la tête dégagée des soucis immédiats, 100% à son plaisir de mec tout comme, encore un peu plus d’une heure plus tôt, il était 100% à son jeu…
    Et puis ses coups de reins s’arrêtent. Le bogoss remonte boxer et short et se remet en position assise. Son bassin avance toujours, ses genoux poussent les miens, m’obligeant à reculer jusqu’au bord du banc…
    Le bogoss se débarrasse de son t-shirt avec un geste aussi rapide que l’éclair et intensément érotique… je remarque que le bandage à l’épaule a disparu, laissant ainsi entrevoir un énorme bleu couvrant la totalité de l’arrondi au-dessus de son biceps…
    Jérém s’allonge ensuite sur le dos, sur toute la longueur du banc, les bras pliés et les mains croisées derrière sa tête, toujours à califourchon, le bassin légèrement cambré… et putain que son paquet est remarquable dans cette position, sous son short blanc…
    Je comprends très vite le signal… une seconde plus tard, je me penche sur son short et, tout en dégageant le tissu par petites touches, je me fais plaisir en respirant ses phéromones…
    Le mec a mouillé le maillot… ça, c’était à la vue de tous… ce qui était moins connu, c’est que son boxer aussi en a pris une sacré claque… lorsque j’y plonge le nez dedans, je retrouve un bonheur intense… à l’intérieur du tissu élastique, ça sent bon, ça sent fort, c’est moite… ça sent la transpi, mais la transpi bien particulière qui suinte autour de la queue et des couilles… et, surprise réjouissante… une petite trace de mouille se dessine à l’avant du boxer…
    Lorsque je dégage le dernier pli de tissu retenant sa queue raide, son manche tendu m’échappe d’entre les doigts et, comme attirée par un ressort invisible, elle vient claquer lourdement sur ses abdos…
    Je la regarde, ainsi couchée, se soulevant régulièrement suivant les contractions musculaires du bogoss… elle est magnifique… j’adore la regarder, retarder le moment d’aller la rendre heureuse… mes yeux réclament leur part et je me fais violence pour ne pas céder aux réclamations de ma bouche impatiente…
    Ses bourses bien remplies, doucement abandonnées entre ses jambes légèrement écartées, me donnent envie d’un petit détour… je pose mes lèvres dans le creux entre les couilles et la naissance de la queue… je commence par y déposer des bisous tout doux… j’enchaîne en laissant ma langue tourner délicatement autour de ses couilles… je m’y attarde un petit moment, avant de remonter vers la base de sa tige tendue…
    Ma langue avance désormais le long de son manche… elle arrive dans le creux du gland… motivée par le goût un peu salé de sa mouille de mec, ainsi que par un léger arrière-goût chaud de transpi et d’urine, ma langue redouble d’efforts pour lui faire plaisir… elle s’agite, le titille par de petits mouvements répétés… le bogoss frissonne…
    Un instant plus tard, son gland se retrouve enserré dans ma bouche, mes lèvres s’avançant jusqu’à rencontrer ses poils pubiens…
    Et alors que ce liquide si rare et précieux suinte sans discontinuer, j’entreprends de lui offrir une pipe musclée, alternant les gorges profondes et les caresses délicates sur le gland…
    Avec le coin de l’œil, j’arrive à suivre les mouvement involontaires et désordonnés de ses bras, comme le reflet des vagues de plaisir incontrôlable que ma bouche lui apporte… petit con, va… tu ne veux pas l’admettre que je t’offre un plaisir de dingue… mais tu sais quoi… ton beau corps te trahis… je n’ai pas besoin de tes mots… tes spasmes, tes petits gémissements, les ondulations de tes abdos, ta respiration saccadée, voilà la réponse à ma question…
    C’est en dessous de sa ceinture que je m’affaire… mais c’est en dessus que l’excitation se fait le plus démonstrative… ses bras n’arrêtent pas de gigoter, divaguent dans tous les sens… ils s’allongent vers l’arrière, ils se plient, les mains se croisent sur sa tête… elles repartent aussitôt, portées par des bras qui ne tiennent pas en place… elles s’agrippent à la planche à hauteur de ses oreilles… un instant plus tard, les bras se déplient à nouveau… ses biceps se contractent, ses poings se ferment… on dirait des gestes de bébé enchanté pas son accroche jouets… alors que ce sont les mouvements inconscients et incontrôlés d’un beau mec en train de prendre son pied au-delà du raisonnable…
    Son bassin, son dos, son cou, sa tête, ondulent sur la planche… le bogoss relève la tête de temps à autre, il me regarde faire un instant, le visage défait par les décharges de plaisir que ma bouche lui apporte… lorsqu’il repose la tête sur le banc, elle se rabat en arrière, la bouche s’ouvre à la recherche d’air…
    C’est là que je me dis… oui, Nico, là tu as dans tes mains la clef de son plaisir…
    Qu’est-ce que c’est bon de pénétrer dans ce vestiaire… encore meilleur que d’y pénétrer après l’entrainement, y pénétrer après un match, un match dur, mais gagné…
    Et qu’est-ce que c’est bon de le sucer dans ce sanctuaire à mecs… encore meilleur que le sucer après l’entrainement, le sucer après un match, un match dur, mais gagné…
    Il faut que je marque le coup, que je dépasse ses meilleures attentes… alors, tout en continuant à le sucer activement, ma main se porte sur son torse, à hauteur de ses abdos… elle remonte tout doucement vers ses pecs, je les caresse avec la paume de ma main, l’un après l’autre… le bogoss cambre les reins, bombe le torse…
    Ainsi encouragé, ce sont alors mes deux mains qui se posent sur ses pecs, qui envoient leurs doigts respectifs titiller ses beaux boutons rose marron… le plaisir ressenti par le bobrun est tellement intense qu’il ne sait plus comment se mettre…
    Il est dingue… je veux lui faire péter un plomb… je veux le rendre si fou de plaisir au point qu’il ne sache même plus où il habite… j’ai une arme secrète pour cela…
    Je me fais violence pour obliger ma bouche à quitter sa queue… je la motive en la chargeant d’une mission tout aussi excitante… pour assurer la transition, ma main prend immédiatement sa place, enserrant son manche et en le branlant avec des mouvements amples…
    Mon buste se penche sur le sien pour permettre à mes lèvres et à ma langue de partir à l’assaut de ses tétons… ma joue appuyée juste au-dessus de son cœur, je capte ses battements rapides mélangée à sa respiration courte, agitée, excitée…
    Comment lui faire encore plus plaisir ? Je sais… c’est simple… obliger ma langue à abandonner la douce fermeté de ses tétons pour descendre, descendre, descendre tout au long de son torse, passer ses abdos, son nombril en m’y attardant tout juste le temps d’un passage de langue… passer son pubis, en résistant à la tentation ultime de s’arrêter pour humer les bonnes odeurs que cette petite pilosité sait cacher… passer à côté de sa queue, sans me laisser aller à l’appétit vorace qui me pousserait à gouter encore au petit nectar exquis qui continue de suinter dans son creux… à la reprendre en bouche, jusqu’à la faire jouir…
    Descendre encore un peu plus… passer ses bourses sans être hypnotisé par leur chaleur, leur douceur odorante… descendre un peu plus encore, et terminer son voyage un peu plus loin dans l’entrejambe… voilà comment lui faire plaisir…
    Ma main continue de le branler tout doucement, mon pouce lubrifié par sa mouille tentant de remplacer le pouvoir magique de ma langue au creux de son gland…
    Et lorsque ma langue se faufile jusqu’à son ti trou et qu’elle essaie aussitôt d’en forcer l’entrée, le bogoss tressaillit…
    « Putain… » je l’entends exclamer violemment « ça c’est bon… vas-y… vas-y comme ça, mec… ».
    Je continue de faire tournoyer le bout de ma langue autour de sa rondelle… le bogoss se tait… j’écoute sa respiration, qui est comme suspendue… les mouvements de son diaphragme se font de plus lents, plus amples… j’ai l’impression que tout son corps est agité par un petit frissonnement involontaire… on dirait… oui… on dirait qu’il ronronne…
    Le bogoss est actif à 200%... mais qu’est-ce qu’il aime se faire tapoter l’entrée des artistes…
    Petit jeu intense, dans lequel je perds toute notion du temps… je ne pourrais pas dire pendant combien de temps je me suis fait plaisir tout en lui faisant plaisir de cette façon… tout ce que je sais, c’est que ce truc est l’un de ceux qui le rendent le plus dingue… alors, je ne vais pas m’en priver… je pourrais continuer pendant des heures…
    Dans les faits, je ne peux continuer que jusqu’à ce que le bogoss décide qu’il est « temps » de passer à autre chose… et le « temps » c’est lorsque le bogoss relève son buste, provoquant le même geste chez moi… il recule ensuite son fessier sur le banc, m’attrape par les hanches, tire mon bassin vers le sien le faisant glisser sur la planche… il relève mes jambes, m’obligeant à poser mon dos sur le banc…
    Les gestes du bobrun sont rapides, presque violents, des gestes qui me font sentir complètement en son pouvoir, comme si je lui appartenais, comme si je n’avais pas le choix… mes jambes en l’air, le bogoss entreprend de me déshabiller… en quelques secondes, mes chaussures (sans même prendre le temps de défaire les lacets), mon short, mon boxer ont volé… je seconde ses intentions en me chargeant de mon t-shirt…
    Me voilà complétement nu devant lui… à sa complète disposition… je le vois se lever et se débarrasser à son tour de ses baskets (toujours dans la précipitation, sans prendre le temps de défaire les lacets), de son short et de son boxer… complètement nu lui aussi, le sexe tendu pointant le zénith, une jambe de chaque côté du banc… l’air triomphant, le mec me domine de tout son mètre 80… et de toute sa puissance masculine…
    Il va me prendre comme ça, direct… il va cracher dans sa main, enduire sa queue, en mettre un peu entre mes jambes, il va venir en moi, me défoncer et me remplir… que de bonnes choses en vue…
    Mais il ne faut pas présager des intentions de mon bobrun, si irrésistiblement imprévisible…
    Un instant plus tard, il plie ses genoux et se retrouve à nouveau assis à califourchon sur le banc… et là, il relève mes jambes jusqu’à les porter sur ses épaules, relevant ainsi mon bassin… ses mains se portent sur mes fesses, les enserrent fermement, les écartent… son visage approche de mon entrejambe… je l’entends cracher sur ma rondelle… je sens son doigt s’insinuer en moi, rentrer petit à petit, et ressortir aussitôt pour se faire lubrifier à nouveau… ce doigt qui revient à la charge, qui rentre et qui ressort, s’enfonçant à chaque fois un peu plus profondément, provoquant en moi une montée de frissons certaine…
    Le bogoss insiste, et ça devient de plus en plus bon… à un moment je remonte le cou pour le voir faire… et là je croise son regard… le mec me mate carrément en train de jouir du cul… j’adore le voir faire… savoir qu’il me mate pendant que je prends mon pied…
    Mais apparemment mon regard n’est pas à son goût… son autre main se porte sur mon menton, lui insufflant un mouvement de basculement vers l’arrière, façon bien à lui de me dire qu’il souhaite que je m’allonge complétement sur le banc…
    C’est là qui se produit l’impensable… dès que ma tête touche la planche en bois… dès que son visage disparaît à nouveau derrière mon bassin suspendu, je sens une sensation de chaleur juste en dessous de mes couilles…
    Je commence à perdre pied lorsque je réalise qu’il s’agit de son souffle… je perds le contact avec la réalité lorsque je sens ses mains écarter à nouveau mes fesses pendant que le souffle chaud se déplace le long de ma raie jusqu’à se stabiliser à l’aplomb de mon ti trou… mais je change carrément de dimension lorsque je réalise que sa langue, celle qui refuse de rentrer en contact avec la mienne, est en train de caresser timidement les bords de ma propre rondelle…
    Ah, putain… celle-là, vraiment, je ne l’avais pas vue venir…
    D’abord hésitant, puis, très rapidement, de plus en plus entreprenant, le bogoss est en train de me rendre la pareille de ce que je viens de lui faire… je ne sais pas s’il prend autant de plaisir que moi en le faisant… ce qui est certain, en revanche, c’est que ce truc me fait un effet de dingue… le même effet que ça doit lui faire à lui… je comprends mieux pourquoi il aime tant cette petite diversion…
    C’est la première fois qu’on me fait ça… il faut dire que si l’idée de le faire à mon bobrun m’a tenté très tôt, celle de le recevoir ne m’a jamais vraiment titillé l’esprit, en premier lieu parce que jamais je n’aurais imaginé qu’il puisse envisager cela, et surtout dans ce sens…
    J’avais tort… sa langue puissante et souple me titille, me secoue, me chauffe… et c’est rudement bon… bon à en pleurer… tellement bon que ça en devient rageant lorsque ça s’arrête… non, pas déjà…
    Bah, si… lorsque mon bobrun a décidé que ça s’arrête, eh ben… ça s’arrête… je le vois relever la tête, dégager mes jambes de ses épaules, décoller son bassin du banc et se remettre débout… je sens ses main chaudes et directives sur mon corps, je me laisse faire, je tente de deviner ses intentions…
    Je comprends très vite que son souhait c’est de me mettre à plat ventre sur le banc… il ne me reste qu’à m’incliner devant la manifestation de ses envies…
    Je me retrouve plaqué sur le banc, le visage pile au bord… je tourne mon visage, je pose ma joue sur la planche… je me prépare à le recevoir en moi… voilà, le moment est arrivé… après m’avoir bien chauffé, il va prendre ce qui lui appartient…
    Oui… mais non… je frissonne lorsque je me rends compte que ce n’est pas son gland qui se presse à l’entrée de mon ti trou, mais à nouveau sa langue déchainée… elle s’y attarde pendant un petit moment, gourmande, insatiable…
    Puis elle décolle…elle délaisse ma rondelle pour remonter tout lentement le long de ma colonne vertébrale jusqu’à mon cou… c’est un mélange de plaisir et de petits picotements, de frissons et de petites chatouilles qui parcourt mon dos et qui s’irradie dans tout mon corps… en un mot, c’est divin…
    Je ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse de cette langue, me demandant jusqu’où elle va aller… je sens le passage lent et humide arriver entre mes omoplates… mes sensations en sont alors démultipliées… je perds le contrôle… je savoure ce moment de lévitation de mon esprit, tout en profitant également de la chaleur de ses mains qui prennent appui et se déplacent sur mon dos, sur mes flancs, sur mes épaules pour supporter la logistique du merveilleux voyage de sa langue le long de ma colonne…
    Et lorsque sa langue commence à remonter mon cou jusqu’à effleurer la région sacrée de la base de ma nuque… là j’ai l’impression que toute ma peau est en train de s’embraser…
    C’est à ce moment-là qu’une nouvelle puissante sensation vient à moi… alors que mon corps est tout concentré sur le plaisir sensuel de ce contact à la base de ma nuque, mon bobrun vient en moi… son gland s’insinue lentement, il glisse tout doucement, jusqu’à ce que ses couilles se posent contre mes fesses…
    Il est en moi… bien profondément en moi… je suis à lui, mon cul est à lui, à sa libre et complète disposition… j’ai l’impression que mon corps tout entier est parcouru par des décharges électriques, que chaque sensation est découplée… mon ti trou est ultra-sensible… je suis très réceptif, ainsi chauffé par sa langue…
    Je sens ses mains puissantes prendre fermement appui sur mes épaules… et lorsqu’il commence à limer mon petit puit de bonheur, c’est avec des foulées amples et lentes qu’il démarre le bal…
    Le bogoss me baise lentement, mais puissamment … la lenteur de ses glissements alternés fait que je sens particulièrement bien le passage de son engin en moi, que j’en apprécie toute la force, tout le gabarit… je sens chaque centimètre coulisser en moi… me voilà partagé entre avoir envie que ça se déchaine et que ça devienne plus brutal… et le bonheur de ce slow sexuel qui me permet d’apprécier des sensations et des nuances de sodomie encore jamais expérimentées…
    Quel petit con, ce Jérém… mais que petit con sacrement doué pour la baise…
    De temps à autre, il s’arrête au plus profond de moi … et là, pendant un court instant, avant qu’il ne réenclenche la marche arrière, ses mains prennent appui tour à tour sur mes hanches ou sur mes épaules, et je me sens vraiment dominé pas sa queue puissante… je me sens bien baisé… comme j’aime, comme je le mérite… je suis le mouvement comme en état d’hypnose…
    Et lorsqu’il commence à se déchaîner, lorsque ses cuisses tapent contre mes fesses en provoquant des claquements sonores et sourds à la fois… lorsque ses couilles bien pleines et bien chaudes frappent lourdement contre mon entrejambe et parfois contre mes propres couilles… je chauffe tellement que j'en tremble… je perds le contrôle, je ne sais plus où j'habite… et je me laisse aller… j’ai envie de crier… je n’arrive plus à me contenir, à me contrôler… le plaisir, l’excitation, le profond bonheur de me sentir à lui… le mélange de sensation que ce petit con sait m’offrir est si puissant que des gémissements s’échappent de ma bouche… dans le feu de l’action, je crois que je deviens très bruyant…
    Au point qu’une de ses mains finit par quitter mon épaule et se poser sur ma bouche pour me contrôler… geste qui a le pouvoir non pas de me calmer, bien au contraire, mais en tout cas de me faire comprendre qu’il faut que je la mette en sourdine…
    Le bogoss se déchaîne… c’est trop bon l'avoir en moi… j’ai trop envie de lui faire savoir…
    « Baise-moi, Jérém, baise moi autant que tu veux… tu es trop doué pour ça… c’est un truc de fou… ».
    J’ai envie qu’il me balance de bons gros mots crus, qu’il me fasse sentir bien soumis, bien à lui, sa femelle… hier après-midi, ce petit jeu m’a bien chauffé… et j’ai bien senti que lu aussi ça le chauffe à bloc… alors, pourquoi se priver de ce bonheur partagé ?
    Je viens tout juste de terminer ma phrase que le bobrun ralentit ses coups… je sens sa queue changer d’angle d’entrée, tout en continuant à me limer… je sens la peau de son torse se poser sur celle de mon dos, le poids de son corps écrasant le mien, son souffle chaud et haletant caressant ma nuque…
    Et là, je l’entends chuchoter tout près de mon oreille :
    « Je te baise bien, hein ? ».
    Ça y est… le bogoss a mordu à l’hameçon… je sens qu’on va s’amuser à ce petit jeu qui s’amorce… alors, allons-y… je vais te chauffer à bloc mon petit…
    « Il te plaît bien mon cul… il est bien calibré pour ta queue… je suis ta pute… ».
    L’excitation me rend dingue… je sais que certains de mes mots me feraient rougis de honte à froid… je sais que je vais regretter mon excès de soumission à lui… mais là je suis trop chaud et aucun mot me semble trop grossier pour chauffer mon bobrun…
    « T’avais envie de gouter à ma queue, c’est pour ça que t’es venu… »
    « Jérém… tu es mon m… [Nico, évite le mot « mec », ça pourrait être mal pris…]… Jérém… tu es mon… m…âle… ».
    « Oui, et toi une petite salope qui me vide les couilles ».
    « Putain, qu’est-ce qu’elle est bonne ta queue… ».
    « Ça te plait quand elle te démonte le cul… » fait-il en mettant quelques coups de bassin très puissants, violents.
    « Tu es tellement puissant… tu es un véritable étalon… ».
    « Ta seule et unique envie c’est de te faire démonter le fion… ».
    « Oui, par toi… vas-y… démonte-moi ! ».
    « Je vais tellement te défoncer que tu ne vas plus pouvoir t’asseoir… ».
    « C’est tout ce que je veux… te sentir en moi longtemps après que t’aies joui en moi… ah, c’est bon… putain que c’est bon… tu me fais jouir comme jamais tu m’as fait jouir… ».
    Sa fougue est impressionnante… est ce que c’est l’effet dopant, la drogue puissante de la victoire qui le met dans cet état d’éphorie sexuelle ? Ou bien mes mots, mon attitude déchainées ?
    En tout cas, son entrain est un pur bonheur pour moi…
    « Tu prends ton pied, mec ? » j’ai envie de lui demander.
    « T’inquiète pour mon pied… ».
    « Il bon mon cul, n’est pas ? » je relance.
    « Il est toujours chaud comme la braise… ».
    « Toi aussi t’es chaud comme la braise… et t’es surtout chaud pour la baise… c’est pour ça que mon cul est si offert… il est tout pour toi… ».
    « Profite bien du voyage, ça ne va pas durer… ».
    « Tu aimes me baiser parce que j’ai une bonne bouche et un bon cul… ».
    « C’est ça… ».
    « Parce que tu peux me faire tout ce que tu as envie… parce que tu prends ton pied avec moi comme avec personne d’autre… ».
    « Je t’ai dit de pas t’inquiéter pour mon pied… je suis un mec… dès que ma queue est bien enserrée et au chaud, je prends mon pied… ».
    Petit con, va… tu vas voir… on va voir si mon cul est si banal…
    « Tu vas bientôt jouir ? » je me renseigne.
    « Je vais bientôt te farcir, oui… t’en as envie, hein ? T’attends que ça, te faire remplir… » fait-t-il, la voix de plus en plus méconnaissable, altérée par l’effort et l’excitation.
    « Oui… mais pas encore… ».
    Et, ce disant, profitant du fait que le bogoss a un peu relevé son torse et qu’il ne me retient plus que par les hanches, je me dégage de lui… j’ai envie de prendre les choses en main… je sais que mon geste est absolument fou, car, ne voyant pas son visage, il m’est impossible d’estimer à quelle distance le bogoss se trouve de son orgasme… le risque d’une jouissance ratée est réel, acte impardonnable à l’égard d’un si beau garçon, d’un si bon champion et d’un si bon coup…
    Je viens de me déboiter de lui mais je le sens encore en moi, mon trou béant, mon envie incandescente criant un manque violent…
    Je me retourne et je le regarde, désormais assis à cheval sur le banc, le torse incliné vers l’arrière, les bras eux aussi tendus vers l’arrière, les mains prenant appui d’une part et d’autre de la planche… toutes tablettes dehors, tout le corps brillant d’une fine couche de transpiration, la respiration rapide, la queue raide, humide, le visage et le haut du torse rougis sous l’effort, le regard chaud, noir… mais putain qu’est-ce qu’il pue le sexe ce petit con…
    Si c’était un tableau… il faudrait appeler ça… « La testostérone »…
    Moment de pure poésie, poésie à laquelle le bobrun, sans se démonter, ne tarde pas à porter sa savante contribution :
    « Ramène ton cul, dépêche-toi ! ».
    Je trouve sa réplique à la fois d’un érotisme sans nom et étrangement amusante.
    Un petit macho pareil, ça ne s’invente pas… un petit macho capable de verser des larmes sur un terrain de rugby après une victoire et une heure plus tard me baiser avec cette puissance et cette arrogance… je crois que je tiens là un spécimen vraiment unique…
    J’en meurs d’envie de ramener mon cul, bien évidemment… mais pas tout de suite… je soutiens son regard, de plus en plus noir, de plus en plus sauvagement viril… je laisse passer quelques secondes…
    J’approche alors lentement pour aller m’asseoir à califourchon sur le banc, en face de lui…
    Dès mes fesses posées sur le banc, je le vois allonger les bras, porter ses mains vers mon bassin, sans doute dans l’intention de me prendre comme ça, par devant et de lâcher très vite son petit jus chaud bien au fond de moi… perspective, j’admets, plus que tentante… j’adore lorsqu’il est si entreprenant, lorsque l’approche du plaisir précipite ses gestes et fait ressortir ses instincts de mâle en rut…
    Pourtant j’ai autre chose en tête et j’ai décidé que ce coup-ci c’est moi qui fixe les règles…
    Mes bras s’animent, interceptent les siens et bloquent leur avancée… je le fixe tout droit dans les yeux et je vois un mélange de surprise, d’agacement et de frustration balayer son regard brun…
    « A quoi tu joues ? » je l’entends aboyer dans la foulée, tout en commençant à gonfler les muscles de ses épaules et de ses biceps pour se dégager…
    Vite… vite… il faut un truc pour le calmer… je lâche son bras droit, je libère ma main gauche par la même occasion pour lui confier la délicate mission de se poser en urgence sur sa queue, commencer à le branler assez plaisamment pour détourner l’attention du bobrun et me faire gagner un peu de temps…
    Ma gauche réussit sa mission… haut la main… enfin… bas la main… bref… elle réussit à merveille… ce simple contact a le pouvoir de faire cesser illico toute tentative de se dégager… ses bras se baissent aussitôt, ramenant ses mains prendre appui sur les bords de la planche…
    Je le vois fermer les yeux, mordiller sa lèvre inférieure… c’est un spectacle divin…
    Le fauve calmé, je me sens l’audace de poser mon autre main sur ses pecs (ah, putain, qu’est-ce que c’est bon le contact avec le torse d’un bogoss avec quelques poils… même si ça commence juste à repousser et que ça pique plus que ça ne caresse)… et là, il me suffit d’une très légère pression pour que le torse du bogoss accepte de suive le mouvement…
    Un instant plus tard, son dos et sa tête sont posés sur le banc… alors que ses jambes sont toujours posées de part et d’autre du banc, les pieds bien par terre… même position que tout à l’heure, pendant la pipe…
    Je me lève, j’avance lentement jusqu'à ce que mes jambes dépassent les siennes, tout en s’y frottant au passage de façon plutôt appuyée… le bogoss me regarde faire, le regard interrogatif…
    Mon fessier est désormais à l’aplomb de son bassin, de sa queue… le bogoss ouvre un peu la bouche, ses paupières tombent lentement mais lourdement, il expire bruyamment l’air de ses poumons… je crois bien que mes intentions sont dévoilées… et qu’elles sont bien accueillies…
    Et j’en ai la certitude lorsque le bobrun, en me devançant tout juste d’une fraction de seconde, saisit sa queue et la met bien à la verticale, son gland effleurant mon entrejambe…
    Je ne tarde pas plus… je plie mes genoux… j’ajuste l’alignement entre mon ti trou et son gland en me basant uniquement sur des sensations tactiles… et une seconde plus tard je m’empale sur lui…
    Je reste un petit moment assis à califourchon sur mon bel étalon, mes mains s’activant sur ses pecs rebondis, sur ses tétons durs et doux à la fois… qu’est-ce que je t’aime, mon Jérém…
    Je prends appui sur mes pieds et en jouant avec mes genoux et mes cuisses, je commence à monter et descendre autour de sa queue…
    Le bogoss a l’air d’apprécier, d’autant plus que c’est moi désormais qui assume tout l’effort de son plaisir… le mec n’a rien à faire… juste savourer son plaisir de mec sans le moindre effort… c’est moi qui lui offre mon cul, que je m’active pour le bonheur de sa queue… c’est moi qui fait tout… c’est moi qui contrôle la baise, qui contrôle son plaisir…
    Son rôle à lui, c’est celui d’un mec actif… mais qui s’active vraiment dans l’histoire ?
    Son rôle à lui, c’est prendre son pied… mais est ce que ce plaisir il le prend vraiment comme un voleur… ou bien il le prend… parce que c’est moi qui lui donne ? Dans ce cas, il accepte bien d’être soumis à mes talents… Qui domine l’autre à cet instant précis ? Le fauve, serait-il dompté grâce au réflexe pavlovien associé à son propre plaisir ?
    J’ai envie de tout tenter… de tout oser… je déplie entièrement mes jambes, je relève mon bassin, coupant presque le contact avec son puissant engin… je sens tout juste son gland encore effleurer mon entrée de bonheur… je fais le malin, mais elle me manque déjà… la sentir si proche de moi et pas en moi est une véritable torture… je me fais violence, mais j’arrive à tenir…
    Et à aller même encore un peu plus loin dans ma mutinerie… je remonte un peu plus mon bassin et sa queue se dégage de mon entrejambe en claquant une fois de plus lourdement sur ses abdos…
    Soudainement, je ressens une envie puissante de le reprendre en bouche… c’est ce que je fais, en pompant avidement son braquemart sur quelques va e vient plutôt musclés…
    Quelques instant plus tard, mon bassin se repositionne pour caler sa queue dans ma raie… j’entreprends alors des va et vient avec mes reins, des frottements répétés, des frottements destinés à stimuler et à agacer son gland…
    Le bogoss a l’air de sacrement aimer ça… un mélange de frustration de ne pas être déjà en train de jouir au fond de moi, et d’envie de s’abandonner à ce plaisir inattendu…
    On ne peut pas trop faire attendre un mec lorsque son excitation s’envole, sous peine de le voir s’impatienter et partir dans les tours… ou bien partir tout court…
    Je le regarde dans les yeux… le bobrun est en train de bouillir… je le vois lever les bras, porter ses mains sur mes fesses, amorcer le mouvement pour à la fois relever et faire reculer mon bassin, en vue d’une pénétration qui lui parait nécessaire sur le chemin d’une jouissance que son corps commence à réclamer de toutes ses fibres…
    « Shhhhh… laisse-moi faire… » je lâche tout doucement, sur le même ton avec lequel on tenterait de calmer un caprice de gosse.
    « Dépêche-toi de me faire jouir ! » ce sera sa sommation.
    Bingo. C’est moi qui le fais jouir. C’est moi qui a la clef de son plaisir… j’avoue que ça fait bizarre de penser à ma cousine dans cette situation… et pourtant… ses mots sont prophétiques…
    Je recule le bassin de mon gré, m’amusant à titiller son gland coincé entre mes fesses mais pas encore admis à venir dans mon puit de plaisir… mon attitude commence sérieusement à agacer le bogoss… j’adore… j’en profite pour enfoncer un peu plus le clou (verbalement parlant, ça va de soi) :
    « Tu le veux mon cul, hein ? ».
    « Tu me saoules ! » je l’entends lancer, agacé.
    « Vas-y, dis-le que tu en as envie… » je le harcèle, tout comme lui l’avait fait un peu plus tôt.
    « J’ai envie de te remplir le cul pour te montrer comment jouit un mec… » finit-il par aboyer en remontant le torse de façon menaçante, dans sa voix ce ton énervé qui le rend encore plus sexy…
    « Dépêche-toi ! » il ordonne.
    « Je vais te faire jouir, t’inquiète… » je le rassure, tout en portant à nouveau ma main entre ses pecs, l’obligeant ainsi à s’allonger une nouvelle fois sur le banc… un instant plus tard, je m’empale à nouveau sur sa queue et je recommence mes flexions sur les jambes pour permettre à la rondelle de limer sa queue et l’approcher de son orgasme… pour lui permettre de m’en mettre plein le cul…
    Bien qu’assez physique, j’adore cette position… c’est vraiment génial de pouvoir maitriser une sodomie passive… donner le tempo… voir s’afficher sur le visage du mâle, en temps réel, les vagues de plaisir que mes différents mouvements sur sa queue lui procurent…
    Je monte… je descends… je monte… je descends… j’observe son corps en train de chauffer de plus en plus… je sens que mon corps aussi est en train de chauffer dangereusement… je sens la transpiration couler de mon front, ruisseler sur mon nez… c’est un déchainement… ses mains puissantes agrippent mes cuisses, mes fesses…
    Je le sens bien en moi, je le sens comme rarement je l’ai senti… j’ai l’impression que son manche brulant est en train de remodeler mon intimité… mes flexions sont de plus en plus rapprochées… mes mains complétement débridées le caressent partout, s’attardent sur ses tétons, se promènent sur ses pecs, se font plaisir en effleurant ses joues, son menton, son cou…
    Le bobrun respire très fort, il ferme les yeux sous la montée du plaisir... ce plaisir qui monte grâce à moi… un plaisir qui monte également en moi, un plaisir qui a guidé ma main gauche, presque à mon insu, à se poser sur ma queue pour la branler vivement…
    Si c’est pas beau le voir grimacer de plus violemment, de voir sa respiration se transformer en ahanement… le voir perdre le contrôle de son corps et de son esprit et l’entendre enfin me lancer, le souffle coupé, la voix étranglé par le râle puissant qui veut s’échapper de ses poumons :
    « Tu vas m’avoir… je vais te remplir le cul… ».
    J’adore le voir perdre le contrôle de lui-même, être à la complète merci d’un plaisir ravageur…
    « Oui, tu vas me faire cadeau de ton jus, mec… » je l’encourage.
    « Tu vas t’en prendre plein le cul ! » il me lance, fou de plaisir.
    « S’il te plait… remplit-moi ! » je le chauffe.
    Et lorsque l’orgasme l’envahit, je vois tout son corps se contorsionner dans un spasme géant, sous l’effet d’un plaisir intense, presque douloureux qui est en train de le secouer de fond en comble… prenant appuis sur ses fesses et ses épaules, son dos se cambre, les pecs se bombent de façon impressionnante, ses tétons pointent, les abdos se bandent…
    La tête part en arrière, mettant bien en évidence son grain de beauté dans le cou à la Josh Harnett, laissant ressortir sa pomme d’Adam de façon saillante, animée elle aussi par des mouvements rapides, nerveux… incontrôlés… son visage se tourne sur le côté, alors que sa main se porte sur son front comme pour se protéger de la déferlante d’un plaisir aussi violent…
    Lorsqu’il jouit enfin, cela provoque également d’autres conséquences… tout pris à observer cette merveilleuse image de bogoss en train de se vider les couilles en moi, je n’ai pas vu autre chose venir…
    Jérém n’a pas encore fini de frissonner sous les décharges électriques amenées par l’orgasme que je sens une chaleur intense se propager dans mon bas ventre… tellement intense et rapide que, malgré l’empressement désespéré de ma main à lâcher l’affaire afin d’éviter un grave accident diplomatique, une succession de jets atterrit sur son torse dessiné…
    Le bogoss jouit et son plaisir déclenche le mien… et avec mon plaisir, mon angoisse… ça y est, là il va me démonter… putain… j’aurais dû me maîtriser… là c’est foutu…
    Mais là encore, mon bobrun va me surprendre…
    « Putain, c'est chaud… » je l'entends lâcher sur un ton surpris mais presque amusé, lorsque les premières traînées blanchâtres se dessinent sur sa peau.
    Moi je dis… il faudrait que tous les jours il ait à jouer et gagner un match de rugby…
    Pendant une seconde, j’ai grave flippé… pourtant, son attitude ayant détendu l’ambiance, je me dis que c’est sacrement beau ce torse de petit con décoré par mon jus…
    Et qu’est-ce que c’est bon de jouir avec sa queue au fond de moi… avec son jus au fond de moi…
    Et qu’est-ce que c’est bon aussi de l’entendre me lancer, dès les précipitations arrêtées :
    « Et maintenant, tu vas tout bien nettoyer, en commençant par ma queue et en remontant sur mon torse… ».

    L’épisode complet, avec des parties inédites, est sur jerem-nico.com.

    Je souhaite à tout le monde, l'équipe qui m'aide au quotidien dans mon projet, les contributeurs sur tipeee.com, les lecteurs fidèles et patients qui suivent mon histoire, ainsi que toute l'équipe HDS un Joyeux Noel et de bonnes fêtes de fin d’année… j’espère que ces derniers jours de 2016 vous apporteront bonheur et repos, pour commencer un 2017 plein de projets, d’envies, de belles choses.

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  • BONNES FÊTES A TOUS !

    JOYEUX NOËL!

    BONNE ANNÉE 2017 !

     

    BIENVENUE A L'EXPO

    "PÈRE NOËL SEXY"

     

    Si le Père Noël ressemblait à ça, on aurait envie d'y croire plus longtemps...

    Si le Père Noël ressemblait à ça, ce serait lui le cadeau...

    Si le Père Noël ressemblait à ça... il y a plein de gosses qui resteraient sans cadeaux... une fois qu'il passe chez moi, les rennes vont repartir toutes seules !

     

    Petit papa Noel

     Papa Noël modèle "Regard doux, mais qu'on sent très coquin..."

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "petit con, branleur sexy"

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "stripteaseur grave sexy et viril"

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "Felin au regard perçant"

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "Je te baise juste en te regardant"

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "petit con version premium"

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "regard charmeur et tablettes de chocolat"

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "Felin au beau cul rebondi"

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "Oreiller en trop"

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "Partouze en vue"

     

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    Papa Noël modèle "Tatouage sur pecs de fou"

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "petit con hors compétition"

     

    Petit papa Noel

     

    Papa Noël modèle "Petit physique plutôt sympathique"

     

    Petit papa Noel


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