• 12 Inattendu et très chaud: retour à la baise avec Jérémie

     

    You can call my name and I'll be around/Maybe I'll let you shoot me down/'Cause you're a beautiful killer with a beautiful face/A beautiful killer and you won't leave a trace

     

    Oui, la nuit porte conseil. Mais hélas, le jour oublie trop facilement ce genre de conseils. Le lendemain arrive et on essaie de poursuivre sa vie comme la veille, repoussant à plus tard un choix qu'il faudra bien faire un jour et qui sera de plus en plus difficile à assumer.

     

    Lundi 28 mai, 17h56

    M'asseyant une fois de plus et d'une façon assez définitive sur mon amour propre, me voilà dans les couloirs du dortoir, le cœur battant à tout rompre, la trique dans le boxer… allongeant le pas pour arriver à cette porte qui donnait accès à cet endroit hors du temps et de l'espace, un endroit situé entre Paradis et Enfer, la chambre de Jérémie.

    En l'absence de sonnette, je cognai légèrement le battant avec mes doigts. Un instant après la porte s'ouvrit.

    Cet fut à cette occasion que mon sentiment sur la fréquentation de la chambre de Jérémie changea de statut, passant de celui d'impression à celui de certitude. Oui, la chambre de Jérémie était vraiment très fréquentée.

    Ce jour là, ce ne fut pas Jérémie qui m'ouvrit la porte mais Thibault, un de ses copains rugbyman. Un très beau garçon, lui aussi, dans son genre. Plus petit et plus charpenté que Jérémie, avec des beaux cheveux châtains clairs très épais, des yeux verts marron à damner un Saint, un visage aux traits un peu durs mais tellement virils… lui aussi souvent avec des t-shirts bien moulants… comme celui qu'il portait ce jour là, de couleur marron et tellement ajusté sur ses épaules carrées et autour de son torse qu'on l'aurait cru coupé sur mesure… bref, une bombe...

    Salut, moi c'est Thibault – me fit avec un beau sourire, tout en me broyant la main avec sa poignée puissante de mec – je m'en vais, bonne révision. Putain, il avait de ces paluches le mec... impressionnantes... et si tout était bien proportionné, ça laissait imaginer de jolies choses quant au remplissage de son caleçon.

    Je connaissais son prénom et je savais que c'était le meilleur pote de Jérém, un copain de rugby. Thibault avait le même âge que Jérém, 19 ans, né du cru de l'album Thriller, soit un an de plus que moi ; Thibault avait eu son diplôme l'année auparavant et bossait depuis, alors que Jérém, très jeune pris dans la tempête de sa sexualité (j'aurai su plus tard que sa première expérience sexuelle remontait à ses 15 ans), avait raté sa première année de lycée ; ce qui avait eu comme conséquence de séparer sa scolarité de celle de Thibault et de le faire atterrir dans ma classe. Le rugby et une amitié de plus de 10 ans avaient fait que les deux garçons ne s'étaient jamais perdus de vue.

    Salut, moi c'est Nico – je répondis, surpris, abasourdi… Oui, je dois avouer que je ne m'y attendais pas, j’étais un peu sonné par la présence de ce beau garçon. Alors que ça faisait deux fois que je surprenais Jérém en compagnie d'une nana juste avant notre rencard sans que cela ne me pose vraiment de problème, voilà que pour la première fois je me surpris à me poser des questions et à ressentir un étrange pincement qui ressemblait de très près à de la jalousie… Je savais que ça me rendrait malade de savoir qu'il couchait avec d'autres garçons... Naaan, t'es con, c'est son meilleur pote, arrête tes délires de pd…

    Salut Nico, à la prochaine – Thibault coupa court à la conversation et se tira avec un sourire de plus charmants. En le regardant disparaître dans la cage d'escalier, une seule considération s'affichait à mon esprit : putain, qu'est ce que j'aime les beaux garçons !

    Il a l'air cool Thibault – je commentai en rentrant dans la chambre de Jérémie et en refermant la porte derrière moi.

    Ouais – répondit-il assez froidement – il est cool, c'est surtout mon meilleur pote depuis la maternelle, c'est comme mon frère, je sais tout de lui, et il sait tout de moi...

    Même pour nos révisions? - lançais-je à la cantonade, sans trop réfléchir, satisfaisant mon esprit qui avait besoin d'une petite revanche pour accepter la capitulation sans conditions que je m’apprêtais à sceller devant mon bel amant..

    Un instant de silence - qui me parut assez long - suivit ma boutade. Assez long pour regretter mon culot franchement déplacé et pour que je commence à flipper de me faire jeter à nouveau. Mon cœur commençait à s'emballer, quand, il me lança sèchement :

    La ferme et viens sucer!

    Le mec appuyé au mur juste à coté de la porte de la salle de bain, ayant ôté son t-shirt - il était tout mâché mon mignon - affichait des traces de coups partout... son torse était parsemé de bleus et d'éraflures… malgré ses blessures, tout mon être fut irrésistiblement attiré par sa masculinité... la perfection à chaque fois frappante de son anatomie, sa petite chaîne, son tatouage… la ceinture défaite et le premier bouton du jean dégrafé, laissant entrevoir l’élastique de son boxer… qu'est ce que tout cela m'avait manqué depuis presque une semaine… Et ses mots – La ferme et viens sucer – portées par sa voix profonde et virile… voilà que ce programme paraissait tout à fait raisonnable...

    Je ne tardai pas à me retrouver à genoux, le nez devant sa braguette, en train de dégrafer les autres boutons un à un, tout en reniflant l'odeur de mâle qui se dégageait à travers le coton noir du boxer… et ensuite titiller sa poutre raide avec ma langue à travers le tissu, l'exciter jusqu'à qu'il n'y tienne plus, jusqu'à qu'il s'impatiente et qu'il ait envie de sortir sa queue d'un geste rapide et de me la fourrer direct dans la bouche… le bonheur…

    Je pompais sa queue avec une envie toute nouvelle, surtout après presque deux semaines passées à m'imaginer que je ne l'aurai certainement plus revue… j'avais presque envie de pleurer tellement j’étais heureux de retrouver ce plaisir que je croyais perdu à jamais, cette peu douce, cette queue ferme, les odeurs de petit mâle qui se dégageaient de son excitation grandissante...

    A un moment je réussis à me dégager du magnétisme de sa queue, de l'irrésistibilité de son gland pulpeux, et je commençai à lécher son zob de haut en bas, partant du bout du gland et en descendant de plus en plus bas, tout en continuant à le branler doucement... Et là, pendant cet exercice délicieux, je tombais par hasard sur un détail de son anatomie que j'avais négligé jusqu'à là...

    En descendant avec ma langue sur la partie inférieure de sa verge, j'arrivai à cet endroit délicieux, ce p'tit creux entre la naissance de la queue et celle des bourses, un petite crique de peau d'où se dégageaient les odeurs les plus fines et sublimes… putain que ça sentait bon à cet endroit… c'était chaud, doux, délicat, et chaque inspiration m'amenait cette odeur légère mais pénétrante de sexe de mec, c'était enivrant, envoûtant, ça me faisait carrément tourner la tète...j'avais très envie d'y mettre ma langue pour voir s'il apprécierait mais j'hésitais, de peur de faire disparaître ce parfum divin avec ma salive… Pendant que j'humais toutes ces bonnes senteurs masculines, j’appréciais aussi la vue imprenable sur le sexe de mon bel amant… sa queue épaisse, droite, bien tendue, traversée par des veines pulsantes… et ces bourses si douces et si magnifiquement pendouillantes, ces coucougnettes bien rebondies, cette peau douce et ferme au même temps…j'avais juste envie de rester là à le branler et à renifler les odeurs qui émanaient de ce p'tit creux, jusqu'à en avoir le nez et le cerveau envahis, pour amener avec moi le plus longtemps possible le souvenir de ce petit coin de Paradis trouvé au milieu du sexe d'un beau garçon...ce parfum exquis qui ravit les narines et secoue les sens et qui renvoyait à quelque chose de sauvage, d'instinctuel, d'animal...

    J'y restait un bon petit moment, jusqu'à que le beau mâle s'impatiente, qu'il me fasse sentir d'une façon assez appuyée qu'il s'ennuyait de ma bouche autour de sa queue.

    Suces moi encore...

    Bah voilà, quand on dit que les beaux garçons n'ont besoin que d'un vocabulaire très limité... Et quand les choses sont aussi bien posées et exprimées, demandées par le son d'une voix surexcitée mais ferme, comment ne pas obéir... Je m'arrachai ainsi, bien à contrecœur, de cet endroit fabuleux que je venais de découvrir fortuitement, tout en me disant que j'y retournerai dès que je pourrai... et je pris sa queue bien profondément dans ma gorge. Ma tête et mes sens en émoi sous l'effet de cette odeur de mâle qui agissait sur moi comme un stupéfiant, je le pompai avec tellement de vigueur que, au bout d'un court moment, il éjacula sans pouvoir contenir son bonheur:

    Je viens je viens, oui, prends ça, prend ça... oui... oui... ouiiiii... avales bien... oui... comme ça... bonne salope...

    Envoie, envoie toi que j'aime, dis moi quand ça ne va pas...

    Sa semence gicla copieusement sur ma langue. Quel bonheur de sentir son jus jaillir dans ma bouche... je le trouvais délicieux, j'adorais le finir dans ma bouche, je n'en perdais pas une goutte. Je gardai son jus en bouche pendant un certain moment pour bien imprégner mon palais de ce goût de mâle et ensuite j'avalai par petites gorgées... Ces considérations occupaient mon esprit pendant qu'il remontait son boxer et son jean et qu'il sortait en terrasse torse nu pour son inévitable pause cigarette.

     

    Pendant que je matais sans retenue son magnifique dos musclé et que je m'imprégnais da la virilité qui émanait de son physique, je pensais à la chance inattendue de retrouver cette chambre. Vraiment, j'aurais cru que jamais je ne la reverrai.

    Depuis ce mercredi soir où Jérémie m'avait carrément fichu à la porte à la suite de ma demande un peu trop spéciale à son goût, et jusqu'au moment où il m'avait arrêté à la sortie des cours une heure plus tôt, j'avais traversé de sales journées. Je n'avais toujours pas son 06, et heureusement, sinon ce maudit soir j'aurai été tenté de lui envoyer un sms pour m'excuser une fois de plus.

    Le lendemain en cours, je l'évitai comme la peste. Je fuyais son regard, et je m'interdisais même de le regarder discrètement, ça me faisait trop mal de revivre ce moment tellement humiliant... sans compter avec ce t-shirt noir moulant, le genre de t-shirt qui me faisait délirer et que je pensais ne plus jamais le voir ôter devant moi... Désormais Jérémie devait me considérer un pervers, un porc, une sale pédale, et c'en était fini de nos révisions. Quel con j'avais été... qu'est ce qu'il m'était passé par la tête... j'aurais dû me barrer quand il me l'avait demandé la première fois, en revenant de la clope.

    Hélas, c'était fait, et le vendredi soir arriva sans amélioration notable de mon état d'âme. Le soir dans mon lit, j'étais si mal dans ma peau que même la branlette avait eu du mal à me détendre. Je serrais contre moi sa chemise, je respirais son odeur, toujours présent dans les tissus, et m'accrochais à la possibilité de le revoir au moins une fois pour la lui rendre...

    Le début de week-end passa avec une lenteur désespérante; heureusement, à la suite de l'envoi d'un message de détresse, Élodie accepta de passer le dimanche après midi avec moi. Ah, le dimanche après midi : c'est vraiment le moment le plus mortel de la semaine, surtout quand on n'a rien à faire ou envie de rien faire, et certainement pas réviser ; oui, le dimanche après midi est un enfer d'ennui, notamment quand on ne peut pas faire la seule chose qu'on aurait envie de faire, en l'occurrence faire l'amour, toute la journée durant, avec un beau garçon...

    Ça ne va pas, cousin?

    Pas trop...

    C'est à cause du beau brun...

    C'est ça…

    Vas y, dis moi, qu'est ce qu'il se passe ?

    Je ne sais pas trop...

    C'est fini?

    Je crois bien...

    Ah bon, il ne veut plus te voir...?

    Je ne pense pas...

    Que s'est-t-il passé?

    Je lui ai proposé un truc, il l'a mal pris et il m'a foutu à la porte...

    Un truc sexuel?

    Ouais...

    Tu crois que ça ne lui passera pas? Il ne va pas se calmer?

    Je ne pense pas…je crois que j'ai été trop loin...

    Tu l'as effrayé… ? T'as pas du y aller de main morte... si on croit à ce qui se raconte, ce ne sont pas les tabous qui l'étouffent...

    J'ai mal, Élodie...

    Mon ti cousin...

    Elle me serra dans ses bras. J'étais au bord des larmes.

    Je vais te dire un truc dur à entendre mais c'est ce que je pense...

    Vas y ma cousine, au point que j'en suis... un peu de réalisme ne me fera pas de mal...

    Je pense que s'il ne veut plus te voir, c'est mieux pour toi...

    Tu crois.… ?

    Bien sur et tu le sais toi aussi. C'est vrai, vous couchez ensemble, c'est vrai il est beau comme un dieu, et il parait que de surcroît c'est un bon coup au lit...

    Je confirme...

    Putain – s'emporta-t-elle sur le ton de la rigolade, réussissant à m'arracher un premier sourire depuis 4 jours – il n'y a vraiment que moi qui ne me le suis pas tapé... quelle courge je fais… bref... tu sais bien que même s'il couche avec toi, il reste hétéro et qu'il ne renoncera jamais aux filles, surtout qu'il peut en avoir plus que lui en faut...

    Oui...je sais...

    Alors, cousin, dis toi que t'as eu une chance inouïe de pouvoir avoir accès à sa bite, et qu'il est temps que ça s’arrête avant de tomber complètement amoureux de lui... tu le vois bien, aujourd'hui il court les nanas comme un lapin de Garenne mais peut être un jour il se fixera, lui aussi, avec une nana, il lui fera un gosse... et ce jour là, mon cousin, il te laissera tomber comme une merde... si tu laisses trop avancer les choses, tu vas avoir tellement mal que tu ne t'en relèvera pas…

    Je le sais...

    Tu es homo, mon cousin, vraiment homo... en plus tu es plutôt beau garçon, et je suis sure que là dehors il y a plein de beaux garçons qui ne demandent qu'à sortir avec toi... tu as besoin d'un mec avec qui construire une relation, pas un hétéro qui se sert de toi juste pour se soulager...

    Tu as raison, ma cousine...

    Pardon, mes mots sont crus, mais...

    Tu as raison, je le sais...mais il me manque tellement...et je n'arrive pas à arrêter de penser à lui, et à part lui, aucun garçon ne me fait envie, depuis déjà très très longtemps...

    Mon pauvre cousin...tu étais amoureux de lui déjà bien avant que vous couchiez ensemble...

    Je crois que c'est ça...

    Grâce à Élodie, le dimanche soir arriva bien plus vite que si j'étais resté me morfondre enfermé dans ma chambre, ressassant sans cesse mon bonheur perdu et mon malheur actuel. Ce qui ne m'empêcha pas, la nuit venue, de mouiller mes draps autant avec ma branlette qu'avec mes larmes.

    Le lundi matin je me réveillai mal en point; je n'avais pas beaucoup dormi et j'avais mal au dos. Jérémie n'était pas en cours ce jour là. Il se disait dans les couloirs que pendant le match de samedi, il s'était encore fait cogner.

    Le mardi matin il était là, un grand bleu autour de son orbite oculaire, l'arcade sur-ciliaire droite ouverte, un mini pansement collé dessus; et, sur lui, l'allure du mec qui a pris des coups et qui fait moins le malin. Je le côtoyai en cours, malgré moi, pendant toute la semaine, déchiré entre l'envie de lui, désir à chaque fois attisé par ses tenues les une les plus sexy que les autres et la honte que je ressentais de moi à chaque fois que je le regardais... Seul détail intéressant au tableau, depuis le lendemain de notre petit différend, le beau brun semblait avoir pris ses distances d'Anaïs: celle ci étais désormais assise à coté de sa copine Christelle, affichant un air plutôt contrariée, alors que Jérém s'asseyait à l'opposé de la classe, à coté de ce blond magnifique avec un profil et des cheveux bouclés de statue grecque, qu'était Julien, également son pote de rugby; affichant, lui, un air plutôt neutre et froid. Toujours sexe à crever. Comme si de rien n'était. Mais putain, ça lui arrive jamais à ce mec de montrer ce ne serait qu'un soupçon d'émotion? Fait chier ce type...

    Comble des combles, le vendredi matin je dus supporter le regard de toute la classe, y compris le sien, quand la prof de math me demanda d'aller au tableau pour une démonstration de formule algébrique. J'étais si mal à l'aise, je craignais que Jérémie me regarde avec dégoût, alors que la seule fois que je captai son regard il était plutôt neutre, détendu, et à la limite serein. J'avais l'impression que toute la classe était au courant de ce que j'avais osé lui demander... J’eus le plus grand mal à arriver à la fin de la démo, et je finis par me planter là où normalement ça devrait passer pour moi comme une lettre à la poste. La prof de math en fut mi étonnée mi déçue et me renvoya à ma chaise.

    J'avais le visage en feu et le souffle court.

     

    Quand il revint de sa pause cigarette, Jérémie s'approcha du lit et, après avoir posé son jean et son boxer, s'allongea à côté de moi. Sa queue était magnifiquement tendue, une invitation claire à la débauche.

    Si tu as envie d'avoir ma queue dans le cul, il te faut venir la chercher, j'ai mal partout et ça crains pour mettre des coups de reins...

    Putain de mec, putain de sale môme...

    Tout obéissant à ses vouloirs, un instant après j'enjambai son beau torse, atterrissant d'abord entre son sexe et son nombril, me tenant en élévation sur mes genoux; j'enduisis sa queue et mon ti trou de ma salive, je me relevai sur mes genoux, j'écartai les fesses avec mes mains, je guidai son gland à l'entrée de mon ti trou. Une fois en position, je me laissai glisser tout doucement; ce fut ainsi que ce jour là je m'empalai sur sa bite. J'étais tellement excité que mon ti trou glissa tout seul sur son gourdin, sans effort, comme s'il avait été conçu depuis toujours pour de coulisser autour de ce sexe qui lui était destiné. Les parois de mon anus s'écartèrent, et voilà, c'était fait, il était en moi, bien au fond.

    Je commençai alors à monter et descendre, d'abord lentement, puis de plus en plus rapide. D'abord accoudé, sexy comme un dieu, en train de mater ma conduite de la phase de pénétration, le mec était désormais complètement allongé sur le lit, les bras pliés, les mains sous la tête, ses biceps bandés, craquant à mourir. Je continuais à monter et descendre pas la force de mes adducteurs... ce qui commençait sérieusement à me fatiguer malgré le bonheur d'avoir la queue de Jérém en moi et de la faire jouir juste avec des mouvements de mon bassin, juste en coulissant mon anus autour de sa verge... Jérémie avait du s'en rendre compte car il avait allongé les mains pour venir caresser mes tétons par dessus le coton de mon t-shirt ... ce qui eut le pouvoir de m'exciter davantage et de provoquer un regain de vigueur dans ms mouvements de haut en bas et de bas en haut... Malgré cette parade, je commençais à me dire que j'allais abandonner à cause de l'épuisement qui gagnait mes muscles trop sollicités, quand une idée se présenta à mon esprit; je laissais mes bras partir vers l'arrière pour aller les poser à peu près à hauteur de ses genoux; prenant appui sur mes pieds, je pouvais ainsi donner davantage d'ampleur à mes oscillations tout en m'économisant physiquement et en prenant davantage mon pied, même si dans cette nouvelle position mes tétons étaient désormais hors de la portée des doigts de fée de mon amant...

    Oui, oui, vas y comme ça, c'est bon, putain que c'est bon!

    Cette nouvelle position, avec les mouvements de bassin qu'elle autorisait, finit par faire monter dans sa queue une excitation nouvelle qui l'amena rapidement aux portes de la jouissance.

    Putain, tu vas m'avoir - lança-t-il au bord de l'orgasme, sur son visage cette expression d'emportement qui annonce le sommet du plaisir masculin - putain ça vient, c'est trop bon, vas y; plus vite, plus vite, oui oui oui... ah... ah... ah... ah... ah...

    Il avait joui. En moi. Je ne pouvais pas me résoudre à bouger... je demeurais alors empalé sur sa queue, vibrant sous le frisson de cette sensation délicieuse de me sentir rempli par ce sexe qui avait fourré mon ti cul de ce jus délicieux... et cette image devant moi, cet apollon à la respiration légèrement accélérée, récupérant après l'effort sexuel, après ce don exquis, le don de sa virilité, qu'il venait de me faire une fois de plus, la beauté de ce torse et de ce visage, de ce mec tout entier, de ce corps semblant conçu exprès pour l'amour... je crois que j'aurai pu mourir après ça, j'aurais considéré que ma vie avait été vécue... Je restai là, enfoncé sur son sexe toujours bandé, jusqu'à que je détectai un mouvement léger de son buste semblant annoncer qu'il voulait se dégager... avant qu'il ait besoin de s'exprimer de façon plus explicite, je me déboitai lentement de lui et j'approchai mes lèvres de sa queue... je la regardais, belle, gluante de la semence qu'il avait fourrée dans mes entrailles, je la trouvais magnifique. A genoux sur le lit, posté entre ses jambes, je lui fis avec ma langue une toilette à la hauteur du plaisir qu'elle m'avait procuré. Je ne me lassais pas de cajoler sa queue... elle me rendait tellement dingue, elle me faisait tellement envie que je finis par la prendre à nouveau en bouche, la gobant profondément. Qu'est ce que c'était bon, mais qu'est ce que c'était bon, putain! Je crois que j'aurais pu passer des heures, que dis-je, ma vie entière à le sucer. Je m'évertuais à lui faire plaisir et à un moment, après une courte halte d'enivrement au milieu de son sexe, je poussai ma langue jusqu'à sa rondelle. Là aussi c'était du pur bonheur. Je continuais ainsi, à me livrer corps et âme pour faire frissonner ce corps d'apollon, jusqu'à que le beau mâle m'intime de me retourner et de m'allonger sur le dos. Quand je dis que c'est excessivement passionnant la sexualité d'un garçon de 19 ans...

     

    Pendant que je m'exécutai et que je prenais la position qu'il m'avait imposée, je repensai à comment il m'avait abordé une heure plus tôt à la sortie des cours. Pile après la sonnerie de fin des cours je sortis de la classe, m'lançant à toute allure dans les couloirs. Voilà que je commençai à me sentir un peu soulagé, me disant que le nouveau week-end m'aurait permis de prendre un peu de distance et de recul par rapport à tout cela, et que le fait de ne pas le voir pendant deux jours allait me permettre de me détendre et de me reposer, bien decidé à me terrer dans ma chambre pendant tout le week-end. Et peut être commencer à faire le deuil de notre relation avortée. J'étais à pas plus de dix mètres de la sortie du bâtiment, quand je sentis une main se poser sur mon épaule.

    Tu vas où si vite?

    C'était lui, un sourire si charmant sur les lèvres. Putain, ce sourire était vraiment d'une beauté à faire chavirer des chênes. Quand il souriait, on avait l'impression que le monde tout entier était un peu plus beau. Et ce sourire, qui m'était adressé, après le regard noir et orageux de la dernière fois, ressemblait à ce rayon de soleil si frais et brillant qui transperce les nuages après l'orage et qui nous fait regarder les choses d'un nouvel œil, plus serein, comme apaisé.

    Je rentre chez moi – je lui répondis froidement, sans oser le regarder dans les yeux, malgré ce sourire ravageur.

    Eh, mec, tu fais la tête ?

    Non…

    Alors viens réviser chez moi…

    Non, pas ça! Pitié! A quoi il jouait ce petit con ? Qu'est ce qu'il me faisait, là ? Une semaine plus tôt il m'avait jeté comme une merde juste parce que je lui avais fait part d'un fantasme qui n'était pas plus obscène que ce qu'il m'avait imposé une fois sorti de moi lors de la baise dans les toilettes du lycée... Depuis, il m'avait complètement ignoré, méprisé ; et là, comme si de rien n'était, armé d'une nonchalance épatante, il revenait me trouver parce qu'il avait envie de tirer son coup ? Non, là ça en était trop même pour ma faible auto-estime.

    Je… je… je… - je bégayais ; j'arrivai enfin à me rattraper – je peux pas…

    Si tu peux… tu en as envie, et tu vas être chez moi dans 30 minutes ! J'ai un truc à voir avant, ensuite on révise… Et il se tira sans autre forme de politesse.

    Son sourire charmant, son assurance, sa virilité m'étourdissaient. Quoi faire devant ce charme débordant, devant son arrogance de p'tit con ultra sexy ? C'est vrai, j'en avais plus qu'envie, j'en crevais d'envie. Alors, accepter de cautionner une fois de plus le fait que son arrogance fasse la loi, accepter le rôle qu'il m'imposait… m'incliner encore devant sa virilité, au sens propre comme au sens figuré, lui laisser tout passer sous prétexte que sa queue et son corps me rendaient dingue ? Le conforter encore dans son assurance de jeune mâle, dans son attitude qui montrait que c'était lui le maître, lui témoigner une fois de plus ma soumission à sa sexualité, la domination de sa queue sur moi…

    C'est en le regardant repartir, sans attendre ma réponse, sûr de lui, sur que je n'aurais pas su dire non à sa proposition ; c'est en sentant basculer en moi mes propos de m'éloigner de lui vers une envie furieuse de me rendre dans sa chambre pour me faire tout simplement baiser ; c'est ce sentiment de capitulation dans le fait de m’apprêter à lui céder, sans conditions, après l'humiliation de la dernière fois et son indifférence depuis plus d'une semaine ; c'est en considérant tout cela que je me surpris à admettre devant moi-même que oui, oui, oui, j'en étais rendu là...Oui, son arrogance, son assurance et son impunité, son effrontément, m'excitaient au plus haut point...

    Ma décision était prise : j'allais me rendre à sa chambre à l'heure qu'il m'avait indiquée. Voilà comme ce lundi là, à 17h56, je m'étais retrouvé de façon inattendue devant la porte de sa chambre.

     

    Me voilà les jambes bien écartées, mon fondement envahi par son gourdin, en train de me faire divinement tringler, d'assumer avec un plaisir non dissimulé ma deuxième sodomie en quelques minutes. Sa queue avait glissé dans mon ti trou déjà lubrifié par son jus de mec comme un couteau dans du beurre. Quand elle était arrivée au fond de sa course, rien que le fait de me sentir rempli de sa virilité, rien que le contact de ses couilles avec mes fesses, j'ai failli jouir. Je savais à ce moment là que je ne tiendrai jamais jusqu'à sa jouissance, que je devinais plus longue à venir que les précédentes: je savais que j'allais jouir rapidement sous les coups de son mat. Quand je pense que j'avais passé dix jours à m'imaginer que plus jamais je n'aurais connu ce bonheur...

    Dans un regain de vigueur, comme si les orgasmes précédents l'avaient remis d'aplomb, son corps frissonnait de plaisir, tous ses muscles en action : voilà toute la splendeur du mâle en train d'imposer sa domination virile sur la femelle, cherchant à répandre sa semence, sa jouissance. Mon cul et mes fesses recevaient avec plaisir les coups de boutoir qu'il me mettait. Mon corps tout entier en était secoué. Le mec était bien fringuant et vigoureux, fougueux, une bête de sexe. Mon petit trou bien rempli, bien défoncé, était carrément aux anges.

    C'est la sensation que je préfère, celle d'être pris par un garçon, la sensation de perdre mon statut de mec, de m'abandonner à son plaisir, de devenir pendant l'acte sexuel sa femelle dévouée à son unique plaisir, oublier que j'ai une queue aussi et que c'est par là que je devrais normalement jouir ; ou alors, au contraire, bien y penser, penser que ma sexualité masculine est écrasée par la puissance, par le débordement de la sienne, prendre mon plaisir dans son plaisir.

    Après bien de coups et d'allers retours, mon ti trou fut délaissé. Sans préavis il avança son bassin vers mon visage, il fourra sa bite dans ma bouche et il entreprit de la baiser avec la même vigueur que mon ti cul. J'adorais ce sentiment d'être son objet sexuel ; et cette soumission complète, à la limite de l'humiliation, qu'il m'imposait, celle de sucer sa queue qui sortait de mon cul, ça me rendait dingue d'excitation. Ma bouche me faisait presque mal mais jamais je n'aurais osé interrompre cela, ce beau mec en train de baiser. De me baiser.

    Jérémie sortit sa queue de ma bouche pour la tremper à nouveau dans mon ti trou si accueillant, dilaté et mouillé, chaud, brûlant de désir. Pendant un long moment et pendant bien de fois, il alterna ses venues entre mon cul et ma bouche. Au delà de l'excitation de sentir sa queue en moi, dans tous mes trous, celle de voir ce beau physique en action, celle d'humer son parfum, l'odeur de sa peau, une seule et unique question taraudait mon esprit à ce moment précis: où allait-t-il jouir à la fin? Est ce qu'il allait tremper mon ti cul, le fourrer au plus profond avec sa semence chaude et épaisse, marquer son territoire à l’intérieur de mes entrailles comme il l'avait déjà fait à plusieurs reprises? J'en avais une envie excessive. Au même temps, j'avais envie de goûter encore à son jus dense et parfumé, envie d'avaler ses giclées copieuses. Quoi qu'il choisisse, j'aurai aimé son choix, tout en me sentant frustré que l'autre choix n'ait pas été retenu.

    Ses coups de bite dans mon cul avaient changé d'allure: plus profonds, plus espacés, je sentais sa jouissance monter dans ses couilles et gagner son bas ventre.

    Putain que tu es beau Jérém… tu es le mec le plus canon que je connaisse - je ne pus m'empêcher de lui avouer comme en état d'hypnose.

    T'as envie de moi ? C'est ça, t'as tout le temps envie de moi...dis le !

    Oh oui, putain, il y a des fois que j'ai tellement envie que je suis obligé de me branler et de me faire mouiller pour ne pas devenir fou…

    Quelle pute !

    Quel mec… quel mâle… qu'est ce que tu peux bien baiser avec ta queue...

    Et Thibault, il ne te plaît pas Thibault? - ma lança-t-il à brûle pourpoint. Bien qu'un brin déstabilisé par sa question inattendue, je réussis à répondre :

    Ah, si, il est canon lui aussi ; mais toi, putain, ta queue, t'as vu tout ce que tu me mets...

    Tu as envie de te faire baiser par lui aussi ?

    Il est bien bandant aussi...

    T'as envie de prendre sa queue comme tu prends la mienne ?

    Je... - j'hésitais sur la réponse à donner, cherchant à deviner ce qu'il avait envie d'entendre. Certes Thibault était vraiment beau mec, bien foutu, sexy, transpirant la testostérone, tout à fait le genre de p'tit con par qui je rêvais de me faire sauter... mais je dois avouer que depuis le début de nos sauteries, je ne me voyais pas me faire baiser par quelqu'un d'autres que Jérém...

    Allez, putain... on le sait tous les deux que tu es une vraie pute, assumes... enfin...

    Oui...

    Oui... quoi...

    J'ai envie... - puisque l'idée semblait l'exciter, et que après tout elle me faisait de l'effet aussi, je décidai de le suivre dans celui que je pensais n'être qu'un fantasme amené à son esprit par l'excitation qui le rapprochait de l'orgasme, cette avancée fracassante du plaisir qui nous fait dire, imaginer et envisager des trucs auxquels on n'ose même pas songer « à jeun »...

    T'as envie de te faire défoncer le cul par lui ? De nous avoir l'un dans le cul et l'autre dans la bouche ?

    Oh oui, ça ce serait le pied absolu, sentir que vous vous videz tous les deux en moi presque au même moment, l'un dans ma bouche, l'autre dans mon cul... et le coup suivant changer de place...

    Et quand on s'est bien vidé les couilles, te rincer de la tête aux pieds avec notre pisse bien chaude, c'est ça… ?

    Là, j'étais vraiment gêné... qu'il remette ça sur le tapis, alors que la fois précédente il m'avait jeté comme une merde à cause de ça... je me demandais si son but n'était pas juste celui de m'humilier un peu plus en reparlant de cela sans avoir aucunement l'idée d'y donner suite...

    Oui… ça me plairait, mais que si vous en avez envie - je répondis, humilié mais excité devant cette évocation de mon fantasme sortant de sa bouche...

    Espèce de salope ! T'aimerais bien être trempé et puer la pisse…

    Oh oui, surtout venant de beaux mâles comme vous deux…

    Espèce de sale pute...Tu mérites que ça, te faire démonter la bouche et le cul par deux vrais mecs...

    Oh oui, c'est tout ce que je demande...

    Putain de chienne, je t'ai vu tout à l'heure comme tu avais faim de renifler mes couilles... et de gober ma queue...

    Oh, oui, ça sentait trop bon le mec...

    C'est ça, tu as envie de renifler des odeurs de mec?

    Ça me fait jouir...

    Tiens, goûte ça alors... - unissant le geste à la parole, sans arrêt de me tringler, il attrapa son boxer noir posé dans un coin du lit et il me le balança sur la figure.

    Tu vas adorer... je suis tombé en panne de caleçons propres alors ce matin j'ai gardé sur moi celui d'hier... il est resté deux jours sur ma queue et sur mes couilles... tu vas adorer...

    Je l'avais pris dans ma main, hésitant à faire ce qu'il me demandait, je trouvais ça trop dégradant bien que j'en avais une envie folle...

    Putain, vas y, tu attends quoi, renifle et lèche bien...pendant que je te démonte le cul, tu vas t'imaginer que tu as la queue de Thibault devant le nez, ça va t’entraîner...

    Sa détermination et l'agressivité surexcitées de sa voix ainsi que l'évocation de l'idée de Thibault se joingnant à nous pour une bonne partie de baise, me firent fléchir en décuplant mon envie et en brisant d'un coup toutes mes réticences...

    Je saisit alors son beau boxer et je le portai contre mon nez: le tissu était imprégné d'une odeur un peu plus forte que d'habitude, comme je l'avais remarqué un peu plus tôt dès que je m'étais agenouillé pour le sucer; mes narines m'apportaient un odeur qui était un mélange d'urine, de sperme (qui ne m'avait pas été destiné depuis plus d'une semaine: avec qui il avait donc couché ce saligot? Ou alors, n'était cela que de la mouille ?)... une odeur et un goût fort et prenant, entêtant de mâle.

    Je le gardai sur mon visage pendant qu'il me pilonnait le derrière, le coté le plus imprégné de ses effluves masculins collé à mon nez et à porté de ma langue gourmande: à chaque respiration une nouvelle vague d'odeurs masculines arrivait à mes narines m'enivrant comme une drogue; à chaque coup de langue, ce goût fort et salé titillait mon palais: ça en était trop excitant et je finis par jouir sur mon t-shirt.

    Tu aimes, ça, sale pute!

    Ah oui, j'adore ton odeur de mâle...enfin - je me corrigeai en me rangeant à son petit jeu - j'adore son odeur de mâle...

    Putain que je vais te défoncer ta chatte de salope.....

    Je le sentais me baiser de plus en plus vigoureusement, je sentais sa jouissance vraiment toute proche... Ça y est, je me dis, il va me faire ce cadeau, déposer son sperme en moi. Au lieu de quoi, sortant de mon fondement, il me lança:

    Ouvre la bouche!

    Je m'exécutai, éloignant son boxer de mon visage, ouvrant mes lèvres pour accueillir son gourdin d'où une jet avait commencé à jaillir pendant son déplacement percutant violemment mon t-shirt à hauteur du col et terminant une partie de sa course sur ma pomme d'Adam; il y fourra sa queue à l'intérieur et en deux coups de reins il y déposa le reste de sa purée, délicieuse. Ainsi, ma bouche fut honorée de recevoir une seconde décharge de son jus de mec bien chaud; mon cul en fut pour sa part terriblement frustré. Lui aussi il en redemandait.

    Dès que j'eus fini de bien nettoyer son engin viril qui ne donnait pas l'impression de vouloir débander et qu'il fut parti fumer sur la terrasse, je m'en voulais déjà de m'être autant rabaissé devant lui, d'avoir accepte ses allées venues entre ma bouche et mon cul : sur le coup ça avait été terriblement excitant, mais là je me disais que, si nos ébats évoluaient à ce rythme là, il n'allait pas tarder à faire le tour des jeux sexuels possibles entre mecs et qu'une fois que cela serait arrivé, nos rencontres allaient cesser d'avoir le plus petit intérêt pour lui.

    Avec ces réflexions dans la tête, je rentrai chez moi, direction la douche. Sous l'eau, je repensais à sa violence verbale, ses mots crus, si excitants pendant la baise, ses mots parachevant la domination virile qu'il avait installée sur moi... un de ces mots titillait mon esprit plus que les autres, un mot excitant et effrayant au même temps... enfin... qu'est ce qu'il voulait dire ce sale môme quand il m'avait lancé: "tu vas t'imaginer que tu as la queue de Thibault devant le nez, ça va t’entraîner"...?

    M’entraîner à quoi? Il n'allait pas quand même oser ça? Lui je ne sais pas, moi c'est certain. C'est certain que ce soir là je me branlai au lit en rêvant de me faire baiser un après midi entier par Jérém et Thibault.

     

    Je t'aime/oh, oui je t'aime!/moi non plus /oh, mon amour... /comme la vague irrésolu/je vais je vais et je viens/entre tes reins/et je me retiens/je t'aime je t'aime/oh, oui je t'aime !/moi non plus/oh mon amour...

    L'amour physique... est sans issue...

     


  • Commentaires

    1
    Dimanche 21 Juin 2020 à 19:58

    On découvre Thibaut, un copain pas mal du tout. Jérém à l’air de savoir que son copain est pas d’ailleurs. Quand on a des fantasmes aussi précis en tête, c’est qu’ils viennent de loin. C’est pratique d’avoir sous la main ce Nico, on peut lui faire porter le poids de toutes ses charges mentales. 

    C’est sans doute plus facile de dire alors Nico, tu veux te faire baiser par Thibaut que de dire, j’aimerais voir comment c’est de se faire baiser par Thibaut. 

     

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