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01 Le t-shirt de Jérémie / Jérémie ôte son t-shirt (version 2021)
01 Le t-shirt de Jérémie / Jérémie ôte son t-shirt (version 2021).
Mercredi 02 mai 2001.
Jérémie a 19 ans. Brun, avec de beaux cheveux coupés très courts autour de la tête et pas mal plus longs au-dessus, fixés au gel. Un torse en V spectaculaire, des épaules carrées, sculptées par le rugby, un cou puissant. Vraiment un physique de dingue pour son jeune âge.
Aujourd’hui, en cours, en cette chaude journée de mai, il portait un t-shirt blanc, col en V assez profond d’où dépassaient sa chaînette de mec, ainsi que quelques poils qui commencent à repousser après le dernier rasage. Craquant.
Le t-shirt semblait cousu sur mesure, tant il mettait en valeur les lignes magnifiques de ses épaules et de son torse.
Les manchettes du t-shirt enserraient ses biceps musclés avec une précision scandaleuse, tout en retombant pile à la bonne hauteur pour mettre en valeur, du côté gauche, un brassard tatoué aux motifs tribaux. Grave sexy.
Le blanc immaculé du t-shirt faisait ressortir de façon encore plus marquée le teint mat de sa peau. Le blanc, aveuglant, comme une évidence, comme pour souligner la perfection de sa plastique. Bandant.
Bogoss au regard très brun et au sourire ravageur, il cultive une barbe brune de trois jours du meilleur effet. Charmant naturellement, charmeur par acharnement. En un mot, un canon de mec.
Jérémie est LA bombasse mâle de ma classe, de mon lycée, de la ville. En fait, à mes yeux, Jérémie est le plus bogoss de l’Univers tout entier.
Trois ans qu’il me fait envie comme rien ni personne d’autre ; trois ans que j’ose tout juste le regarder, sans presque jamais lui parler.
Ce n’est que tout dernièrement que j’ai osé aller vers lui. J’ai saisi une occasion qui s’est présentée à moi et que je n’ai pas pu laisser passer. Peut-être la dernière occasion de tenter de l’approcher avant que le bac ne nous éloigne définitivement.
Trop sollicité par les nanas, cette année de bac le bogoss a trop baisé et pas assez révisé. Il est arrivé à la fin du dernier trimestre avec pas mal de retard dans presque toutes les matières.
Pas plus tard que ce matin, il a pris une énième bâche en maths. Alors, j’ai pris sur moi, dit merde à ma timidité, et je lui ai proposé de l’aider à réviser.
A ma grande surprise, il a dit oui.
Ce qui explique pourquoi je me retrouve dans les allées, direction son appart rue de la Colombette, à la fois excité et me maudissant pour m’être embarqué dans un pétrin qui, je le sais d’avance, ne m’apportera rien, à part un bon malaise. Le malaise de me retrouver seul avec lui, seul avec mon désir fou et frustré.
Je me dis : T’es con, Nico, pourquoi tu t’imposes ça ? Tu vas être à côté de lui pendant un long moment, tu vas sentir son parfum, tu vas avoir envie de lui, tu ne vas même pas arriver à te concentrer tellement il te fait craquer. Si tu lui as proposé de réviser ensemble, ce n’est pas seulement parce que tu veux l’aider, mais aussi pour essayer de te rapprocher un peu de lui. Même si au fond de toi, tu sais bien que tu n’auras pas le cran de tenter quoique ce soit.
Car, d’abord, tu n’oses pas. Ensuite, tu te dis qu’un mec comme lui, qui s’est tapé plus de nanas que d’heures de révisions, jamais ne sera tenté de faire quoi que ce soit avec un mec. Et de toute façon, même si l’envie lui en prenait, il est trop canon pour toi, il pourrait trouver mille fois mieux.
Aussi, tu as peur de lui montrer qu’il te plaît et que tu as envie de lui, tu as peur qu’il le prenne mal et qu’il te balance son poing dans la gueule.
Mais par-dessus tout, tu as peur que ça se sache, tu as peur qu’il te balance devant tout le monde : oui, tu ne supporterais pas que ça se sache que tu es gay.
Déjà que tu as bien assez souvent essuyé des moqueries à cause du fait que tu es trop effacé, que tu es nul en sport, que tes regards ne traînent pas vraiment du côté des nanas. Si tu tentes un truc avec le bogoss et que ça vient à se savoir, tu sais que tu vas être pointé du doigt pour de bon. Et ça, tu ne le supporterais pas.
Qu’est-ce que je voudrais être un garçon qui s’intéresse aux filles, ma vie serait tellement, mais tellement plus simple.
Pourquoi je suis comme ça ? Pourquoi j’aime le corps, les traits du visage, la voix, le parfum, les petites odeurs, le sourire, la façon d’être, non pas des nanas, mais des garçons ? Et surtout ceux de ce garçon en particulier, ce garçon avec qui je n’ai aucune chance, tout simplement parce je suis un garçon aussi, et que ce garçon aime les filles, qu’il les aime beaucoup, qu’il en aime beaucoup.
Je repense à ce t-shirt blanc qu’il portait le matin même, comme une deuxième peau sur son torse de malade : à chaque fois que mon regard se posait sur lui, et Dieu sait qu’il s’y posait plus que de droit, je ressentais en moi une violente envie de me mettre à genoux devant lui, de le prendre en bouche et de me cogner la tête contre son mur d’abdos d’acier. Une fortune, pour pouvoir seulement les toucher, ces abdos, pour pouvoir juste effleurer sa peau mate…
Lorsque je pense à Jérémie, je suis envahi par des fantasmes violents. Des fantasmes d’autant plus brûlants et déchirants qu’ils me sont inaccessibles. Car, si ce mec me fait craquer, il est complètement hors de ma portée.
Je traverse le Grand Rond, mon cœur s’emballe. Mes mains sont moites. Je m’approche de la sortie vers le boulevard Carnot, lorsque à hauteur des grilles, deux mots s’affichent dans ma tête, en énormes lettres capitales :
« DEMI-TOUR ! ».
La peur me bloque, me tétanise. Je ne vais pas y arriver. Je m’apprête à revenir sur mes pas, cédant à la peur, prisonnier de mes craintes, fuyant la vie. Je m’apprête à faire demi-tour, lorsqu’une rafale de vent plus puissante et déterminée que les précédentes semble me bousculer, me « mettre un pied au cul », m’obliger à avancer.
Un bogoss brun vient d’en face et rentre dans le Grand Rond. Et son passage à tout juste un mètre de moi est comme un coup de poing dans le ventre qui me laisse groggy. Car le mec laisse derrière lui une délicieuse traînée de parfum à l’arôme boisé, à la fois douce et entêtante. Je suis scié. Ce genre de parfum, ce genre de bogoss, c’est tout ce qui me fait envie. Non, je n’y arriverai jamais. Je n’oserai jamais aller vers les garçons. Et surtout pas avec Jérém. Pourquoi est-ce si dur d’aimer les garçons ?
La circulation s’arrête, une feu a du passer au rouge. Et c’est là que je l’entends. Sa voix enveloppante, le rythme dansant de cette chanson qui dégage une belle énergie. Sortant des enceintes musclées de l’une des voitures arrêtées à un feu rouge, « What I feel it for a girl » résonne à toute puissance dans la rue. Son rythme sensuel fait vibrer quelque chose en moi.
Soudain, j’ai envie de danser, d’aller de l’avant, de profiter de la vie, de prendre le risque. J’ai envie de vivre.
J’ai envie d’aller chez Jérém, de réviser avec lui. Et tant pis si je vais me sentir comme un con pendant les deux heures qui vont suivre : je vais découvrir la tanière du beau mâle. Et ce soir, chez moi, je me branlerai comme un malade.
Nouvel affichage dans ma tête :
« AVANCE, NICO, AVANCE !!! ».
Je traverse le passage piéton et, le temps que le feu repasse au vert et que la voiture disparaisse en suivant l’arrondi du Boulingrin, les beats de la chanson me portent encore pendant quelques secondes.
Je file sur le Boulevard Carnot, je m’engage dans la rue de la Colombette comme sur un nuage.
En tapotant à la porte de son studio, j’ai le cœur qui bat la chamade. Je devine que sa simple présence va être une claque inouïe et insupportable pour mon attirance, pour mon désir.
Ce que j’ignore encore à cet instant précis, c’est à quel point les claques seront nombreuses, variées, implacables.
Le battant s’ouvre, le bogoss apparaît dans l’embrasure de la porte. Première claque : beau comme un dieu, habillé du même short en jeans et t-shirt blanc que ce matin en cours.
Deuxième claque, le bogoss porte une casquette noire vissée sur sa tête, à l’envers, une touffe de ses beaux cheveux bruns dépassant de l’espace en demi-lune au-dessus de la petite ceinture de réglage.
Je me trouve planté là, face à ce petit Dieu, pour la première fois complètement seul avec lui, et je suis complètement désorienté.
Je le regarde et j’ai envie de pleurer, car ce mec représente à mes yeux la perfection masculine. Je suis tétanisé, ensorcelé, dans ma tête c’est le blackout.
Avec son plus beau sourire, troisième claque, il me dit : « Entre ». Je craque littéralement. Dans mon ventre, un désir qui me ravage.
Je ne sais comment j’arrive à bouger mes jambes pour franchir le seuil de ce « Temple du Mâle ».
Pour rentrer dans l’appart, je suis obligé de passer très près de lui : ce qui m’expose au danger ultime, celui d’être foudroyé par le parfum de son déo, quatrième claque de fou. Je ne sais même pas comment je tiens encore sur mes jambes.
Le souffle coupé, le cœur qui tape à tout rompre, je me retourne illico, juste à temps pour voir Jérém de dos en train de refermer la porte. Image furtive, qui me permet cependant de capter le spectacle inouï qu’est son dos sculpté en V, sa fantastique chute d’épaule, ses biceps rebondis : le tout moulé dans ce t-shirt scandaleusement ajusté, pas « trop » et pas « pas assez », le coton retombant sur chaque point de sa plastique sans plis, sans tension, comme la simple perfection. Cinquième claque.
Et quand, au gré des mouvements de son torse et de ses bras, le coton se tend ou fait des plis provisoires dans son dos puissant, le spectacle est d’autant plus époustouflant.
Ça ne dure qu’une fraction de secondes, un infime laps de temps pendant lequel j’apprécie son côté verso (son petit cul de rugbyman rebondi et musclé dans son short, c’est à tomber : sixième claque), tout en frémissant d’impatience qu’il se retourne pour retrouver la petite gueule sexy qui va avec ce corps de fou.
Mon regard glisse sur ses mollets musclés et finement poilus, jusqu’à ses pieds nus : le bogoss est en mode décontract.
Jérémie pivote sur lui-même, et il me balance un nouveau sourire à tomber par terre.
Son appart, un studio, est une véritable tanière de mec. Une tanière qui sent la cigarette à plein nez et le ménage approximatif.
Il y a du bordel partout, le lit est en vrac, une boîte de capotes est posée sur la petite table de chevet. Je me demande combien de nanas ont dû passer dans ce lit, combien ont gouté à sa queue, à son jus, combien se sont faites démonter par ce beau mâle. Il parait qu’il a même sauté la prof d’anglais, qui a le double de son âge.
Putain qu’est-ce qu’il sent bon, je crois que je vais le supplier de me laisser le sucer.
Au lieu de quoi, je m’installe à la petite table juste à côté de lui. J’ouvre un cahier de notes et je lui demande ce qu’il veut réviser en priorité. Il me dit : « Ce que tu veux ».
J’essaye de me concentrer, de trouver un sujet de révision. Je n’y arrive pas. Je sens son regard perçant sur moi. Je me sens mal à l’aise. Son regard me perturbe, aimante le mien. Je finis par tourner la tête et je croise illico ses yeux noirs si charmants. Son sourire au coin des lèvres a quelque chose d’étourdissant, de magnétique, un truc qui me fait penser à Colin Farrell à l’époque du film La Recrue. Je suis trop tendu pour penser à lui renvoyer un sourire.
Le fait est que, en plus de sa beauté quasi surnaturelle, le bogoss possède un charme de fou. Et ça, il ne le sait que trop bien. Oh, que oui, il le sait. Il sait qu’il a du pouvoir sur les gens et il sait que son sourire est une arme redoutable, capable de lui ouvrir bien des portes. Et il ne s’en prive pas.
Non, on ne peut pas rester insensible à son sourire, à sa sexytude débordante, à sa jeunesse insolente. Je suis happé par son regard, et ce n’est qu’au bout de quelques secondes que je m’aperçois que j’ai arrêté de parler.
Lui aussi s’en est aperçu, et son petit sourire est devenu un grand sourire qui embrase son beau visage aux traits à la fois fins et très masculins. Il a dix-neuf ans, il est beau comme un enfant, fort comme un homme…
Je retourne à mes notes, mais pas pour longtemps. Du coin de l’œil, je décèle un petit mouvement. Le bogoss est en train de se tripoter le paquet. Sur le coup, je me dis qu’il est en train de rajuster son service trois pièces dans le short, avec ce geste nonchalant et si puissamment érotique qu’ont parfois les petits mecs comme lui.
Mais le geste se répète, encore et encore. Je ne veux pas regarder, je ne veux pas qu’il s’aperçoive que je suis attiré par ce qui se passe dans son entrejambe.
Mais je ne suis pas assez fort, et je finis par tourner un peu la tête vers le « cœur de l’action ». Je détecte une bosse dans son short, laissant deviner la présence d’une belle bête tapie sous le tissu.
Son buste est légèrement plié vers l’avant, ce qui fait que dans le bas du dos, le t-shirt remonte et l’élastique noir et blanc d’un boxer dépasse. Entre les deux tissus, un bout de peau est à l’air. Un petit aperçu de sa plastique qui appelle à une vision plus généreuse : furieuse envie de le voir torse nu.
Je l’ai vu quelques fois, torse nu : en sortant des douches après le cours de sport, avec une serviette autour de la taille, ou à l’occasion de soirées bien arrosées. C’est tellement dur d’aimer les mecs et de côtoyer des gars comme Jérémie.
Sans même m’en rendre compte, je finis par me tourner complètement vers lui. Je fixe sa main en train de caresser la bosse sous le short et je n’arrive plus à détacher mon regard, je suis comme hypnotisé.
« Qu’est-ce que tu mates ? » je l’entends me demander à brûle-pourpoint.
La honte. Je reviens vers mon cahier, rouge comme une pivoine.
« Eh mec… » il me lance, tout en posant carrément une main sur mon épaule « Je sais que t’as envie de la voir… ».
Nouvelle claque. Touché, en plein dans le mille, coulé. Je sens une vague de chaleur parcourir mon corps et embraser mon visage. Le cœur tape tellement fort qu’il semble devoir exploser dans ma poitrine.
J’ai juste envie de disparaître dix mètres sous terre, envie de ranger mes notes et de me barrer. C’est décidé, je ne remettrai plus jamais les pieds dans cet appart, ni au lycée.
« Arrête tes conneries… » je finis par bégayer, dans la tentative vaine d’échapper à ce malaise étouffant. Je n’arrive même plus à le regarder.
« Je déconne pas…» il lâche, sans se démonter.
Je sens sa main se poser sur la mienne et l’enserrer, l’attirer, puis l’approcher de sa braguette. A ce stade, ce n’est pas une simple claque de plus que je reçois, c’est carrément un coup bon pour me mettre KO.
Je ne sais plus où me mettre. J’ai le réflexe de retirer ma main, mais la sienne la retient. Mes doigts effleurent désormais son short ; instantanément, ils sont confrontés à la raideur, à la chaleur de sa bosse. Je sens sa queue frémir sous le tissu tendu.
Je suis dans un état d’excitation indescriptible. J’ai envie de lui à en devenir dingue. Pourtant, je finis par dégager ma main avec un geste brusque.
Je suis complètement dérouté. Mais à quoi joue-t-il ce petit con ?
« Arrête de te foutre de moi… » je me braque, le souffle coupé, comme en apnée.
« Je ne me fous pas de toi…je suis sérieux… ».
Son assurance me frappe comme un coup de massue.
Un instant plus tard, le bogoss se lève de sa chaise. Lorsque je me retourne vers lui, il est déjà adossé au mur, beau, viril, sensuel, conquérant. Il est à craquer. Ou, plutôt, à croquer…
« Allez, viens la chercher… » il m’invite, le plus naturellement du monde.
Apparemment, il ne rigole pas, il a vraiment envie de ça. Alors là, si je m’y étais attendu !
Je n’ai encore jamais couché avec un mec. Bien sûr, je crois savoir comment faire plaisir à un garçon. Mais comment oser y aller ? Par où commencer ? On fait comment entre garçons ? On s’embrasse d’abord ? On fait comment pour ne pas avoir l’air con, surtout avec un mec pareil ?
Devant mon hésitation, c’est lui qui me donne la marche à suivre, avec tout le tact et la finesse qui seront souvent sa marque de fabrique :
« Allez, putain… mets-toi à genoux et suce ! ».
Mon cœur va exploser. Non, définitivement, le bogoss ne rigole pas. Alors pourquoi hésiter ? J’en ai trop envie et, après tout, c’est ce qu’il veut. Nos envies sont parfaitement complémentaires, alors pourquoi s’en priver ?
Un instant plus tard, je suis à genoux devant lui, en train de défaire sa ceinture, puis un à un les boutons de sa braguette. J’ai toujours du mal à me faire à l’idée que je vais pouvoir toucher ce corps et que je vais pouvoir prendre dans ma bouche cette bombasse de mec.
Le boxer, le dernier rempart dissimulant sa virilité, se présente alors à moi. Un parfum de propre, mêlé à une petite odeur tiède de sexe masculin monte à mes narines, mélange délicieux, entêtant, étourdissant. Sa belle poutre raide déforme le tissu noir, fin, élastique.
Sans plus attendre, ses mains dégagent la bête de son enveloppe de coton. Et là, c’est le KO, le Ippon.
La voilà, cette queue sur laquelle j’ai tant fantasmé. Et bien que j’aie eu l’occasion de l’entrevoir une fois, au repos, après un cours de sport, à la sortie des douches, j’ai tant fantasmé de la voir bien raide, impatiente de prendre son pied et de jouir.
Ce fantasme est désormais réalité, et la réalité dépasse même le fantasme. Sa queue est belle, avec des proportions parfaites, raccord avec le reste de l’anatomie de son maître.
Instinctivement, j’approche mon nez pour capter l’empreinte olfactive de sa virilité. Il n’y a pas photo, sa virilité tendue me donne faim, très faim.
Je n’arrive toujours pas à réaliser ce qui m’arrive : sa queue est là, devant mon nez, elle s’offre à moi. C’est un cadeau tellement inespéré que je n’arrive même pas à réaliser que tout ça c’est bien vrai.
Je suis ébloui, aveuglé par le fait d’approcher la perfection absolue, sa nudité. Non pas « juste » un bogoss, mais le super-méga-bogoss inaccessible sur lequel je fantasme depuis le premier jour du lycée. Et c’est ce mec qui va me dépuceler.
Cet après-midi, ce jeune mâle qui a baisé tant de nanas, va être à moi, et rien qu’à moi. C’est au-delà de tous mes espoirs, j’ai l’impression de toucher le ciel avec un doigt, je me sens comme Icare à l’approche du Soleil.
Et pourtant, malgré le bonheur qui m’envahit, je ne peux m’empêcher de me demander pourquoi cette chance me revient à moi, Nico, celui qui est transparent au lycée, celui qui n’a aucune voix au chapitre nulle part, celui à qui aucun mec n’a encore montré la moindre attention.
Je crois que je suis en train de rêver. C’est trop, putain. J’ai la tête qui tourne, je vais faire un malaise.
C’est un cadeau inouï de la vie, c’est un rêve qui devient réalité, je suis comme un gosse à Noël. Je ne me lasse pas de mater et d’humer ce pieu de chair gonflé à bloc. Peut-être qu’instinctivement je repousse l’instant où je saisirai ce cadeau, pour savourer l’attente, ce moment où rien n’est encore, cet instant avant que tout commence.
Mais si à mes yeux la contemplation est en elle-même un plaisir intense, Jérémie s’attend visiblement à autre chose que de se faire mater et renifler. Et il va vite me le faire savoir.
Le bogoss avance le bassin, son gland vient forcer mes lèvres.
Le tout premier contact avec sa queue me met dans tous mes états, mon cœur bondit tellement dans ma poitrine que j’ai l’impression qu’elle se déforme à chaque battement, comme dans les dessins animés.
Je suis à la fois le garçon le plus heureux de la terre et le plus inquiet.
Est-ce que je vais savoir lui donner du plaisir ? Est-ce que je vais être à la hauteur des attentes de ce mec, lui qui a déjà tant d’expérience dans le domaine, expérience qui va lui permettre de me comparer à d’autres bouches ?
Est-ce que le fait d’être à ce point impressionné par ce jeune mâle ne va pas couper tous mes moyens ?
Pourtant, lorsque son gland augmente sa pression contre mes lèvres, ces dernières s’ouvrent dans un mouvement qui semble prévu depuis toujours. Lentement, sa queue chaude, raide, douce, déterminée, glisse entre mes lèvres, jusqu’à se faire avaler presque en entier.
Dès le premier contact avec ma langue, un frisson géant secoue mon corps, de la nuque jusqu’à mon entrejambe, faisant des allers-retours incessants, impitoyables.
« T’as envie de ma queue, hein ? ».
« Grave ! » je lui réponds par la pensée, tout en émettant un grognement assertif.
Le bogoss à la casquette à l’envers et au t-shirt blanc commence alors des va-et-vient avec son bassin. Très vite, je lève les yeux, impatient de découvrir comment une telle bombasse de mec prend son pied. Je lève mes yeux juste à temps pour le voir fermer les siens, lever le visage vers le plafond, et déglutir bruyamment la salive.
« T’avais envie de ça, hein ? N’est-ce pas, petite salope… » il me balance, tout en accélérant ses coups de reins « j’ai vu comment tu me regardais en cours… j’ai vu comment t’as regardé ma queue la fois où tu m’as vu sortir de la douche… je savais que tu devais être une bonne bouche à pipes… vas-y, suce bien… vas-y comme ça, suce une bonne queue… prends ton pied de salope…».
Au début, je suis un brin dérouté par ses mots crus. Pourtant, très vite, je finis par ressentir du plaisir du fait d’entendre le ton sec et déterminé de sa voix, de sentir son attitude de mec actif, dominant, de découvrir et d’expérimenter son côté petit macho. Cela m’excite.
Ses coups de reins sont puissants. Sa main maintient fermement ma tête, tout en imprimant des mouvements destinés à bien me faire avaler son manche, à m’étouffer avec. Et je kiffe ça.
Très sûr de lui, le petit mec de 19 ans. Il est sûr et fier de son corps, de sa queue, de sa virilité.
Chaque seconde qui passe décuple mon envie démente de faire jouir ce mec à la plastique de rêve.
J’avais eu peur de ne pas arriver à le satisfaire à cause de mon manque total d’expérience, il n’en est rien : à croire que certains talents sont innés, et qu’il suffit de se laisser porter par l’instinct pour les dévoiler.
« Tu l’aimes ma queue, hein ? » il recommence « vas-y… suce-la comme ça, vas-y, t’es un bon pédé, toi… il te faut une queue de mec pour prendre ton pied… ».
Ma tête toujours maintenue par ses mains, ses grands coups de bassin envoient sa queue jusqu’au fond de ma gorge. Au gré de ses va-et-vient, ses couilles frappent mon menton, et le bas de son t-shirt vient taper sur mon nez. En levant les yeux, j’aperçois son nombril, ses abdos, avec mes narines je capte un mélange de bon, de propre, de tiède et de mec qui me fait tourner la tête.
Mes mains se faufilent sous son t-shirt, mes doigts frôlent au passage la peau douce et ferme de ses abdos : c’est le bonheur. Et lorsqu’ils arrivent en contact avec ses pecs d’acier, j’ai l’impression de disjoncter.
« Putain qu’est-ce que t’es bien foutu… » je ne peux m’empêcher de lui lancer, tout en reprenant mon souffle, mais sans oublier de le branler.
Le bogoss penche son visage et, du haut de son mètre quatre-vingts, il me lance un regard bien lubrique.
Puis, d’un geste rapide, il décolle le dos du mur, il balance sa casquette dans un coin de la pièce. Il attrape son t-shirt par le bas, il le retourne le long de son torse de malade, geste assuré de mec qui a l’habitude de se dessaper vite dans l’urgence impérieuse du plaisir des sens, il le balance nonchalamment sur le sol.
Souhaiter qu’il pose son t-shirt, c’est une nécessité évidente. Mais lorsque cela arrive, il faut se préparer à supporter l’insoutenable. Surtout à distance si rapprochée.
Tout chez ce mec est beau: ses pecs saillants, surmontés par deux magnifiques boutons de mec que je rêve de caresser, de lécher depuis des années, une ligne médiane bien marquée qui souligne la symétrie parfaite de son anatomie, les abdos, magnifique bas-relief de peau douce et de muscles fermes, au milieu desquels un délicieux nombril marque le départ de cette diabolique ligne de poils conduisant tout droit à sa virilité. Les plis de l’aine, à la saillie impressionnante, ressemblent à un entonnoir anatomique conduisant lui aussi le regard vers le siège de son plaisir de mec. La chaînette retombant sur cette peau mate, entre ses clavicules, le petit grain de beauté dans le cou (juste une envie folle de l’embrasser à cet endroit précis), le tatouage en dessous de son biceps gauche, le tout confère à l’« ensemble Jérémie » un côté bad boy, une touche de mystère, un côté animal et indompté.
Bref, je suis sans mot devant tant de perfection, devant ce corps de Dieu de l’Amour, devant cette p’tite gueule à faire jouir d’urgence.
« T’es vraiment trop bien foutu… » je me répète, assommé par tant de perfection masculine, en m’inclinant devant mon impuissance à exprimer autrement l’émotion sensuelle ravageant mon cerveau.
Et là, comme s’il restait encore la moindre parcelle de mon esprit à embraser, le bogoss se met à gonfler ses biceps et à bomber ses pecs, son égo de jeune mâle visiblement flatté par mes mots et mon regard impressionné. Un regard, le mien, que le sien, rempli de fierté après un rapide détour sur sa plastique de fou, cherche avec insistance.
Le bogoss est fier de ses muscles, mais il a pourtant besoin de ça, m’impressionner. Et il y arrive parfaitement.
Par ailleurs, si son attitude, son envie de me montrer la puissance de sa musculature est carrément bandante, le besoin de m’impressionner qui en est à l’origine est touchant, d’une certaine façon.
Un instant plus tard, sa main revient se poser lourdement sur ma nuque pour m’obliger à le sucer à nouveau.
Je m’exécute avec bonheur, tout en envoyant mes mains affamées caresser, tâter sans cesse ce paysage délicieusement vallonné. Je n’en reviens toujours pas d’à quel point ses pecs sont fermes : lorsque je les empoigne et j’ai l’impression de saisir de la pierre polie et tiède.
Je le suce de plus en plus avidement, de plus en plus accroc à ce manche chaud, bien monté, très raide.
Mon front cogne violemment contre ses abdos d’acier, j’ai l’impression que quand il en aura fini, le dessin de ses tablettes de chocolat sera imprimé au fer rouge entre mes sourcils et mes cheveux.
Puis Jérémie se dégage de ma bouche, il attrape mes épaules, il pivote, et moi avec. Sans même m’en rendre compte, je me retrouve la nuque posée contre le mur.
Jérémie prend appui contre le mur avec ses deux mains, il penche le corps vers l’avant, il avance le bassin, il enfonce sa queue dans ma bouche déjà en manque et recommence à la baiser avec une vigueur renouvelée.
Au début, c’est un peu douloureux, mais le petit désagrément disparaît vite face au bonheur de me soumettre complètement au plaisir d’un si bel étalon. Le bogoss frissonne de plaisir. J’ai l’impression qu’il n’est pas loin de venir.
Je ne m’y trompe pas : quelques instants plus tard, d’un ton péremptoire, je l’entends me sommer :
« Je vais jouir et tu vas tout avaler…».
Puis, un instant plus tard, je l’entends lâcher des :
« Oui, oui, oui, oui…» avec une voix altérée par la puissance de l’orgasme.
Et là, le bogoss balance dans ma bouche une bonne séquence de jets chauds et épais. Son nectar de p’tit mec vient en moi, étalant dans mon palais un goût fort et un peu salé.
Un goût que j’adore instantanément, provoquant en moi une sorte d’ivresse qui me donne immédiatement envie de recommencer encore et encore. Ça y est, je suis accroc.
Un instant avant qu’il ne jouisse, je ne savais pas si j’avais envie qu’il se lâche dans ma bouche, et encore moins si j’avais envie de l’avaler. Des considérations sanitaires, et d’autres plus personnelles, liées à mon inexpérience, auraient pu faire pencher la balance du côté du « NON ». Bien sûr, le désir pesait lourdement du côté du « OUI ». Mais ce qui fait pencher définitivement la balance, c’est le simple fait de l’entendre me l’ordonner.
Son…
« Je vais jouir et tu vas tout avaler…».
… a été comme une révélation, presque la découverte d’une vocation.
C’est un peu de lui qui vient en moi, c’est l’essence même de sa mâlitude dont il me fait cadeau. Je ne peux pas refuser ce cadeau.
Sans un mot, sans même un regard, le bogoss remonte le boxer et le short. C’est un goût un peu amer qui me reste, quand de mes lèvres il s’enlève, quand il s’éloigne sans un mot.
Le bogoss attrape sa casquette, il la remet sur sa tête, rigoureusement à l’envers, il saisit le paquet de cigarettes posé sur la table à côté de mes notes inutiles.
D’un geste assuré il allume la clope et il sort fumer sur la terrasse, torse nu. Je le regarde, de dos, l’épaule appuyée au mur, le regard vers la rue, en plein soleil. J’ai ainsi l’occasion de bien détailler sa silhouette parfaite, marquée par l’alternance de parties dénudées et d’autres couvertes.
Du bas vers le haut : ses pieds et ses mollets nus, le short noir d’où l’élastique du boxer dépasse généreusement, son torse parfait émergeant du short, comme une sculpture vivante, à la couleur ambrée, charmant héritage de ses origines napolitaines.
Et au sommet de ce chef d’œuvre de chair et de muscles, une casquette, à l’envers, à la visière bien plongeante sur son cou, lui donnant un air de parfait petit con à gifler et (re)faire jouir d’urgence.
Le vent d’Autan souffle toujours, il caresse sa peau, ma peau.
En ce moment je n’ai pas encore joui, je n’ai même pas défait mon short, il ne m’a même pas touché, à part avec sa queue. Son goût de jeune mâle est bien vif dans ma bouche mais je n’arrive pourtant pas encore à réaliser que tout ça s’est vraiment produit.
Je suis super excité, je ne peux m’empêcher de défaire mon short, m’allonger sur le lit et commencer à me branler.
Mais lorsque Jérémie revient de la terrasse, je l’entends me lancer d’un ton ferme, presque agressif :
« Arrête ça, je n’en ai pas fini avec toi…».
02 Les envies de Jérémie
Je le regarde planté là, dans l’encadrement de la porte, en train de me jauger. Son torse nu dépassant du short est d’une beauté tout simplement insoutenable. Et cette casquette à l’envers est vraiment à hurler. Comment peut-on résister à un mec pareil ?
Je suis en train de brûler mes rétines, de surchauffer mes neurones dans la tentative désespérée de capter et garder en moi l’immensité de sa bogossitude bouillonnante, radioactive, sans cesse renouvelée.
Le vent d’Autan caresse ma peau, j’ai des frissons partout.
Jérém approche du lit, et il commence à se défroquer. Il est positionné de trois quarts par rapport à moi, ce qui a pour effet de me permettre d’apprécier le relief plutôt impressionnant de ses pecs et de ses biceps, la beauté sexy de son tatouage.
Je guette chacun des gestes du bogoss, pendant qu’il ôte son short, ses chaussures et ses chaussettes. Son torse se penche vers l’avant, ce qui a pour effet de suspendre sa chaînette dans le vide, et de la laisser osciller au gré de ses mouvements.
Seul le boxer noir reste à sa place. Et sa casquette, dont il remet la visière à l’endroit, mais un peu sur le côté quand même, avec un geste rapide et assuré de bogoss. Cet instant d’interrogation, l’attente avant d’être fixé sur ses envies, m’excite au plus haut point.
Le bogoss s’allonge sur le lit, en position accoudée, juste à côté de moi. Son torse est le dessin d’une harmonie parfaite, une déferlante de désir et une promesse de plaisir.
C’est à nouveau Jérémie qui se charge de me tirer de mes rêveries.
« Maintenant tu sais où elle est, viens t’en occuper…».
Le mec a les idées claires. J’adore.
Le ton de sa voix, son assurance qui ne doute de rien, son sourire insolent, son regard coquin, tout cela rend l’instant chargé d’une sensualité et d’un érotisme insoutenables. Rien que le regarder, c’est un plaisir. Savoir que je peux le toucher, le prendre en bouche, le faire jouir, c’est inouï. Je voudrais faire durer cet instant à tout jamais.
Mais au bout de quelques secondes, voyant le bogoss s’impatienter, je réalise que je ne peux tarder davantage. Très vite, j’enlève à mon tour mon short, mes chaussures, mes chaussettes et mon boxer, un brin gêné à l’idée de montrer mon sexe que personne n’a vu jusque-là.
Je suis tellement gêné par ma nudité que, pendant quelques instants, je n’ose même pas le regarder. Mais lorsque je lève enfin les yeux, quelque chose me surprend. Ça ne dure qu’une fraction de seconde, mais j’ai la nette impression que je viens de surprendre Jérémie en train de mater mon corps et, plus précisément, mon sexe. Mais peut-être que cela n’est que dans ma tête.
Très vite, ses yeux bruns se posent ailleurs, loin.
Et, très vite, mon regard à moi est aimanté par son boxer bien rempli. Sa queue à nouveau raide comme un piquet dessine une belle bosse. Le bogoss se sait désiré, et il me le fait savoir :
« Tu la veux, hein ? T’en as pas eu assez ? » je l’entends me lancer, avec une insupportable mais irrésistible arrogance de petit con.
C’est exactement cela. Je la veux, car non, je n’en ai pas eu assez. J’ai envie de lui répondre qu’il ne se trompe pas, que sa bite me rend dingue, que son goût de mec qui persiste dans ma bouche me rend ivre. Mais je n’ose pas. J’ose tout juste lui adresser un petit sourire, tout en fuyant son regard, avant d’approcher mon visage de sa queue et le sucer à nouveau.
Mais le bogoss semble vraiment décidé à imposer ses règles. D’un geste très ferme, sa main saisit mon épaule, elle arrête net mes va-et-vient.
« Vas-y, dis-le que t’aimes ma queue ! » il revient à la charge, tout en sortant son manche du boxer, droit comme I « dis-le que t’as envie que je te défonce le cul ! ».
Ainsi, c’est de cela dont il a envie…
De la même façon que, une seconde avant qu’il ne me somme : « Je vais jouir et tu vas tout avaler…», je ne savais pas exactement jusqu’au j’étais prêt à aller lors de cette première « révision », un instant avant qu’il ne me balance : « dis-le que t’as envie que je te défonce le cul !! », je ne savais pas si j’étais prêt pour ça. Et pourtant, maintenant qu’il vient de me parler sodomie, j’ai soudain très envie de m’offrir à lui de cette façon.
A vrai dire, j’avais imaginé ma première fois avec un mec un tantinet plus romantique, avec des bisous, des câlins. Mais peut-être qu’avant cette première révision, je vivais au pays des bisounours.
Certes, j’avais déjà imaginé me faire prendre par un garçon, mais je n’avais peut-être pas prévu de me faire prendre la toute première fois.
Plusieurs raisons à cela : une fois de plus, des considérations sanitaires (la peur des MST, si jamais la capote casse), et d’autres plus personnelles, liées à mon inexpérience (la peur d’avoir mal, la peur de trop donner à un garçon la première fois, si jamais ce n’est pas le bon et qu’il veut juste tirer un coup, la peur de ne pas arriver à assumer ce plaisir qui, dans ma tête de mec qui ne connaît et n’assume pas sa sexualité, n’était pas celui auquel un garçon « normal » devrait aspirer).
Oui, toutes ces considérations auraient pu me pousser à y aller par palier dans la découverte de ma sexualité, et à ne pas envisager de me laisser prendre lors de ma première fois. Surtout que cette première fois n’avait pas été « planifiée ». Non, ce matin, en me levant, j’étais loin d’imaginer que ce jour même, je serai dépucelé, et encore moins que je le serais par le mec qui me rend dingue depuis bientôt trois ans.
Bien sûr, l’envie de me faire dépuceler était là, à fortiori d’être dépucelé par Jérém. Il manquait juste un déclic capable de me faire surmonter mes peurs et mes réticences. Et ce déclic, ce petit truc capable de faire définitivement pencher la balance, c’est une fois encore le simple fait d’entendre ses mots sans appel.
Sa réplique de petit con qui ne doute de rien : « … dis-le que t’as envie que je te défonce le cul !! », a été une nouvelle révélation dans la découverte de mon plaisir.
Le ton est si appuyé, si autoritaire, les mots si sensuellement virulents, et par ailleurs si justes, que je ne peux me soustraire à l’envie soudaine, irrépressible, de répondre :
« Oui j’en ai envie… ».
« T’as envie de quoi ?! » fait-il, de façon encore plus virulente.
Je sens que le mec veut vraiment sentir ma soumission, qu’il veut la sentir de façon inconditionnelle, avec des aveux. Face à tant de détermination, d’assurance, de brûlante sensualité, face à cette queue tendue qui me rend dingue, je n’ai plus le choix, je capitule avec bonheur devant mon maître du sexe.
« Jai envie de toi, j’ai très envie de me faire défoncer par ta queue… ».
« Suce-moi, déjà, et on verra ensuite si tu mérites que je te baise le cul ! ».
Putain de petit con, va, mais petit con grave sexy !
La résistance de sa main cesse enfin et je peux alors recommencer à sucer le bogoss à casquette. Sa queue chaude et raide dégage un petit arrière-goût de sa première éjaculation, un petit goût qui m’excite au plus haut point.
J’envoie mes doigts agacer ses tétons magnifiques, ce qui a l’air de le faire bien kiffer. J’adore. J’ai envie de découvrir ses points sensibles, de trouver les touches qui me permettront de jouer sur son corps une véritable mélodie du bonheur sensuel et sexuel.
Hélas, je n’ai pas le loisir de m’attarder longuement dans ce voyage initiatique. Très vite, je me retrouve à nouveau totalement accaparé par sa puissance sexuelle. Prenant appui sur ses pieds et ses mains posés à plat sur le matelas, le bogoss envoie de bons coups de reins, à sa queue tape avec puissance au fond de mon palais, jusqu’à l’entrée de ma gorge.
Le bobrun aime vraiment décider de son plaisir, contrôler la situation. Il y a une sorte de rage dans son excitation, et je découvre rapidement que je kiffe ça à mort.
Son attitude semble révéler mes véritables envies, ma nature profonde, jusque-là inavouée. Plus le bogoss se déchaîne, plus je me sens chaud et désinhibé. Plus il en demande, plus j’ai envie de lui en donner. Plus il me soumet à sa queue, plus j’ai envie de m’y soumettre.
Tout arrive, tout se révèle très vite. Un instant plus tôt, j’étais puceau ; un instant plus tard, j’ai envie de tout avec lui, de tout ce dont il a envie, et encore plus. Certaines passions sont innées et certaines rencontres les font se dévoiler.
J’ai envie de le surprendre, de lui faire un truc inattendu pour marquer le coup. J’ai envie de lui offrir l’orgasme se sa vie.
Soudain, quelque chose remonte à mon esprit. Je me souviens avoir lu quelque part un article à propos d’un truc que les mecs redoutent souvent avant d’y goûter, mais qu’ils aiment dès l’instant où ils y goûtent.
J’hésite cependant à me lancer, ne sachant pas s’il va aimer. Pourtant, chauffé à bloc par son attitude, je décide quand même d’y aller. J’y vais avec prudence, en douceur, prêt à tout arrêter si le moindre signe d’une réaction hostile devait se manifester.
Après avoir privé ma bouche du bonheur d’enserrer sa queue, j’entreprends de lui lécher les couilles, tout en continuant de le branler : premier palier.
Ma langue commence alors une lente descente dans son entrejambe : deuxième palier.
Le beau mâle frissonne de plaisir. Je m’enhardis petit à petit, toujours en guettant le moindre signe de réticence. Mais rien de tel ne vient. Au contraire, sa respiration bruyante et ses ahanements m’indiquent qu’il prend un plaisir intense, un plaisir que j’aime imaginer lui avoir été jusque-là inconnu.
Le bogoss me laisse faire, se laisse faire. Du moins jusqu’à ce que ma langue ne semble commettre l’irréparable, effleurer l’entrée de sa raie. Ses mains se posent alors violemment sur mes épaules, les retiennent fermement.
Premier « signe hostile », les voyants clignotent au rouge vif, un avertissement sonore retentit dans ma tête. Mon « protocole » d’expérimentation prévoit dans ce cas précis une annulation immédiate de l’opération en cours.
Pourtant, le « protocole » semble bugger. Il bugge face à la frustration d’être si près du but. D’autant plus que j’ai l’intime conviction qu’il suffirait que ma langue effleure sa rondelle pour que ses dernières barrières tombent, pour que je puisse lui offrir un plaisir capable de marquer son esprit.
Pourquoi il me retient, au fond ? De quoi a-t-il peur, au juste ? De ne pas aimer ? Ou, au contraire, de trop aimer ? Que cela remette en question sa virilité de petit mâle qui jouit avec sa queue et rien qu’avec sa queue ?
Ses mains enserrent toujours mes épaules, tout en maintenant fermement mon buste à bonne distance « de sécurité ». Le niveau d’alerte est toujours bien rouge : continuer l’opération est un risque certain de réaction violente de bobrun.
Et pourtant, je suis trop excité, j’ai vraiment envie de lui faire goûter « ça ». Tant pis, je prends le risque de me faire jeter violemment.
Je force avec mon buste et j’arrive enfin à caresser son entrejambe avec le bout humide de ma langue.
Et là, non seulement aucune réaction violente de sa part ne se manifeste, mais au contraire, et presque instantanément, l’opposition de ses bras cesse. C’était une opposition à l’évidence pas si déterminée que ça, car ma puissance musculaire n’aurait jamais fait le poids face à un véritable déploiement de la sienne.
Rassuré, je retrouve de l’audace. Mes coups de langue aussi. J’entends le bogoss souffler très fort, alors que des spasmes de plaisir parcourent son corps.
C’est un bonheur indescriptible que celui de découvrir les touches sensibles du corps de ce beau garçon. Un bonheur qui n’a d’égal que celui de lui faire découvrir des facettes inattendues de son propre plaisir.
Et quel bonheur de sentir sa main, l’une de ces mains qui retenaient mes épaules une minute plus tôt, se poser à l’arrière de ma nuque et pousser mon visage encore plus profondément entre ses fesses musclées. J’en déduis qu’il kiffe grave et qu’il veut que j’y aille franco.
Et alors, j’y vais franco. Plus sa main, puis ses mains, plaquent mon visage contre son entrejambe, plus ma langue se déchaîne.
Là encore, je sens chez le bogoss la volonté puissante d’imposer son propre plaisir, d’être le dominant : il accepte le nouveau plaisir que je viens de lui proposer, mais il le fait à sa façon, avec ses règles à lui.
Son geste me chauffe à bloc, et je n’ai plus qu’une envie, celle de le faire jouir là où il n’aurait jamais cru pouvoir jouir un jour.
La pression de sa main sur ma nuque est toujours aussi intense, mais Jérémie a ramené l’autre main autour de sa queue et il se branle en même temps.
Un instant plus tard, je l’entends lâcher un « j’vais jouir », la voix déjà étouffée par le nouvel orgasme qui secoue son corps et son esprit de fond en comble.
Sa rondelle se contracte et se relâche à plusieurs reprises, et le beau mâle jouit pendant que je lui bouffe le cul.
Lorsque je relève mon buste, l’image qui se présente à mes yeux est d’une beauté saisissante. Je le regarde, beau à se damner, le torse musclé marqué par plusieurs traînées de ce nectar dont le goût persiste dans ma bouche, ce jus blanc et épais qui brille à la lumière du jour.
Bonheur visuel, bonheur olfactif : après ce deuxième orgasme, son corps dégage désormais une insistante odeur de transpi, de sexe, de mâle baiseur.
Mais l’odeur qui prend le dessus, qui frappe mes narines, est celle bien caractéristique qui se dégage de son sperme étalé sur son torse. Et cette odeur, cette délicieuse senteur de mec, ça me rend littéralement dingue.
Excité comme jamais, je n’ai qu’une envie, celle de tout lécher, jusqu’à la dernière trace.
Mais comment oser y aller ? Comment savoir si ça peut lui faire plaisir ? Comment savoir s’il ne va pas me prendre pour la pire des salopes ?
Je croise son regard de braise. Le bogoss à la casquette, les yeux plissés, affiche une petite moue sexy de petit con arrogant, fier de sa queue et du pouvoir qu’elle lui confère, fier de voir dans mon regard et dans mon attitude une soumission totale à sa virilité.
Je crois qu’il a compris ce dont j’ai envie. Et sa petite moue sexy s’accompagne désormais d’un léger hochement de la tête que je prends pour un feu vert.
Dès que ma langue retrouve le goût pétillant et fort de son jus, dans mon cerveau c’est le feu d’artifice. Car ce jus est désormais ma drogue. Dès la première prise, il m’a rendu accroc ; et alors que le manque est déjà insupportable, y goûter à nouveau, c’est l’extase.
Après s’être attardée sur son gland, ma langue se balade inlassablement sur sa peau douce et tiède, parcourant avec soin les sillons et les reliefs de ses abdos et de ses pectoraux durs comme la pierre, en quête de son jus parfumé.
Ses muscles réagissent au passage de ma langue, le bogoss souffle d’excitation. Une giclée a atterri sur un téton : dès que ma langue l’effleure, ça le fait sursauter. J’entreprends de le titiller avec des coups légers, puis je pose carrément mes lèvres dessus, je le suçote avec insistance, je m’y attarde longuement.
Le bogoss a l’air de vraiment bien apprécier, preuve en est le fait que sa queue, à moitié retombée après ce deuxième orgasme, ne tarde pas à se redresser à nouveau.
Un instant plus tard, le bogoss saute du lit et me balance d’un ton ferme, très directif :
« Mets-toi ici, sur le bord du lit, à quatre pattes ! ».
Ses mots claquent comme des ordres qui forcent l’obéissance.
C’est puissant et fascinant la sexualité d’un mec de 19 ans. Il y a encore une heure je n’osais imaginer pouvoir un jour accéder à l’intimité de ce bel étalon et voilà qu’une troisième mi-temps se profile.
Je me sens ivre, je perds le contrôle, je suis à la merci de ce jeune mec avec sa casquette insolente sur la tête. Je vibre, je frissonne. Et surtout je m’exécute.
Je viens tout juste de me mettre en position et déjà je sens la présence, la chaleur, la puissance de son corps musclé tout proche de moi.
Une fois de plus, Jérémie est debout, alors que moi, je suis à genoux : lui le dominant, moi le dominé.
Avec ses mains il écarte mes fesses. Le rêve érotique qui a peuplé tant de fois mes moments de plaisir solitaire va enfin se réaliser. Je suis dans un état indescriptible. Je suis fou.
Un instant plus tard, je sens sa queue raide glisser dans mon entrejambe : un frisson géant remonte tout le long de ma colonne vertébrale, un feu d’artifice explose dans ma tête, tout mon épiderme est le réceptacle d’une excitation délirante.
Le bogoss répète son geste plusieurs fois, il me fait languir.
Je sens son torse envelopper mon dos, sa barbe effleurer ma joue, ses lèvres approcher de mon oreille, son souffle sur ma nuque, ses mots me chauffer à bloc :
« T’es une bonne salope, hein ? ».
Je frémis d’excitation.
« Je suis à toi… ».
Oui, je suis à lui, je le suis depuis l’instant où il m’a balancé : « dis-le que t’as envie que je te défonce le cul !! ». A cet instant précis, j’ai aussi réalisé que j’avais vraiment envie de le laisser jouir en moi.
« Tu la veux ma queue dans ton cul, hein ? » il persiste et signe.
« Je n’attends que ça… ».
« J’en étais sûr… j’étais sûr que tu étais une bonne chienne… ».
« J’ai envie de toi… ».
« Ouaisss… je sais… t’es bien en chaleur, hein ? ».
« Oui… ».
« Alors tu vas prendre cher… ».
Son gland se presse alors à l’entrée de mon petit cul. Le bon sens voudrait qu’il enfile une capote, le désir est d’un autre avis. De toute manière, j’ai déjà gouté deux fois à son jus, et j’ai envie de lui faire confiance. Et surtout j’ai trop envie de me sentir rempli par la semence de ce beau mâle. Le désir rend fou.
Le bogoss se retire. Je le sens cracher, sans doute dans sa main, sans doute pour mouiller sa queue. Ses mains saisissent à nouveau fermement mes fesses, les écartent. Il crache sur ma rondelle.
Je vais me faire sauter par Jérémie. Le beau gosse. J’en frissonne. Ma queue va exploser. La sienne fait des va-et-vient dans ma raie, chatouillant ma rondelle. Il me fait languir, il me fait bouillir.
Au bout d’un moment, les sens en feu, je ne peux me retenir de lui lancer :
« Prends-moi s’il te plaît, trop envie…s’il te plaît ! ».
Je n’arrive pas à croire que je suis en train de le supplier de me baiser. Oui, définitivement, le plaisir rend fou.
« T’inquiète, tu vas la sentir passer…» fait-il, sur ce ton si assuré, effronté, traduisant son assurance de petit con un tantinet arrogant. Mais sexy à mort !
Son gland vise à présent ma rondelle. La boîte de capotes sur sa table de nuit n’a pas bougé de sa place. Je suis aux anges. Je sens son pieu de chair exercer une pression de plus en plus insistante. Mon orifice vierge, oppose une certaine résistance à cette tentative d’intrusion.
A nouveau le bogoss saisit mes fesses, les écarte et recrache sur ma rondelle.
Et là, je le vois se pencher vers la table de nuit, attraper la boîte de capotes, en extraire une, avant de balancer négligemment la boîte par terre. Je l’entends déchirer l’emballage, j’entends le bruit de la fine pellicule de caoutchouc en train de se dérouler le long de son mât.
Je ne m’attendais pas à ça. Ainsi, le petit con se protège. De moi peut-être. Est-ce qu’il a peur des MST ? Est-ce qu’il a peur que je puisse lui refiler un truc ? Est-ce qu’il fait ça avec les nanas aussi ? Il se fait sucer sans capote, mais il baise avec ?
Cela devrait me rassurer et, de fait, c’est le cas. Ce qui ne m’empêche pas en revanche de ressentir une intense frustration à l’idée de la présence de cet « emballage » entre son corps et le mien, entre son plaisir et le mien, à l’idée de renoncer ainsi au bonheur d’avoir son jus de mec en moi.
Un instant plus tard, il appuie à nouveau son gland à l’entrée de mon trou. Et là, je sens la résistance de mes muscles se dissiper peu à peu. Son bassin exerce une bonne pression et sa queue avance, avance, avance en moi.
Puis, d’un coup, l’excitation laisse place à la douleur. Car, pour sa première fois, mon trou a affaire à un engin plutôt imposant. Il m’a promis que je la sentirais passer et le petit con n’a pas menti.
La douleur augmente au fur et à mesure que son manche avance en moi. A un moment j’ai tellement mal que mon corps est parcouru par un spasme involontaire, un petit bruit de douleur s’échappe de ma bouche.
« C’est la première fois que tu te fais éclater le cul, c’est ça, hein ? » je l’entends me lancer, le ton chargé d’un mélange de fierté et de mépris.
« C’est la première fois, oui… » j’admets, tout en prenant de grosses inspirations, cherchant à maîtriser la douleur qui me déchire, malgré le fait que le bogoss vient de se retirer de moi.
« Et t’en crèves d’envie… hein ? » relance le petit con bien monté.
J’ai très envie de me faire secouer par ce mâle vigoureux et si sûr de lui, sûr de cette assurance que seule la jeunesse insouciante sait offrir. J’ai envie de l’avoir en moi, de m’offrir à lui pour son plaisir le plus total, de me sentir possédé par lui. J’ai aussi envie de me savoir fourré par son jus chaud et épais de petit mec, mais cela n’est pas à l’ordre du jour…
« Oui, j’en crève d’envie… j’ai trop envie de me faire dépuceler par toi… » j’ai envie de le flatter, juste avant de lui donner le mode d’emploi « mais vas-y doucement, s’il te plaît… ».
« Tu vas prendre ton pied de salope, t’inquiète… ».
Et, ce disant, le bogoss envoie un autre bon crachat entre mes fesses tenues bien écartées par la prise puissante de ses mains chaudes. Soudain, je sens ma douleur s’évaporer, laissant la place à un désir de possession brutale.
Son gland revient à la charge. A nouveau, ma rondelle s’ouvre lentement, hésitante. Je frissonne, entre douleur et excitation.
« Laisse-la rentrer doucement, comme ça… détends-toi… t’as un cul bien serré… » fait-il, le ton péremptoire, tout en exerçant une pression constante, lente mais impitoyable.
C’est indescriptible comme sensation. Je sens enfin ma rondelle se détendre, s’ouvrir, s’offrir aux besoins sexuels de ce mec, de mon mâle. Centimètre après centimètre, je sens sa queue glisser en moi, prendre possession de mon intimité, me remplir, me combler, apporter sa toute-puissance virile entre mes fesses si offertes. Je sens sa puissance sexuelle débordante écraser la mienne, cette dernière prête à se laisse soumettre, à se laisser carrément effacer au contact de cette déferlante de testostérone pure.
Car ce mec est une bombe de sexe, un jeune mâle plein de testostérone, avec la queue bien droite, et les couilles pleines de jus brûlant.
Son pieu de chair complètement enfoncé au plus profond de moi, les couilles calées contre mes fesses, le bogoss marque une pause.
Me voilà rempli, envahi, débordé, empalé, dominé, par sa puissance virile, par sa queue enfoncée au plus profond de moi, me voilà entravé par ses mains puissantes posées sur mes épaules. Me voilà complètement à lui.
Dans ma tête, je réalise d’un coup ce qui vient de se passer, ce qu’il vient de me faire, au fait qu’il vient de me prendre, lui, le fantasme sur pattes ultime. Je pense à celle qui était encore jusqu’à quelques secondes plus tôt et qui n’est plus, ma virginité. J’ai offert ma virginité à Jérémie.
Je ressens une intense chaleur au fond de moi, j’ai l’impression que son pieu de chair est brûlant. Mais c’est peut-être juste une sensation due à l’échauffement de mes muscles, bien sollicités par le passage de ce membre imposant.
Sensation qui m’enivre, qui me donne le tournis. J’ai vraiment très envie de me faire défoncer. J’écarte encore un peu plus les jambes pour m’offrir davantage. Rien n’est trop beau ou trop bon pour m’offrir à un mâle comme lui.
« Putain qu’est-ce que c’est serré…c’est chaud… » je l’entends souffler, très excité.
« Putain, qu’est-ce qu’elle est bonne… » j’ai envie de le flatter.
Jérémie semble prendre le temps de savourer cet instant, de jouir de la domination virile qu’il exerce sur moi, de cette sensation d’être LE mec. Le mâle.
« C’est ça que tu voulais, ma queue dans ton fion ? ».
« Ah ouiiiiii… ».
« Tu la sens bien là, hein, vas-y, dis-le ! C’est ça que tu voulais, être empalé par ma bite ! » fait-il, de façon plutôt virulente.
« Oui, oui, oui, je la sens bien, j’adore te sentir en moi, j’adore sentir mon cul rempli par ta bite…là c’est vraiment le pied pour moi ! » je le suis dans son délire. Je suis presque dans un état second. Oui, le désir rend fou.
Sa queue est au plus profond de moi, la peau douce de ses abdos enveloppe sur mes fesses. Son parfum si frais, si masculin est désormais associé à une chaude odeur de mec et de baise qui s’installe petit à petit dans la pièce. Son goût de mec persiste dans ma bouche. Ses mots, son attitude dominatrice me fait vibrer de plaisir. Mon cerveau est pris dans une tempête des sens où la raison est provisoirement mise à mal.
« Baise-moi, s’il te plaît, s’il te plaît, s’il te plaît… vas-y, prends ton pied, c’est toi le seul vrai mec ici… et moi je suis là pour t’offrir ton plaisir… » je finis par lâcher, ivre de lui et de sa queue.
« Je vais tellement t’éclater le cul que tu vas me supplier d’arrêter ! ».
Son arrogance de petit con me fait un effet de malade. Cet échange coup sur coup fait monter encore mon excitation de plusieurs crans.
« C’est tout ce que je demande…» j’admets sans réticence.
C’est là que le bogoss commence ses va-et-vient. Au début j’ai un peu mal, mais assez vite la douleur laisse la place à un plaisir intense.
Ses coups de reins me secouent de fond en comble ; à chaque va-et-vient, je sens ses couilles frôler mes fesses. C’est le pied absolu, je gémis de plaisir.
Je transpire dans ce petit studio où il fait trop chaud, je transpire au contact de son corps, je transpire de plaisir, le plaisir que sa queue m’apporte. Je frissonne, je tremble, j’ahane profondément.
« Je te la mets bien profond… » je l’entends lâcher.
« Ah, oui, putain t’es bien monté, mec ! ».
« Tu la sens bien là, hein, elle te remplit le cul… » il me souffle à l’oreille.
« Oh, oui… et c’est ça qui est bon… » je couine.
Je ne sais pas combien de nanas il a eu avant moi et combien d’entre elles, nombreuses certainement, ont ressenti, au moment de se faire baiser par ce beau mâle, cet irrépressible besoin de flatter sa virilité.
J’imagine qu’il est habitué à ce qu’on le complimente, pour sa beauté, pour son corps, pour sa sexytude, pour la puissance de sa queue.
Pourtant j’ai envie d’ajouter ma petite pierre à l’édifice de sa fierté virile, j’ai envie de lui exprimer à quel point il me fait de l’effet, à quel point je kiffe être le soumis d’un bel étalon comme lui.
« Tu fais ça trop bien, ta queue m’excite trop, c’est vraiment le pied…» je lâche, débordé par le plaisir de le sentir coulisser en moi.
« Prends ça salope ! » il balance sans retenue, tout en mettant encore plus de fougue dans ses coups de reins.
C’est vrai, je suis sa salope, je suis le réceptacle de son plaisir.
Me frotter à sa sexualité incandescente, ça m’a rendu instantanément passif, soumis à cette sexualité. J’ai très vite senti qu’il n’y a que sa jouissance qui comptait pour lui, et j’ai tout de suite adoré me sentir l’objet, l’instrument de son plaisir, sentir que c’est lui le seul mec de nous deux, que mon plaisir dépend du sien. Que mon plaisir est le sien.
Je réalise que le plaisir que j’ai ressenti pendant des années de branlettes solitaires en m’imaginant offrir du plaisir à ce mec, n’est rien face à la jouissance que je ressens désormais grâce à sa queue se défoulant partout en moi.
Pour ma première fois, je n’aurais pas pu imaginer expérience plus excitante et marquante : c’est ma première fois et c’est la queue de Jérémie, le mec qui représente pour moi l’absolu de la mâlitude.
Je ne pourrais jamais assez le remercier d’être si actif, si sûr de lui, si dominant, si macho, si débordant de virilité, de m’avoir fait découvrir ce plaisir ultime, celui de faire jouir un jeune mâle comme lui, un plaisir psychologique bien avant d’être un plaisir physique, et c’est géant. Je suis comblé, au-delà de tous mes espoirs les plus fous.
Pourtant, je n’arrive toujours pas à réaliser que je suis en train me faire démonter par ce mec hyper musclé de 19 ans. C’est un cadeau inespéré qu’il me fait en me laissant accéder à sa beauté, à sa jeunesse, à sa virilité.
Parfois il s’arrête bien au fond de moi, la respiration haletante, en savourant pendant un instant sa position de mâle dominant. Puis, il reprend son affaire avec une vigueur renouvelée, s’agrippant tour à tour à mes épaules ou à mes hanches, se servant de mon corps pour donner davantage d’élan à ses coups de reins.
Pendant ce temps, sous l’impulsion de ses va-et-vient, mon gland frotte contre la couette. Ainsi, petit à petit, je sens monter du bas-ventre cette chaleur qui annonce l’orgasme.
« Je vais pas pouvoir me retenir longtemps…» je lui annonce, alors que je sens désormais le frisson de la jouissance exploser dans ma tête.
« Vas-y, mouille comme une salope, mouille pendant que je te baise, vas-y! » je l’entends balancer pendant que je perds pied et que je me vide sur ses draps.
Le bogoss continue de me pilonner sur le même rythme effréné.
« T’as vraiment un bon cul pour recevoir de la bite…» il lance, au comble de l’excitation.
Et là, comme tout à l’heure, pendant qu’il se vidait dans ma bouche, je sens la cadence de ses coups de boutoir se ralentir, et ses va-et-vient se faire plus espacés. Je commence à connaître un peu la bête, c’est le signe qu’il va jouir.
« Putain, putain de cul à bite…» voilà son dernier soulagement verbal avant que le soulagement physique survienne. J’adore le sentir grogner son plaisir.
Mais alors que je me prépare à le sentir jouir en moi, même si son jus sera retenu par le caoutchouc, le bogoss se retire, arrache la capote précipitamment, il bondit sur le lit, alors que sa main appuie lourdement sur mes reins. Une fraction de seconde plus tard, je me retrouve à plat ventre, son gland appuyé juste sur ma rondelle. Le bogoss se branle, et finit par lâcher quelques bons jets bien chauds et bien lourds sur ma rondelle, rythmé par des râles bien puissants.
Le bogoss s’allonge sur le lit à côté de moi. Je n’ose pas chercher son regard, mais je regarde son torse onduler sous l’effet d’une respiration profonde et rapide. Je regarde sa peau moite, son front perlé de sueur, son visage cramoisi, sa queue magnifique, toujours raide, luisante de son sperme. C’est l’image du mâle repu, l’image du « calme après la tempête » des sens. C’est beau à voir et c’est bon de savoir que c’est moi qui lui ai offert ce bonheur.
Oui, le bogoss a l’air bien secoué par son troisième orgasme en l’espace d’une heure à peine. Pourtant, la casquette n’a pas bougé de sa tête… putain de p’tit con !
Non, je n’ose pas chercher son regard : de toute façon, le sien est perdu dans le vide, à nouveau loin de moi.
En attendant, je sens toujours sa présence dans mon entrejambe, comme s’il était toujours en moi. J’ai toujours son goût dans ma bouche, son odeur sur ma peau.
Je suis un peu frustré qu’il n’ait pas voulu se lâcher en moi, et pourtant si heureux, car cette privation ressemble à la promesse de nouveaux plaisirs à venir. Est-ce qu’un jour il aura envie de me baiser sans capote ? Est-ce qu’un jour il aura envie de jouir en moi ? Est-ce qu’un jour il me fera assez confiance, et je lui ferai assez confiance, pour cela ? Est-ce qu’on va recoucher ensemble ?
Le bogoss se lève, enfile son boxer noir et sort fumer en terrasse.
« Je peux prendre une douche ? » je lui demande.
« Si tu veux… ».
« Merci… »
Tout comme la pièce de vie, la salle de bain est elle aussi dans un état plutôt bordelique. Sur le lavabo et sur le rebord du miroir juste au-dessus, s’étalent les objets du quotidien d’un bogoss, son deo, son rasoir, sa mousse à raser, son gel pour les cheveux, sa brosse à dents, son tube de dentifrice, sa tondeuse à barbe, ainsi que plusieurs parfums de marque. Je trouve cela fascinant, cette chance inouïe de pénétrer dans l’intimité d’un bogoss. Surtout juste après que ledit bogoss a pénétré la mienne, d’intimité, et dans un sens beaucoup moins imagé.
Et mes découvertes ne font que commencer. La simple vision du panier à linge me rend dingue. Ainsi, c’est vers ce « puits du bonheur », contenant les boxers et t-shirts portés par le beau mâle, que je me sens irrépressiblement attiré.
J’ouvre l’eau dans la douche pour faire diversion, et je plonge illico mon visage dans cet endroit de bonheur olfactif. Je respire à pleins poumons. Chacune de mes respirations est un peu plus profonde, un peu plus longue que la précédente, chacune de mes respirations m’apporte une nouvelle note de ces délicieuses petites odeurs de mec.
Très vite, j’ai carrément la tête qui tourne. Je relève le buste, je ferme les yeux, j’essaye de me calmer, ça m’est impossible : je suis déjà en manque. Ce mélange d’odeurs dans le panier à linge est étourdissant, excitant. J’ai envie d’y revenir, mais d’y revenir avec méthode pour en découvrir et en apprécier toute la richesse olfactive.
Je commence par sentir ce boxer orange à l’élastique blanc, chargé du subtil mais délicieux souvenir olfactif de sa queue, puis cet autre boxer noir, dans lequel je découvre une trace qui ressemble à celle laissée par ce liquide qui suinte parfois du sexe des garçons quand ils sont excités. C’est une trace qui pourrait tout aussi bien être le souvenir laissé par sa queue rangée à la va vite après avoir joui, juste avant d’aller fumer une cigarette en terrasse. Je me demande qui a bien pu provoquer en lui cette excitation, ou bien entre quelles cuisses a joui mon beau brun le jour où il portait ce boxer noir.
Après les boxers, j’ai envie de découvrir l’odeur de ce t-shirt blanc caché juste en dessous, envie de poser mon nez en correspondance de l’endroit qui a caressé ses aisselles. Puis, j’ai besoin de plonger mes narines dans ce débardeur noir que je ne lui ai encore jamais vu porter mais dans lequel je n’ai pas de mal à l’imaginer, scandaleusement beau, furieusement sexy, divin, à pleurer. Je ne peux pas me passer de humer cet autre débardeur blanc à fines rayures, un débardeur dont il doit se servir pour le sport, un débardeur qui sent bon la transpiration, au point qu’elle prend le pas sur le deo, pourtant présent en arrière-plan.
Le temps file, et avant que la durée de ma permanence dans la salle de bain ne devienne louche, je dois me faire violence pour arrêter ce merveilleux voyage olfactif, alors que bien d’autres couches de vêtements restent à découvrir au fond du panier à linge. Je dois me faire violence également pour passer à la douche, car une part de moi n’a pas vraiment envie de passer sous l’eau, elle voudrait garder son odeur sur ma peau à tout jamais.
J’ouvre le gel douche et je reconnais instantanément la fragrance qui se dégage de la peau de Jérémie. Je connais enfin la marque et le parfum. C’est le bonheur. Demain, j’irai acheter le même.
L’eau m’apporte une sensation de fraîcheur et de bien-être. Je n’arrive pas encore à croire que je suis en train de prendre une douche dans la salle de bain de Jérémie, parce que je viens de m’envoyer en l’air avec Jérémie. C’est fou.
Pendant que je me sèche, j’entends des bruits venant de la pièce principale. Le bogoss doit être en train de mater la télé.
Avant de quitter la salle de bain, je replonge une dernière fois le nez dans le panier à linge, cet endroit magique, en me faisant la réflexion que les sous-vêtements portés par un garçon finissent par s’imprégner d’une marque olfactive complexe et unique qui caractérise ce même bogoss.
Lorsque je plonge le nez dans ce panier à linge, je retrace le parcours olfactif vécu par ces tissus. En arrière-plan dans les fibres, le parfum de la lessive persiste. Le tissu posé sur la peau après la douche et le deo s’imprègne pendant des heures de ces parfums. Pendant ce temps, des odeurs naturelles se dégagent par la transpiration, la peau, le sexe. Au fil des heures, tous ces parfums changent, se mélangent aux odeurs naturelles du corps. Puis, au bout d’un certain temps, tout semble se stabiliser, se figer dans un bouquet riche et délicieux qui devient alors la signature olfactive d’un garçon.
Alors, peut-on vraiment appeler cela un panier à linge sale ? Moi j’appellerais plutôt cela l’entrée du Paradis. Je voudrais être un chaton et me faufiler dans ce panier, m’endormir des heures, des jours durant, bercé par toutes ces petites odeurs !
C’est en me faisant une nouvelle fois violence que je me décide à m’arracher définitivement de ce puits de bonheur pour sortir enfin de la salle de bain. Est-ce que j’aurai l’occasion d’y replonger mon nez, un jour ?
Jérémie est installé sur le canapé, torse nu et boxer noir, la casquette toujours vissée sur la tête, une manette dans les mains, les yeux rivés sur l’écran, en train de faire courir des petits bonhommes derrière un ballon. Je m’étais trompé : le bogoss ne regarde pas la télé, il est en train de jouer à Fifa.
« T’as pris ton temps… » il me balance.
Je le regarde et j’ai envie de pleurer. C’est à tomber. Si je m’écoutais, j’irais lui faire un câlin, je le couvrirais de bisous et de caresses, je promènerais mes mains sur sa musculature à peine croyable.
Mais je ne suis pas le genre de garçon qui s’écoute, pas assez en tout cas. La peur de sa réaction me fait renoncer.
« Désolé… » je réponds machinalement.
« Vas-y, rentre chez toi… ».
C’est un peu dur comme mot de la fin. Au fond de moi j’avais espéré qu’il m’offre un truc à boire, qu’on discute un peu. Non, avec Jérémie, c’est la baise et la porte ensuite.
Pendant que je m’habille, je le regarde en me disant : « Mais putain, qu’est-ce qu’il est beau ! ». Ses couilles doivent être bien vides, sinon j’aurais bien voulu recommencer encore et encore. Un mec comme ça, est fait pour faire l’amour.
Après avoir récupéré mes notes bien inutiles, je me dirige vers la porte.
« Salut…» je lui lance, comme une tentative un peu ridicule de lui faire remarquer que je vais partir, alors qu’il ne décroche pas les yeux de son jeu bruyant.
« A plus…» il lâche, sans me regarder.
« A demain ! » je relance.
« C’est ça…».
J’ai tout juste le temps d’ouvrir la porte de du studio, que je l’entends me rappeler sèchement :
« Eh, Nico… ».
« Oui… ».
« Pas un mot à personne de ce qui s’est passé aujourd’hui, compris ? » fait-il sur un ton presque menaçant.
« Je dirai rien, t’inquiète… ».
« T’as intérêt… sinon je te défonce… » fait-il, vraiment menaçant à présent.
La porte de son studio refermée, je sens un grand vide s’emparer de moi. J’aurais aimé quand même un peu plus de considération de sa part, un simple mot pour me dire qu’il avait aimé, pour savoir s’il avait envie de recommencer. Alors que lui, tout ce qui l’intéresse, c’est que je me tire et que je ferme ma gueule.
Dans la rue, le soleil est aveuglant, la chaleur écrasante. Je suis tellement lessivé que j’ai du mal à mettre un pied devant l’autre. Une douce fatigue, un délicieux épuisement ont pris possession de mon corps.
La douche a un effet de détente, un effet qui se prolonge et se fait de plus en plus marqué au fil des minutes, un effet qui finit par ressembler à une sorte d’engourdissement de mes muscles épuisés.
Mais avant la douche, le sexe, à répétition, a été puissant. Et putain, qu’est-ce que c’était bon ! Coucher à deux, c’est tellement plus puissant qu’une branlette ! Un plaisir bien plus intense, et un effort bien plus important ; une branlette me calme, coucher avec Jérémie m’a mis KO.
Tous mes muscles ont travaillé, ils ont été longuement parcourus par d’infinies décharges de cette énergie puissante et insaisissable qu’est le plaisir. Mon corps tout entier, et mon cerveau avec, ont surchauffé.
La douche a refroidi l’extérieur, mais l’intérieur reste incandescent : mes terminaisons nerveuses sont en effervescence, ce qui rend ma peau hypersensible.
A chaque pas mes tétons frottent contre mon t-shirt, dégageant des nouveaux frissons qui se propagent dans mon corps, jusqu’à rencontrer ceux qui se dégagent de mon entrejambe où le souvenir de la présence de Jérémie est le plus vif.
Ainsi, à chaque pas je bande un peu plus. Je bande comme un âne, j’ai l’impression que les passants dans la rue regardent mon entrejambe, qu’ils remarquent ce qui se passe dans mon short, j’ai l’impression d’être à poil.
J’ai vraiment du mal à marcher, tous mes muscles semblent se raidir, comme s’ils voulaient m’empêcher de m’éloigner de ce beau mâle à qui je viens d’offrir « ma première fois ».
Sacrée première fois… ah, putain, mon Jérémie… tu m’as secoué, retourné, baisé comme un Dieu !
Je marche lentement dans la ville, étouffé par la chaleur qui se dégage des pierres, des briques, du goudron en cette belle journée de printemps. Je marche, avec ma tête remplie par l’image de son corps d’apollon tout tendu à la recherche du plaisir, par le souvenir de ses envies précises, de ses attitudes de petit macho dominant. Je marche et je sens sa présence entre mes jambes, à chaque pas je retrouve le souvenir palpitant et sensible de cette première, puissante pénétration. C’est tellement vif que j’ai l’impression qu’il est encore en moi. Et j’ignore encore qu’il va l’être des jours durant.
Le soir dans le lit, je me tape une bonne branlette, puis une autre, et une autre encore. Je me branle en repensant à la délirante sensation de tenir sa queue dans ma bouche, de tenir son plaisir de mec dans ma bouche. Je me branle en repensant à la puissance ses coups de reins, à ses mots et à ses attitudes de petit macho qui ne pense qu’à son plaisir. Et je jouis en repensant à la puissance de ses giclées, à la délicieuse découverte de son goût de mec, à la présence de sa queue en moi, à ses coups de reins impitoyables.
Je m’endors, dorloté par le parfum de son gel douche, le parfum de sa peau à lui, qui est désormais le parfum de ma peau à moi aussi.
Je m’endors en rêvant que Jérémie est là, dans mon lit, et qu’il me suffirait de me retourner pour le prendre dans mes bras.
Au plus profond de moi, une seule, brûlante, obsédante envie, celle de « réviser » à nouveau avec lui, le plus vite possible.Toutes premières versions sur le site "Histoires De Sexe".
https://www.histoires-de-sexe.net/le-t-shirt-de-jeremie-19007
https://www.histoires-de-sexe.net/jeremie-ote-son-t-shirt-19099
https://www.histoires-de-sexe.net/03-les-envies-de-jeremie-19198
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Commentaires
Cher Fabien,
C'est une bonne idée que de réécrire les premiers épisodes afin qu'ils profitent de ton expérience acquise dans l'écriture tout au long de ces années.
Je voudrais te dire aussi qu'il m'est difficile de les commenter dans la mesure où, pour avoir été un lecteur assidu, j'ai suivi toute l'histoire, j'en connais tous les développements et le dénouement.
Je dois t'avouer aussi qu'après toutes ces années merveilleuses à te suivre, j'éprouve une grande nostalgie à me replonger dans l'histoire de Jérém et Nico.
J'espère que tu ne m'en voudras pas. Je veux t'assurer de mon soutien indéfectible dans cette entreprise et j'ai hâte de te retrouver dans ton nouveau projet d'écriture.